Présentation-discussion et reçit de voyage à propos de la revolution kurde au Rojava-Kobané

https://renverse.ch/Fribourg-Recit-de-v ... Rojava-430
https://www.facebook.com/Alternative-li ... fref=photoMASSACRES AU KURDISTAN - BRISONS LE SILENCE !
Depuis août dernier, 52 couvre-feux ont été décrétés par l’Etat turc dans plusieurs localités kurdes. Sous prétexte de lutter contre le terrorisme, les forces de sécurité turques ont tué des centaines de civils durant ces périodes de couvre-feu. A Sûr, Nusaybin, Cizre, Silopi, Silvan,...on ne compte plus les morts. Les bombardements incessants des forces de sécurité ont par ailleurs entraîné de lourds dégâts matériels. Outre les habitations, ce sont des monuments historiques qui sont touchés, surtout dans le quartier de sûr qui abrite un patrimoine culturel extrêmement riche.
Parallèlement à ces massacres de civils, les autorités turques tentent d’étouffer la volonté politique des Kurdes en arrêtant des militants et des représentants politiques. Selon un rapport récent de l’Association des Droits de l’Homme de Turquie, rien qu’au cours de l’année 2015, cette répression politique s’est soldée par plus de 6000 arrestations de militants kurdes dont près de 1300 ont été incarcérés. Parmi ces derniers, figurent 17 Maires et de nombreux autres élus locaux.
Par ailleurs, depuis le mois de juillet, l’armée turque bombarde sans cesse les positions du PKK (Parti des Travailleurs du Kurdistan) au Kurdistan d’Irak. Bien que ces incursions répétées constituent une violation grave de la souveraineté territoriale du gouvernement régional du Kurdistan (KRG) et de l’Irak, la Turquie continue à agir en toute impunité.
Toutes ces opérations tendent à éliminer les Kurdes politiquement et militairement. C’est dans ce même objectif que le gouvernement turc de l’AKP apporte un soutien à Daesh. En renforçant Daesh, il espère affaiblir les forces kurdes qui luttent en première ligne contre cette organisation, en Irak et en Syrie. Depuis hier soir, de nouveaux couvre-feux ont été imposés dans deux districts de la province de Sirnak, Cizre et Silopi où ont été réalisés d’importants déploiements de policiers et de militaires. Craignant de nouveaux massacres, beaucoup d’habitants de ces deux villes ont décidé de partir.
Cependant, partout où ils sont attaqués et réprimés, les Kurdes s’organisent et résistent. Ils ne reconnaissent plus la légitimité de cet Etat qui nie leur volonté politique. C’est ainsi que plusieurs villes kurdes ont déclaré l’autonomie.
Nous exigeons la fin des massacres, des opérations militaires et de la répression politique contre les Kurdes !
Mobilisons-nous pour dénoncer la politique turque de terreur et de guerre !
Solidarité avec la résistance kurde !
Conseil Démocratique Kurde en France (CDKF)
https://paris-luttes.info/denoncons-les ... is-au-4593Uniquement préoccupé par ses intérêts et par la course au pouvoir, le gouvernement AKP a délibérément mis fin au processus de paix avec le Mouvement de Libération du Kurdistan et déclaré la guerre aux Kurdes. Face à ces attaques, les forces de libération du Kurdistan ont adopté une position de défense. Dans de nombreuses villes kurdes, les habitants ont tenté de mettre en place des structures locales d’autogestion. Ce mouvement est totalement civil et fondé sur des bases démocratiques. Mais ne tolérant aucune avancée démocratique en Turquie et réprimant par les armes le moindre mouvement d’opposition, le gouvernement AKP a brutalement attaqué les revendications légitimes du peuple kurde. Il a imposé des blocus sur les villes, visé la population civile, massacré des centaines de personnes et dévasté les localités placées sous couvre-feu.
