Du vendredi 29 juillet au Samedi 6 août avec apothéose le dimanche 7 août sur le Festival du Chien à plumes.
« de Bure à Valduc, les déchets c’est - vraiment - de la bombe ! »
http://www.lescolporteurs.info/agenda/d ... bombe.html
http://www.sortirdunucleaire.org/Apres- ... iations-etAprès la victoire juridique contre l’ANDRA, la lutte à Bure continue de plus belle !
Les associations et habitants déposent un nouveau recours
Après leur victoire juridique et la suspension des travaux dans le bois Lejuc ordonnée par le tribunal, les habitants et opposants déposent un nouveau recours contre l’arrêté du maire de Mandres-en-Barrois (Meuse), autorisant, à posteriori les travaux d’édification d’un mur. Face au rouleau compresseur de l’ANDRA, la lutte à Bure continue de plus belle, alliant batailles juridiques et actions sur le terrain.
Rappel des faits : l’ANDRA réalisait des travaux en toute illégalité depuis des semaines
Depuis le 6 juin 2016, l’ANDRA avait entrepris des travaux de défrichement et de clôture sur le bois Lejuc à Mandres, afin d’y réaliser des sondages en vue du dépôt de la demande d’autorisation de création du projet CIGEO. Ces travaux préliminaires sont directement en lien avec le projet CIGEO et n’avaient fait l’objet d’aucune demande d’autorisation préalable, pourtant exigée par le Code forestier et le Code de l’urbanisme. Le défrichement, en particulier, ne pouvait être réalisé sans étude d’impact ni enquête publique.
Alors que les opposants tentaient depuis plusieurs semaines par de nombreuses actions et occupations d’empêcher l’avancée de ces travaux illégaux, l’ANDRA a tout fait pour les accélérer, les réalisant de jour comme de nuit, ainsi que le week-end.
Face à un tel rouleau compresseur, 8 associations et 4 habitants de la commune ont été contraints de saisir en référé le Tribunal de Grande Instance de Bar-le-Duc. Le 1er août 2016, le tribunal a donné raison aux opposants, en ordonnant la suspension des travaux illégaux et en demandant la remise en état du site dans un délais de 6 mois, sauf autorisation en bonne et due forme obtenue d’ici là. Et l’ANDRA risque bien de ne jamais pouvoir obtenir ce fameux sésame dans les temps, puisqu’elle va devoir réaliser une étude d’impact, ainsi qu’une enquête publique, une procédure longue et complexe...
Cette décision a permis – s’il en était besoin – de dévoiler les manœuvres et pratiques plus que douteuses de l’ANDRA. Si elle s’arrange aujourd’hui avec la réglementation, qu’en sera-t-il demain lorsqu’il s’agira de mettre en œuvre le chantier industriel le plus risqué et le plus complexe du siècle ?
Un nouveau recours contre un arrêté ubuesque
Au cours de l’audience de référé du 28 juillet, l’avocat de l’ANDRA a produit un arrêté de non-opposition à une déclaration préalable daté du même jour et autorisant l’ANDRA a édifier « une clôture en éléments de béton » dans le Bois Lejuc. Arrêté qu’elle venait de recevoir par un messager bien particulier de l’ANDRA. Ubuesque ! Cet arrêté entaché de multiples irrégularités a en réalité été pris pour tenter de régulariser les travaux d’ampleur illégalement entrepris par l’établissement public depuis des semaines.
Or l’ANDRA ayant cru pouvoir se permettre de commencer les travaux de défrichement et d’édification du mur de béton sans autorisation, il est fort probable, malgré l’ordonnance de référé, qu’elle cherche à poursuivre ces travaux se fondant sur cet arrêté du 28 juillet, totalement illégal. Pourtant, pour qu’une autorisation de construction du mur puisse être délivrée par le maire de Mandres, l’ANDRA aurait dû demander en amont une autorisation de défrichement au Préfet. Celle-ci n’ayant pas respecté la procédure, légale, l’arrêté du maire de Mandres ne peut être qu’illégal.
C’est pourquoi les 8 associations et 4 habitants viennent de déposer, devant la justice administrative, un recours en référé et un recours au fond contre la décision du maire de Mandres, afin de ne laisser aucune possibilité à l’ANDRA de poursuivre ces travaux. Alors qu’un grand temps de mobilisation est en préparation pour le week-end des 13, 14 et 15 août, la lutte à Bure s’amplifie et a de beaux jours devant elle. Elle ne cessera qu’avec l’arrêt du projet irresponsable d’enfouissement des déchets du nucléaire.
http://vmc.camp/2016/07/31/du-8-au-19-a ... ce-a-bure/Aux confins de la Meuse, il se trame quelque chose. Depuis le début de l’été, nous avons multiplié les manifestations contre la poubelle nucléaire et son monde. Nous nous sommes rassemblé.e.s à plusieurs milliers devant le « laboratoire » et avons occupé, pendant 3 semaines, le bois Lejuc pour bloquer les travaux. La résistance au projet CIGEO a trouvé le point de ralliement qui lui manquait. Un nouveau front s’ouvre contre le diktat des aménageurs.
