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Non aux réformes
Cela fait bien des années que la droite réactionnaire essaie de nous imposer son projet de société basé sur la dictature du pognon, avec tout cela implique. Matraquage médiatique (ou bourrage de crâne) de valeurs antisociale, construction permanente d'un état policier féroce, chasse aux précaires soit-disant profiteur (la vie doit être belle avec 300€) et aux être humains sans papiers qu'on déporte à tours de bras aux frais du contribuable (10 000€ par personne), destruction du service publique et des avantages sociaux acquis de dure lutte. Les travailleurs du privé sont de plus en plus inactif, acceptant des conditions de travail qui se détériore ( la « guerre économique » justifie tout et n'importe quoi). Les médias se font ensuite une joie de creuser un fossé entre travailleur public et privé. C'est bien le jeux du pouvoir, « diviser pour régner ».
Mais que font les syndicats et les partis politique soit-disant de gauche? Rien ou presque force est de constater et même, collabore. Grève d'un jour, pétition, signature de convention collective, discutions entre « partenaires sociaux » (comprenez collaboration entre état, patron et représentant syndical d'élite). Toute ces actions, fort symbolique certes, n'ont toujours pas fait avancé notre société, on dirait plutôt que tous essaient de limiter la casse.
Seulement 7% de travailleur sont syndiqué, qu'en penser? Que plus ça va, plus la population se dépolitise de son milieux de travail? Que la population ne fait plus confiance aux syndicats? Sûrement les deux.
C'est cette société qui nous attend, le présent le prouve chaque jour, on ne plus compter sur les partis et les syndicats qui représentent que leurs intérêts corporatif.
Alors que faire?
Nous, la jeunesse, construisons la société de demain, c'est à nous qu'il incombe de faire bouger les choses. Prenons en mains nos vies, ne laissons pas le pouvoir décider de ce que nous devons êtres. Ne laissons plus la caste politique décider. Nous ne sommes pas de la viande à patron malléable à souhait.
En ce moment, nous luttons contre les réformes et les suppression de postes dans l'éducation nationale. Comme pour les syndicats, nous nous limitons seulement à lutter contre les réformes. Or c'est une erreur, car comme on peut le voir partout, le pouvoir revient sans cesse à la charge pour imposer sa vision liberticide de la société.
C'est pour cela qu'il étendre notre mouvement, non plus à nos vies, mais à celles de toute la population de cette société. Luttons pour la Révolution sociale.
Oui à une société égalitaire et autogéré