Selon les données publiées par l’Association des Droits de l’Homme et la Fondation des Droits de l’Homme de Turquie, 173 civils ont été victimes d’exécutions arbitraires et 226 autres ont été blessés par la police ou l’armée turque dans le courant de l’année 2015 (ces chiffres ne tiennent pas compte des attaques qui ont eu lieu après le 5 décembre 2015 et qui ont causé la mort de dizaines de personnes). Ces ONG relèvent par ailleurs que 138 personnes ont été tuées et 929 blessées dans trois attentats-suicides commis cette année dans des rassemblements kurdes ou pro-kurdes, respectivement, en juin à Diyarbakir, en juillet à Suruç et en octobre à Ankara. Elles évoquent par ailleurs des centaines de pertes de vies humaines dues aux affrontements entre l’armée turque et la guérilla kurde et soulignent que 157 civils ont été tués dans le cadre ces affrontements, en particulier du fait des bombardements aériens sur les zones d’habitation.
Aujourd’hui, le siège des villes de Sûr/Diyarbakir, Nusaybin, Kerboran, Cizre et Sirnak se poursuit. Voilà des semaines que ces localités se voient imposer des couvre-feux répétitifs au cours desquels la police et l’armée turques se livrent à des exactions et des exécutions arbitraires contre les civils. Les quartiers kurdes sont bombardés par des tanks et des hélicoptères. Ils sont totalement encerclés par des unités militaires lourdement armées ; toute circulation, entrée ou sortie est interdite ; la fourniture d’eau et d’électricité est interrompue. Chaque jour, on apprend la mort de civils. Les populations de ces villes sont menacées de massacre. Le Kurdistan vit un drame humain.
L’Etat turc se livre à un massacre au vu et au su du monde entier. Chaque personne qui se dit partisane de la démocratie et du respect de droits humains doit élever la voix pour dire halte à ces massacres.
Notre appel s’adresse à l’ONU, l’Union européenne, au Conseil de l’Europe, à toutes les organisations de défense des droits humains et à toute personne douée d’humanité.
Non à la négation et au massacre des Kurdes par l’Etat turc !
Non aux massacres commis au Kurdistan par l’AKP et ses collabos !
Solidarité avec la lutte du peuple du Kurdistan pour vivre libre et en dignité sur son territoire !
http://inforojava.tumblr.com/post/13572 ... /communiqué-de-la-coordination-nationale-solidaritéDepuis plusieurs mois, la Turquie et son Président R.T. Erdogan livrent une guerre sans merci au peuple kurde.
De nombreuses villes et villages kurdes sont sous couvre feu, l’armée et la police utilisent de l’armement lourd pour venir à bout de la résistance des populations qui ne demandent rien d’autre que la démocratie et l’autonomie locale. Le nombre des victimes civiles et les destructions augmentent chaque jour dans les villes de Diyarbakir, Silopi, Cirze, Nusaybin, Dargeçit, Silvan, Varto et d’autres.
Pour la Turquie, les ennemis ne sont pas les terroristes de Daesh, mais les Kurdes qui sont en première ligne pour lescombattre et les défaire à l’exemple de Kobané, Sinjar ou Tel Abyad. La Turquie soutient les terroristes de Daesh, le PKK les combat.
Combien de voix s’élèvent parmi les Etats de l’Union Européenne pour condamner ces atteintes terrifiantes aux droits humains ? Où est celle de la France ?
La vie d’un ou d’une Kurde vaut-elle moins qu’une autre ?
La CNSK dénonce et condamne ce silence complice qui tue car il arme les fusils et les canons, il encourage R.T. Erdogan dans son autoritarisme et sa négation du droit des peuples et minorités. La France, par la voix de son ministre des Affaires étrangères, a considéré que les Kurdes sont des alliés dans la lutte contre Daesh. Alors, pourquoi les laisser se faire massacrer en Turquie sans réagir ?