Tout au long de ces semaines, nous avons été de plus en plus nombreux-euses. Des personnes venues de toute la France et d’Europe ont convergé vers Bure pour de grands rassemblements festifs. Beaucoup de vies ont été bouleversées par les événements récents. Certain.e.s habitant.e.s se sont retrouvé.e.s à dormir sur les barricades, dans la chaleur du mois de juillet. Des paysan.ne.s ont bloqué les voies d’accès avec leurs tracteurs. Des gen.te.s d’ici et d’ailleurs sont présent.e.s au quotidien, pour quelques jours, ou pour s’installer progressivement. Ils plongent dans la lutte et s’attachent à cette terre qu’ils ne connaissaient pas il y a encore deux mois, décidés à peupler ce territoire hostile d’une joie indestructible.
Après nos premiers succès, nous avons aussi essuyé des coups au moral et sur les corps. Nous avons été expulsé.e.s de la forêt, puis nous y sommes retourné.e.s, fort.e.s d’une énergie collective encore jamais ressentie. L’intensité du mouvement a poussé l’Andra, derrière sa propagande bien rôdée, à révéler son vrai visage répressif : des manifestant.e.s ont été blessé.e.s par les flashballs des gendarmes, par les manches de pioche des vigiles ou placé.e.s en garde à vue. A l’orée du bois, l’agence érige maintenant des murs et des barbelés. Les hélicoptères de la gendarmerie survolent les villages. Plus que jamais, à Bure, l’été d’urgence est déclaré.
#Occupybure
Une première étape a été franchie. Nous devons désormais penser au coup d’après et enraciner la résistance. Nous appelons à deux semaines de rencontres, du 8 au19 août pour poursuivre les chantiers en cours, à l’ancienne Gare de Luméville (à 5 kilomètres de Bure). Nous y installerons un campement pour construire, échanger et s’organiser sur le long terme. Venez avec vos envies, vos idées et votre matériel. Nous imaginons promenades, blocages, débats, jeux grandeur nature, ateliers… Toutes les énergies seront les bienvenues pour faire le procès du nucléaire et de son monde !
Le week-end du 12-13-14 août sera le point d’orgue du campement. Vendredi 12 août au soir : concerts ; samedi 13 : ballades et présentation de la lutte et dimanche 14, à 11h : grande manifestation contre le projet CIGEO et l’accaparement du bois Lejuc. Retrouvons-nous massivement à Bure pour ensevelir la poubelle nucléaire sous une irréversible marée humaine !
C’est maintenant que ça se passe !!!
ANDRA, DEGAGE ! RESISTANCE ET AFFOUAGES ! CONSTIPONS LE NUCLEAIRE ET LE CAPITALISME !
http://www.lechatnoir51.fr/2016/08/bure ... signe.htmlDans un communiqué de ce jour, 5 août 2016, “L’Andra prend acte de cette décision (du TGI de Bat-le-Duc du 1er août 2016) et entreprend les démarches pour régulariser la situation et obtenir l’autorisation de défrichement auprès des autorités compétentes. L’Agence reconnaît une erreur d’appréciation concernant la nature des travaux de défrichement entrepris au Bois Lejuc. Ces travaux ont été réalisés pour sécuriser ce site dont elle est propriétaire et protéger les salariés qui y travaillent, suite aux dégradations et actes de malveillance commis par les opposants au projet Cigéo.
Par ailleurs, compte tenu de la durée de la procédure de demande d’autorisation de défrichement, l’Andra envisage de faire appel, en particulier afin d’obtenir un allongement du délai fixé par l’ordonnance pour la remise en état éventuelle, dans le cas où l’autorisation ne serait pas accordée.”
Par ailleurs, elle “n'exclut pas de reprendre les travaux de pose de la clôture dans les prochains jours. Ces travaux, qui seront effectués sans défrichement supplémentaire, sont indispensables pour empêcher tout nouvel acte de malveillance sur la propriété de l’Andra. Initialement, l’Andra ne souhaitait pas avoir à clôturer le bois Lejuc, et n’a jamais eu à mettre en place un tel dispositif de sécurité.”
Donc, s’il n’y avait pas de méchants opposants au projet Cigéo, l’Andra n’aurait pas posé de clôture (joli mot pour ne pas dire mur, d’une longueur de 3 648 m et d’un poids de 3 356 tonnes, dont 627 m ont déjà été réalisé)… Alors, pourquoi avoir défriché en toute illégalité, sinon pour poser cette clôture ?
