Tournée des anarchistes contre le mur
MARSEILLE
Soutien aux Anarchistes contre le mur
Mardi 23 septembre, 20h30 : Projection publique.
Restaurant Les Grandes Tables, Friche de la Belle de Mai, 41 rue Jobin, 13003 Marseille,
Soirée de Alternative libertaire Marseille
Alternative libertaire Marseille organise sa soirée annuelle le Jeudi 10 Juillet à Milles Babords (61 rue Consolat 13001 Marseille).
Venez discuter avec nous des luttes actuelles et des perspectives révolutionnaire autour d'un verre à partir de 18h00.
Les profits récoltés iront à la FAG subissant actuellement une forte répression de la part de l'État brésilien (pour plus de détail allez voir notre billet sur le sujet ou encore directement le site de la FAG qui est présent sur notre page lien internationaux.
Venez nombreux et nombreuses !!!
http://almarseille.blogspot.fr/2010/08/ ... embre.htmlL’Etat contre les classes populaires
L’affaire Woerth-Bettencourt, ses millions, ses milliards d’euros, ses coffres en suisses, ses enveloppes discrètes et son île paradisiaque offrent un minuscule aperçu de l’étendue de la gabegie capitaliste. L'Etat français et sa "justice indépendante" ne vont bien sûr pas se préoccuper de ce qui est pour eux normal dans l'image obscène que donnent les classes possédantes de ce pays. La répression s'exerce sur la plèbe dans l'espoir de faire oublier les inégalités économiques croissantes et de rassembler les électeurs et électrices contre un ennemi fabriqué, l'étranger, le dissident, le différent.
Gens du voyage montrés du doigt
Nombre de communes sont dans l'illégalité en n'aménageant pas de terrain d'accueil : en 2008, selon un rapport ministériel, 58% des places nécessaires n'étaient toujours pas aménagées. C'est pourtant les gens du voyage que le gouvernement accuse d'être des fraudeurs !
Rroms pourchassé-es
Officiellement, tout citoyen de l'Union européenne est libre de circuler dans les frontières de l'Union. Pourtant, les Rroms n'ont pas ce droit : discriminés voire persécuté-es à l'est, ils sont pourchassé-es et expulsé-es à l'ouest.
Jeunesse des quartiers populaires
Fin 2007, Villiers-le-Bel s'enflammait suite à la mort de deux jeunes percutés par une voiture de police. Suite à ces émeutes, quatre habitants de la ville ont été condamnés, le 3 juillet 2010, à des peines scandaleuses de trois à quinze ans de prison, sans preuves tangibles, sur le simple témoignage anonyme de délateurs rémunérés.
Ouvriers en lutte
Un an et demi après les luttes dures dans les industries en butte aux licenciements (Continental, Goodyear, Philips…) et la grève générale aux Antilles, la répression continue. Encore en mai 2010, deux syndicalistes guadeloupéens de l’UGTG-Hôtellerie-restauration ont été emprisonnés par les autorités françaises.
Sans-papiers grévistes
Malgré plusieurs mois de grève de milliers de travailleurs et de travailleuses sans papiers, l'Etat refuse toujours la régularisation. La fraction la plus précaire et la plus exploitée du prolétariat hexagonal doit donc continuer de trimer, en vivant dans la peur du centre de rétention et de l'expulsion.
Mal-logé-es
Les familles sans-logis de la Courneuve, après avoir été expulsées de leurs logements de la barre Balzac, ont été victimes le 21 juillet de violences exercées par les forces de l'ordre, en particulier à l'encontre de femmes accompagnées de jeunes enfants. Cette brutalité policière est un nouveau pas dans la criminalisation des mouvements des mal-logés et sans logis.
Dissident-es politiques
Cet été, quatre militants du Réseau éducation sans frontières et de l’association tourangelle Soif d’utopies ont été attaquées en diffamation par le ministère de l’Intérieur pour avoir comparé son action à celle du régime de Vichy. Indymedia Grenoble et le site Web Le Jura libertaire ont été attaqués en justice par le ministre pour des raisons similaires.
Le 4 septembre 1870, la République française était proclamée. Au bout de quelques mois, elle allait révéler sa nature dans le sang des Communards. Cent quarante ans plus tard, l’Etat français continue à réprimer les classes populaires, les sans-voix, et au-delà toutes et tous les révoltés de ce pays.