La CNSK en appelle à une autre attitude de la France et s'adresse en premier lieu au Président de la Républiquefrançaise, afin que chacun ait conscience que réprimer et affaiblir les Kurdes, c’est renforcer la capacité de nuisance deDaesh, c’est exposer un peu plus notre pays à sa folie meurtrière.
Pour combattre efficacement Daesh, il faut que la Turquie cesse son agression contre le peuple kurde et qu'elle retire sans tarder le PKK de la liste européenne des organisations terroristes.
Coordination nationale Solidarité Kurdistan: Alternative Libertaire - Amis du Peuple Kurde en Alsace - Amitiés Corse Kurdistan - Amitiés Kurdes de Bretagne (AKB) - Amitiés Kurdes de Lyon Rhône Alpes - Association Iséroise des Amis des Kurdes (AIAK) Association de Solidarité France-Kurdistan - Centre d’Information du Kurdistan (CIK) - Conseil Démocratique Kurde de France (CDKF) – Ensemble - Mouvement de la Jeunesse Communiste de France - Mouvement de la Paix - MRAP (Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié́ entre les Peuples) - Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA) - Parti Communiste Français (PCF) – Réseau Sortir du Colonialisme - Union D&eacut e;mocratique Bretonne (UDB)) – Union Syndicale Solidaire - Solidarité́ et Liberté́ (Marseille)
https://paris-luttes.info/le-fascisme-d ... ssera-4613Le fascisme de l’AKP ne passera pas au Kurdistan ! Appel urgent à la mobilisation et la solidarité avec la résistance du peuple kurde !
Après avoir délibérément rompu le processus de paix avec le mouvement kurde en juillet de cette année, l’Etat turc a déclenché une guerre sans merci contre les Kurdes. Face à ces attaques, ces derniers ont adopté une position de défense. Dans de nombreuses villes kurdes, les habitants, réunis en assemblées populaires, ont décidé de mettre en place des structures locales d’autogestion. Ce mouvement est totalement civil et fondé sur des bases démocratiques.
Mais ne tolérant aucune avancée démocratique en Turquie et réprimant par les armes le moindre mouvement d’opposition, le gouvernement AKP a brutalement attaqué les revendications légitimes du peuple kurde. Il a imposé des blocus sur les villes, visé la population civile et dévasté les localités placées sous couvre-feu.
Voilà des semaines que les localités de Sûr/Diyarbakir, Nusaybin, Kerboran, Cizre et Sirnak se voient imposer des couvre-feux répétitifs au cours desquels la police et l’armée turques se livrent à des exactions et des exécutions arbitraires contre les civils. Les quartiers kurdes sont bombardés par des tanks et des hélicoptères. Ils sont totalement encerclés par des unités militaires lourdement armées ; toute circulation, entrée ou sortie est interdite ; la fourniture d’eau et d’électricité est interrompue. Chaque jour, on apprend la mort de civils. Les populations de ces villes sont menacées de massacre. Le Kurdistan vit un drame humain.
A ce jour, la guerre antikurde menée par le régime fasciste de l’AKP a entraîné la mort de 186 civils, des femmes et des enfants en majorité. Des centaines de civils ont par ailleurs été blessés et des dizaines de milliers ont dû fuir les zones assiégées par l’armée turque. On assiste également à une répression politique inouïe : des milliers de militants politiques kurdes ont été arrêtés. Parmi eux, figurent de nombreux élus, dont 17 Co-maires. 25 Co-maires ont par ailleurs été destitués de leur mandat.
Alors que la Turquie est candidate à l’adhésion à l’Union européenne, aucune voix ne s’élève parmi les Etat européens pour condamner ces atteintes terrifiantes aux droits humains. Ceci est d’autant plus consternant que la Turquie soutient les gangs de Daesh, tandis que les Kurdes sont la principale force de lutte contre cette organisation. Réprimer et combattre les Kurdes, c’est renforcer la capacité de nuisance de Daesh.