Même si la déclaration préalable à la construction du mur a été faite après le début de la construction et que par décision du maire de Mandres-en-Barrois ne s’opposant pas à cette construction n’intervient que le 28 juillet, date du procès, le TGI n’a pu s’opposer à cette décision administrative (un recours au Tribunal administratif est en cours). C’est en jouant sur cet ambiguïté que l’Andra indique qu’elle va reprendre ses travaux… juste avant le rassemblement des opposants le week-end du 15 août. Nouvelle provocation !
http://vmc.camp/2016/08/14/les-murs-tom ... ois-lejuc/Les murs tombent dans le Bois Lejuc !
Aujourd’hui, près de 500 personnes, jeunes, moins jeunes, militant-e-s de tous les horizons, habitant-e-s, agriculteurs, ont réinvesti le Bois Lejuc et procédé à sa remise en état dans une atmosphère festive et déterminée. Plusieurs centaines de mètres de pans de mur illégalement érigés ont été abattus, d’autres redécorés, des arbrisseaux plantés. Quelques plants de légumes plantés lors de l’occupation de la forêt du 19 juin au 7 juillet, rescapés de la reprise de la forêt par l’Andra, ont même été repiqués.
Militant-e-s récemment mobilisé-e-s et opposant-e-s de la première heure se sont retrouvé-e-s à l’ombre des arbres libérés pour pique-niquer et refaire le monde sur les ruines du mur. Avec la chute de ce mur, ce n’est pas seulement un symbole de la violence et du passage en force de l’Andra qui est tombé ; c’est aussi la chape de plomb de la fatalité et de la résignation qui s’est fissurée.
Cette fronde populaire est une saine et légitime défense face au rouleau compresseur de l’Andra, prête à tout pour imposer CIGÉO (emploi de vigiles surarmés, mépris des lois, mépris des décisions de justice). Les centaines de personnes arrivées dans le bois ont pu constater l’ampleur des dégâts infligés à la forêt : coupes dans des futaies de jeunes arbres, nouvelles et larges saignées dans les taillis… Certains indices laissent d’ailleurs penser que l’Andra a poursuivi ce défrichement illégal même après la décision de justice du 1er août. Nous attendons avec impatience les échéances juridiques à venir.
Face à l’étendue des dégâts et la mauvaise foi de l’Andra, il nous semble plus qu’essentiel de continuer à défendre la forêt dans les jours et semaines à venir.
https://zad.nadir.org/spip.php?article3973Bonjour à toutes et à tous !
Après l’écrasante victoire du week-end dernier et la joyeuse mise à bas du symbole en béton de l’arrogance de l’ANDRA, on propose de se retrouver tranquillement dimanche à partir de 11h pour une ballade dans la forêt à nouveau libérée de l’ANDRA et sa police.
Apportez un repas à partager, une bouteille d’eau, rendez-vous à 11h devant la Maison de BUre avant de partir en convoi !
Profitons du fait que, pour l’instant, la forêt est entièrement libérée non seulement de son infâme mur mais également des gendarmes et des vigiles ! Promenons nous dans les bois pendant que l’ANDRA n’y est pas ! Renforçons les vigies ! Cueillons des mur(e)s sauvages pour en faire des confitures ! Discutons de la suite de la mobilisation pour défendre le bois.
A DIMANCHE, faites tourner !
http://www.alternativelibertaire.org/?A ... us-tensionAntinucléaire : Bure sous tension
Le week-end des 5 et 6 se tenait le rassemblement des 200 000 pas à Bure (après les 100 000 pas en juin 2015), dans le sillage duquel s’est monté tout un moment de débats et convergences : Bure Anticapitaliste. Retour sur ces journées.
Le succès du week-end des 200 000 pas qui a rassemblé un millier de personnes à Bure les 5 et 6 juin tient sûrement à la pression mise sur la région depuis un an. Le projet d’enfouissement de déchets nucléaires de l’Andra (Agence nationale pour la gestion des déchets radioactifs), Cigéo, remonte à 1994 [1]. Depuis septembre 2015 l’agence a accéléré son implantation et ses travaux, tant géologiques que pour la desserte du site (élargissement de route) ou encore de creusement (galeries et descenderie). Encore plus récemment, une zone forestière prévue pour abriter les puits de ventilation (le bois Lejuc, sur la commune de Mandres-en-Barrois) a été grillagée et partiellement défrichée. La forêt sur cette zone est en passe d’être rasée, et ce en toute illégalité puisqu’un recours juridique des habitants et habitantes est en cours contre cet accaparement (il s’agit d’une forêt échangée contre un autre terrain ; les travaux furent votés lors d’un conseil municipal tenu à 6 h du matin, dans le dos des élu-e-s opposés). L’ensemble des composantes de la lutte est donc très mobilisé ces derniers mois. Des chantiers participatifs, des recours juridiques et des manifestations ont émaillé l’année 2016. On assiste à une belle convergence entre associations et collectifs d’habitants et opposants, front paysan, etc., rassemblés pour dire non à l’Andra.