Solidarité entre toutes et tous les opprimés
Révolution sociale et libertaire
Rassemblement le 4 septembre à Marseille 14h30 au Vieux
http://almarseille.blogspot.fr/2010/10/ ... tions.htmlSolidarité avec les organisations sociales sud-américaines
Lundi 11 octobre 2010 à partir de 18h, rendez-vous au Bundy's Bar, 8 rue d'Italie 13006 Marseille.
Le 11 octobre est le dernier jour d'indépendance de l'Amérique, cette date est un moment de lutte dans les quartiers en Uruguay, Argentine, Chili... A cette occasion, nous vous proposons une soirée de soutien à distance, l'argent récolté sera donné aux organisations sociales sud-américaines.
Première partie de soirée: diffusion du documentaire sur les piqueteros de la FOB "desde abajo" suivi d'un débat-discussion.
Deuxième partie de soirée: ambiance scandale danse de vandales....soirée cumbia latina ambiancée par Dj Mello el rey latino!!!
Venez nombreux soutenir les organisations sociales sud-américaines !!
Soutien i
http://almarseille.blogspot.fr/2011/01/ ... aires.htmlSolidarité avec les luttes populaires du Maghreb
Depuis l'immolation par le feu de Mohamed Bouazizi le 17 décembre dans la ville de Sidi Bouzid en Tunisie, un vent de révolte s'est levé sur le Maghreb. En Tunisie comme en Algérie, les peuples s'insurgent contre des dictatures corrompues qui les maintiennent dans la pauvreté.
Il ne faut pas laisser les Algériens et les Tunisiens seuls face à la répression qui les frappent durement. A Marseille, un premier rassemblement s'est tenue le mardi 4 janvier devant le consulat de Tunisie, dimanche 9 janvier 300 personnes se sont réunies place Léon Blum en soutien aux émeutiers algériens. Lors du prochain rendez-vous, mercredi 12 janvier nous devons être encore plus nombreux.
RASSEMBLEMENT DE SOUTIEN AUX LUTTES POPULAIRES TUNISIENNES
MERCREDI 12 JANVIER 18 HEURES
AUX MOBILES EN HAUT DE LA CANEBIERE
Nous affirmons notre solidarité sans faille avec le formidable mouvement de contestation que connait la Tunisie ainsi qu’avec les mots d’ordre de la révolte initiée à Sidi Bouzid.
Nous dénonçons l’attitude du pouvoir qui répond aux Tunisiennes et aux Tunisiens par les balles, les arrestations, l’intimidation et la répression.
Nous appelons à la libération immédiate et à l’arrêt des poursuites à l’encontre de tous les emprisonnés de ce mouvement comme de ceux qui l’ont précédé, notamment celui des révoltés du bassin minier de Gafsa, ainsi que les étudiants emprisonnés en raison de leur activité syndicale.
Nous réclamons que les responsables de la répression, des violences à l’encontre de la population qui ont causé la mort et des blessures graves parmi les manifestants soient traduits en justice.
Nous appelons à une mobilisation nationale et internationale d’ampleur en soutien à la révolte du peuple tunisien initiée par les habitants de Sidi Bouzid.
Nous faisons nôtres les mots d’ordre scandés dans les manifestations à travers toute la Tunisie :
Pour le droit au travail et le droit de gagner sa vie dignement ;
Pour une juste répartition des richesses ;
Contre la corruption et le népotisme.
Nous maintiendrons une mobilisation vigilante pour soutenir toutes les victimes de la répression, pour faire échec à l’entreprise de criminalisation de la contestation, pour répondre aux agressions qui visent les syndicalistes, les avocats, les média indépendants du pouvoir, les associations et partis solidaires de la révolte tunisienne.
Solidarité totale avec les luttes du peuple tunisien.
Premiers signataires : Alternative Libertaire-Marseille (AL) – Association des Travailleurs Maghrébins de France(ATMF) – Association des Tunisiens en France (ATF) - ATTAC Marseille - Confédération Nationale du Travail (CNT) - Fédération pour une Alternative Ecologique et Sociale (FASE) – Femmes en noir - Gauche Unitaire - Ligue des Droits de l’Homme (L.D.H.13) – Mouvement ETTAJDID de Tunisie - Mouvement contre le Racisme pour l’Amitié entre les Peuples (MRAP 13) - Nouveau Parti Anticapitaliste (N.P.A.13) – Parti Communiste Français (PCF13) - Parti
http://almarseille.blogspot.fr/2011/03/ ... debat.htmlNous vous invitons à débattre autour du livre de Larry Portis
Qu’est-ce que le Fascisme ?