Si l’Europe veut que Daesh soit combattu efficacement, il faut qu’elle demande à la Turquie d’arrêter de le soutenir et de cesser son agression contre le peuple kurde !
Non à la négation et au massacre des Kurdes par l’Etat turc !
Solidarité avec la lutte du peuple du Kurdistan pour vivre libre et en dignité sur son territoire !
Manifestation à Paris, samedi 26 décembre, Place du Trocadéro, 14h
https://paris-luttes.info/appel-a-manif ... te-et-4637Non à la raison d’Etat !
NON à l’impunité des commanditaires des crimes politiques et terroristes !
Appel à manifester samedi 9 janvier 2016, Paris-Gare du Nord, 10h
Le mercredi 9 janvier 2013 est gravé à tout jamais comme un jour noir dans l’histoire kurde. Ce jour-là, les militantes kurdes Sakine Cansiz, Fidan Dogan (Rojbîn) et Leyla Saylemez étaient froidement assassinées d’une balle dans la tête, dans les locaux du Centre d’Information du Kurdistan, situés au 147 rue La Fayette, à Paris. Depuis, les représentants de la communauté kurde et les familles des victimes, soutenues par de nombreuses organisations et personnes attachées à la vérité et la justice, ont multiplié les actions et les appels pour demander aux autorités françaises toute la lumière sur ce crime politique odieux.
De nombreux éléments de l’enquête, notamment un enregistrement sonore et un document écrit publiés sur internet un an après le crime, font apparaître que le meurtrier présumé, Ömer Güney, a agi pour le compte des services secrets turcs (MIT), comme le confirme le réquisitoire pris par le parquet dans cette affaire : « de nombreux éléments de la procédure permettent de suspecter l’implication du MIT dans l’instigation et la préparation des assassinats. »
Depuis le début de l’enquête, on observe l’absence de volonté des autorités turques et françaises de faire la lumière sur ce triple assassinat. En Turquie, une enquête a été ouverte au lendemain du crime mais, malgré une commission rogatoire internationale, aucune information n’a été partagée avec la justice française. Côté français, le gouvernement a refusé de lever le secret-défense sur les renseignements qui auraient pu permettre l’avancement dans l’enquête judiciaire. Les juges chargés de l’instruction, qui ont fait un travail remarquable, ont finalement clos leur réquisitoire définitif sans avoir pu remonter jusqu’aux commanditaires qui sont pourtant connus.
La personnalité des victimes et la gravité de ce crime ont bouleversé tout un peuple, mais ni les familles des victimes, ni les représentants de la communauté kurde n’ont été reçus par les autorités françaises. Celles-ci n’ont par ailleurs adressé à la Turquie aucune demande de coopération avec la justice française, ni aucune question sur l’implication du MIT.
Les assassinats de Sakine, Rojbîn et Leyla ont été commis dans le même esprit que ceux de Charlie et, plus récemment, ceux du 13 novembre à Paris : comment ne pas faire le lien entre ces massacres quand on voit la complicité de la Turquie avec Daesh ?
Nous, Coordination Nationale Solidarité Kurdistan et Conseil démocratique Kurde en France, ne laisserons pas le meurtre de Sakine, Rojbîn et Leyla sombrer dans l’oubli. Nous demandons à la France de :
• Déclassifier tous les renseignements pouvant permettre de faire la lumière sur ces crimes ;
• Tout mettre en œuvre pour identifier, interpeller, juger les auteurs et les commanditaires de ces assassinats politiques ;
• Demander des comptes à la Turquie pour ces crimes politiques commis sur le territoire français.
