fabou a écrit:Concernant la position du Syndicat de Combat Universitaire de Montpellier (SCUM), elle consiste, en tant que syndicat, à défendre les personnes victimes de la répression et de stigmatisation. En l'occurrence, il s'agissait là de défendre les prostitué-e-s. Toutefois, en aucun cas le SCUM ne défend la prostitution, et le syndicat n'a jamais pris position en faveur du STRASS ou d'une quelconque réglementation de la prostitution. Le SCUM, depuis sa création fin janvier 2014, mène diverses initiatives auprès des étudiants boursiers et précaires. Nous pensons en effet que c'est en luttant sur la thématique de la précarité étudiante, qu'on luttera plus efficacement contre la prostitution.
Nous pensons en effet que c'est en luttant sur la thématique de la précarité étudiante, qu'on luttera plus efficacement contre la prostitution.
Cela réglera peut être la question de la prostitution des étudient(es), et encore l’appât du gains est un paramètre non négligeable. Il y a des multitude de paramètre qui rentre en ligne de compte dans la vie d'une prostitué, Les occasionnel, les traditionnel, les soutenue ou les "poule de luxe", L’appât du gain est se qui les relie, pour le reste les vies et les cause qui conduit des individu a se prostitué sont multiples.,
Les abolitionnisme sont peut être un peut trop moralisme, du coups les lois liberticides se multiplie sans vraiment être efficace, ont reste dans une impasse et ont abouti dans un discoure trop moralisme.
Il y aura pas de solution collective t'en que le gains existe, ont aura que la proposition d'une solution individuel qui n'existe que parce que des association en ont fait leurs combat.
Sortir un individus de la prostitution c'est une volonté collectif, qui se bute au "libre arbitre" individuel .
Ont ma raconté une histoire, je sais pas si elle est vrai mais elle dit quelque chose, dalleurs je vais transformé les lieue et la date, qui débute dans un pays qui est différent de celui qu'ont ma raconté..
Dans le var en 1800 dans une famille très pauvre (ça rappel le début du petit poussé), un homme vend ça fille a un vielle homme qui deviens sont tuteur, et elle ça bonniche. Le veille homme se marie a une femmes qui ne pouvait être que vénielle ( Mot féminin), le tuteur meure et cette femme ( vénielle) deviens ça tutrice.
J’abrège, la tutrice vend cette jeune fille a des hommes, elle fini dans un bordel, il y a mieux pour débuté dans la vie.
Un Américain tombe amoureux de cette jeune fille, l'emmène dans c'est bagage et l'épouse apprêt l'avoir naturalisé Américaine. Sans savoir pourquoi elle demande le divorce et retombe dans la prostitution, et déclare qu"elle es désormais une pute américaine (libre arbitre ou pas?).
Ma question c'est pourquoi cette femmes qui a toujours vécue forcé de se vendre aux hommes, n'a pas pu se sentir autrement que prostitué (au diable la moral non?)..
Nous n’avons pas peur des ruines. Nous sommes capables de bâtir aussi.
Buenaventura Durruti