L'auteur connu pour ses livres Les classes sociales en France : un débat inachevé (1789-1989), IWW et syndicalisme révolutionnaire aux États-Unis et Histoire du fascisme aux États-Unis sera présent pour introduire et animer le débat.
Dans une période ou le fascisme redevient menaçant, il nous semble essentiel pour le combattre de savoir le définir dans un premier temps. Nous invitons donc tous, militants, militantes, curieux et curieuses à venir débattre et proposer des solutions concrètes pour lutter contre la peste brune.
Débat Samedi 26 Mars
17H Mille Babords
Marseille
si vous ne pouvez pas venir le livre est en vente en ligne :
http://boutique.alternativelibertaire.o ... 665cd24340
Manifestation le 1er Mai 2011 à 10 h 30 au Vieux-Port à Marseille(arrivée Porte d’Aix).
Pour un 1er mai anticapitaliste et internationaliste, pour affirmer une alternative révolutionnaire, rejoignez le cortège libertaire unitaire.
Face aux reculs sociaux, aux mesures liberticides, à la montée actuelle du racisme et du fascisme en France et ailleurs, il est important de réaffirmer notre combat pour une société de femmes et d’hommes libres et égaux, pour l’égalité économique et sociale, pour la libre circulation des individus, pour l’égalité des sexes et contre toutes les discriminations racistes, sexistes, homophobes,…
Aussi, nous vous invitons à venir nous rejoindre ce dimanche 1er mai, à 10 heures métro Vieux Port sortie place Gabriel Péri (entre l’église Saint Féréol et le club Pernod) pour constituer le cortège libertaire unitaire qui défilera après les cortèges syndicaux.
A la fin de la manifestation les diverses composantes du cortège libertaire tiendrons tables de presse et stands où se restaurer, à la sardinade de la Plaine, place Jean Jaurès.
http://almarseille.blogspot.fr/2011/05/ ... ation.htmlSolidarité et régularisation !
Face au traitement indigne infligé aux migrants issus des pays en révolution au sud de la Méditerranée et arrivés récemment à Marseille via l’Italie : Solidarité et régularisation !
La situation d’incertitude créée par le soulèvement populaire en Tunisie et la rupture du fragile équilibre économique et sociale de la bande frontalière avec la Libye d’où arrivaient par centaines de milliers des réfugiés fuyant la guerre, ont poussé des milliers de jeunes Tunisiens originaires de cette région à traverser par des moyens de fortune la Méditerranée.
En France, beaucoup sont interpellés et renvoyés vers l’Italie (même ceux possédant une autorisation provisoire de séjour « Schengen » délivrée à titre humanitaire par Rome). D’autres errent aujourd’hui dans les rues et les squares des grandes villes de France, dont Marseille depuis fin avril.
Le soutien d’urgence que leur apportent associations et collectifs, l’entraide communautaire et citoyenne ne suffisent évidemment pas.
Nous refusons l’instrumentalisation idéologique et politique de cette situation et en appelons au gouvernement français pour qu’il adopte des solutions à la hauteur des enjeux. Nous sommes en droit d’attendre de notre pays une autre réponse, digne et responsable.
Nous demandons en urgence à l’administration préfectorale :
- l’arrêt immédiat des rafles et violences policières et la libération des personnes arrêtées,
- l’examen en urgence, avec les associations compétentes, de solutions d’accueil dignes (hébergement, santé, alimentation, hygiène, sécurité…),
- la délivrance d’une carte de séjour à titre exceptionnel eu égard aux situations politiques et économiques encore difficiles dans leurs pays d’origine.
Nous appelons les associations, syndicats, collectifs, organisations politiques et l’ensemble des citoyens à la mobilisation générale pour permettre accueil et solidarité respectant la dignité des migrants.
Notamment en interpellant les collectivités locales (mairie de Marseille, Conseil général, Conseil régional) afin qu’elles prennent, elles aussi, leurs responsabilités.
Nous soutenons les processus démocratiques en cours. Ils ne peuvent être séparés de la fondation de rapports internationaux plus justes et plus équilibrés, basés sur une égalité des droits des individus et des peuples à la liberté, à une vie digne et indépendante ainsi qu’à des droits égaux à la liberté de circulation.