Premiers signataires : Alternative Libertaire, Amis du Peuple Kurde en Alsace, Amitiés Kurdes de Bretagne (AKB), Amitiés Kurdes de Lyon Rhône Alpes, Association Solidarité France Kurdistan, Conseil Démocratique Kurde en France (CDKF), Coordination nationale Solidarité Kurdistan (CNSK), Ensemble !, Europe Ecologie Les Verts (EELV), Mouvement contre le Racisme et pour l’Amitié entre les Peuples (MRAP), Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA), Parti communiste français (PCF), Réseau Sortir du Colonialisme, Solidarité et Liberté - Marseille, Union Démocratique Bretonne (UDB), Union syndicale Solidaires
Le 9 janvier 2013, Leyla Saylemez, Fidan Dogan (Rojbîn) et Sakine Cansiz étaient assassinées en plein Paris. Cet acte odieux a soulevé indignation et émotion dans notre pays.
Nous réclamons justice et vérité pour Leyla, Rojbîn et Sakine.
Rassemblement à la préfecture, vendredi 8 janvier 2016, 17 h, puis manifestation jusqu'au Capitole
Vérité et Justice pour Sakine, Rojbîn et Leyla assassinées à Paris le 9 janvier 2013
Non à la raison d'État !
Non à l'impunité des commanditaires des crimes politiques et terroristes !
Le mercredi 9 janvier 2013 est gravé à tout jamais comme un jour noir dans l'histoire kurde. Ce jour-là, les militantes kurdes Sakine Cansiz, Fidan Dogan (Rojbîn) et Leyla Saylemez étaient froidement assassinées d'une balle dans la tête, dans les locaux du Centre d'Information du Kurdistan, situés au 147 rue La Fayette, à Paris. Depuis, les représentants de la communauté kurde et les familles des victimes, soutenues par de nombreuses organisations et personnes attachées à la vérité et la justice, ont multiplié les actions et les appels pour demander aux autorités françaises toute la lumière sur ce crime politique odieux.
De nombreux éléments de l'enquête, notamment un enregistrement sonore et un document écrit publiés sur internet un an après le crime, font apparaître que le meurtrier présumé, Ömer Güney, a agi pour le compte des services secrets turcs (MIT), comme le confirme le réquisitoire pris par le parquet dans cette affaire : « de nombreux éléments de la procédure permettent de suspecter l'implication du MIT dans l'instigation et la préparation des assassinats. »
Depuis le début de l'enquête, on observe l'absence de volonté des autorités turques et françaises de faire la lumière sur ce triple assassinat. En Turquie, une enquête a été ouverte au lendemain du crime mais, malgré une commission rogatoire internationale, aucune information n'a été partagée avec la justice française. Côté français, le gouvernement a refusé de lever le secret-défense sur les renseignements qui auraient pu permettre l'avancement dans l'enquête judiciaire. Les juges chargés de l'instruction, qui on fait un travail remarquable, ont finalement clos leur réquisitoire définitif sans avoir pu remonter jusqu'aux commanditaires, qui sont pourtant connus.
La personnalité des victimes et la gravité de ce crime ont bouleversé tout un peuple, mais ni les familles des victimes, ni les représentants de la communauté kurde n'ont été reçus par les autorités françaises. Aucune demande de coopération avec la justice française, aucune question sur l'implication du MIT n'ont été adressées à la Turquie par les autorités françaises.
Les assassinats de Sakine, Rojbîn et Leyla ont été commis dans le même esprit que ceux de Charlie et, plus récemment, ceux du 13 novembre à Paris : comment ne pas faire le lien entre ces massacres quand on voit la complicité de la Turquie avec Daesh ?
Nous, Collectif de Solidarité avec le Peuple Kurde et Maison Franco-Kurde Midi-Pyrénées, ne laisserons pas le meurtre de Sakine, Rojbîn et Leyla sombrer dans l'oubli. Nous demandons à la France de :
• déclassifier tous les renseignements pouvant permettre de faire la lumière sur ces crimes ;
• tout mettre en œuvre pour identifier, interpeller, juger les auteurs et les commanditaires de ces assassinats politiques ;
• demander des comptes à la Turquie pour ces crimes politiques commis sur le territoire français.
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