RASSEMBLEMENT MARDI 31 MAI à 18h30
devant la préfecture (place Félix Barret)
Collectif marseillais « Solidarité Migrants Méditerranée »
Premiers signataires : Association des Tunisiens de France, Les Alternatifs, Alternative Libertaire, ATMF, CGT Educ’action, Collectif Solidarité Maghreb, FTCR, FSU, LDH, NPA, PCF, RESF…
« Paroles de Galère » annonce la rentrée à la Friche Belle de Mai. Pour cette deuxième édition, avec le soutien de Système Friche Théâtre, le festival de Radio Galère 88.4 invite les marseillaises et marseillais à investir la rue de la verrière le samedi 3 et le dimanche 4 septembre à partir de 14 heures. Fort d'un premier galop concluant, le collectif « Paroles de Galère » entend bien relever le défi de construire la deuxième édition d'un évènement qui se veut être un lieu de débat, de culture, de partage et d'expérimentation sociale. En soutien direct à Radio Galère et aux radios libres, le collectif revendique une culture populaire, une culture locale, souterraine et militante, une culture survivante qui trace son sillon en opposition aux schèmes de pensée utilitaristes et mercantiles.
Accessible à tous et toutes Paroles de Galère défend une politique du prix libre, et vous invite à participer aux débats, profiter des concerts (Lo Cor De La Plana, Duval Mc, RPZ, Gigotronc, Harcelor, Les statonells, ballètis, scène musiques du monde), des créations et reportages radiophoniques venus de la France entière, du cinéma en plein air de Primitivi, de performances, d''ateliers, et de la restauration inventive et raffinée de la Kuizin...
Rendez- vous à la Friche Belle de Mai le Samedi 3 et le dimanche 4 septembre 2011 à partir de 14 heures, le temps d'un week-end, en plein air pour la deuxième édition de Paroles de Galère, Festival Populaire et Militant !
http://almarseille.blogspot.fr/2012/02/ ... gales.htmlD’égal à égales
parcours de femmes migrantes et syndicalistes
Projection Débat le vendredi 10 février 2012 à 19h 30 au Polygone étoilé 1 rue Massabo 13002 Marseille
En 1879 le troisième congrès ouvrier qui se tenait à Marseille votaient une résolution réclamant l’égalité civile, politique, économique et sociale des hommes et des femmes (*). Pour la première fois, le mouvement ouvrier français entérinait les revendications féministes les plus avancées de l’époque.
D’égal à égales montre le chemin qui a été parcouru depuis, mais aussi celui qui reste à faire pour arriver à une égalité réelle. Ce film de Corinne Mélis et Christophe Cordier trace les portraits de Kheïra (CGT - Textile), Noura (UNSA - assistante maternelle), Dorothée (ex-CGT Disneyland) et Anissa (Sud-Rail).
Migrantes ou filles d’immigrants, elles ont choisi de s’engager face à la dureté des conditions de travail et à la précarité des salariés dans les secteurs du nettoyage, du commerce, des services aux particuliers, d’industries à l’agonie, où l’on retrouve nombre de femmes issues de l’immigration. Travailleuses et syndicalistes, elles bousculent les stéréotypes sur les « femmes immigrées », leur engagement questionne le milieu syndical qui peut reproduire en son sein des pratiques qui marginalisent les femmes, les immigrés, les plus précaires.
Elles nous racontent une démarche d’émancipation individuelle et collective dans une société où sexisme et racisme restent d’actualité, tandis que s’accentue la précarisation du salariat. Ce film pose enfin la question du renouvellement syndical, en tant qu’outil de transformation sociale, à l’articulation des luttes contre l’exploitation capitaliste et des luttes d’émancipation.
La projection du film sera suivie d’un débat en présence du réalisateur Christophe Cordier et avec le collectif Alternative Libertaire Marseille.
Ensuite la discussion se poursuivra en grignotant et en buvant un verre.
(*) Extrait de la résolution sur les femmes votée le 31 octobre 1879 au Congrès ouvrier socialiste de Marseille : « Le congrès, considérant que l’homme et la femme sont équivalents devant la nature, considérant qu’ils sont aussi indispensables l’un que l’autre à la perpétuation de la société, déclare qu’ils doivent régir ensemble cette société et partager l’exercice des mêmes droits, tant dans la vie publique que dans la vie privée. Le congrès, partant de ce principe, l’égalité absolue des deux sexes, reconnaît au femmes les mêmes droits sociaux et politiques des [sic] hommes. Qui dit droit, dit responsabilité : la femme doit travailler, n’étant pas moins tenue de produire que l’homme, vu qu’elle consomme, le congrès émet le vœu qu’il y ait pour les deux sexes même facilité de production et application rigoureuse de cette formule économique : à production égale salaire égal. »
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