Nombreuses similitudes avec Notre-Dame-des-Landes
La lutte semble si bien organisée qu’elle s’amplifie, montrant de nombreuses similitudes avec Notre-Dame-des-Landes, et même de nombreux contacts et soutiens mutuels concrets. Là aussi on trouve un large spectre de fronts et de mode d’action. En dehors du réseau Sortir du nucléaire, la plupart des collectifs historiques sont rassemblés dans la coordination Bure Stop ! : collectifs antinucléaires, Meuse nature environnement et Mirabel Lorraine environnement, plusieurs associations d’habitants et habitantes ou d’élu-e-s (tel le Cedra, Collectif contre l’enfouissement des déchets radioactifs, qui par exemple refuse l’enfouissement mais est moins radical sur la question de la gestion des déchets nucléaires), mais aussi Bure zone libre (BZL), le collectif logé à la Maison de la résistance, qui depuis 2004 est une base solide d’information et d’auto-organisation. Pour compléter cette coordination, depuis quelques années, le mouvement autonome a rejoint la résistance pour se baser à la gare de Luméville, sur un terrain privé et prêté par des opposants et opposantes, mais que l’Andra veut récupérer pour faire transiter les chargements vers le site.
Un Printemps des luttes paysannes
Enfin, l’importance du front paysan est cruciale puisque c’est à elles et eux que l’Andra rachète (ou extorque) les terrains agricoles. Ils étaient peu jusqu’aux dernières années à avoir réagi au projet Cigéo, tandis que d’autres ne savaient pas trop à quoi s’en tenir ou redoutaient de s’opposer. Mais certains se sont aussi installés en connaissance de cause et, pour les autres, les opposants et opposantes font en sorte d’aller vers eux, de les informer à diverses occasions. Par ailleurs, en avril 2016, Bure a abrité un Printemps des luttes paysannes, qui a consisté en un « semis radieux » de patates pour « coller des patates à l’Andra », et un autre d’orge et d’avoine (1 hectare) « pour enraciner la résistance à l’accaparement de plus de 3 000 hectares de terres par l’Andra ». Un détail remarquable cependant, la présence d’un tracteur des Jeunes agriculteurs, ce syndicat agricole proche de la FNSEA, mais avec une banderole correcte. La lutte de Bure a aussi ses soutiens politiques actifs dont le NPA tendance Claire de Commercy [2] .
C’est sur le terrain privé d’une sexagénaire que se sont réunies ces rencontres de la mouvance anticapitaliste, antiautoritaire et internationaliste, dans le petit village de Naix-aux-Forge.
Le premier jour, les débats étaient consacrés au projet de société puis à la question de la stratégie de lutte. C’est surtout l’expérience du Rojava qui a imprégné les débats, partant d’une analyse de la révolution démocratique, traitant de l’émancipation progressive des femmes depuis les années 1980, pour en arriver à l’expérience du municipalisme, et à la question de son application dans des pays au cœur du capitalisme tels que la France. La soirée s’est terminée autour d’un repas, occasion de se rencontrer et consolider nos liens, de la projection de Kurdistan : la guerre des filles, puis d’un concert des chorales révolutionnaires de Nancy, très mobilisées.
Le deuxième jour a vu les environs occupés par trois randonnées collectives destinées à faire connaître les installations de l’Andra (des chantiers plutôt que le « laboratoire » tant vanté). Les habitants et habitantes de la gare de Luméville tournaient quant à eux une vidéo satirique de zombies, témoin du caractère hétéroclite du combat. Les randonnées ont convergé vers le point de rassemblement dans un champ à Bure, gros d’un millier de personnes. Délicieux repas des cantines, crêpes, ateliers pour enfants, stands d’information, vélos à énergie renouvelable, fanfares, le rassemblement avait toute la convivialité des fêtes de village, permettant de vraiment mêler le public local et le public militant. En effet se côtoyaient des familles de la région, des militantes et militants de tout l’Est, de Paris ou Nantes, et même des antinucléaires allemands et luxembourgeois. Les prises de paroles des organisatrices et organisateurs se sont tenues devant huit tracteurs, pour se terminer dans un concert de casseroles. Vu l’ampleur du rassemblement, on peut déplorer le peu de relais médiatiques. Ce rendez-vous a enfin permis de monter des actions en urgence pour contrecarrer les travaux de l’Andra dans la forêt de Mandres-en-Barrois : le 9 juin, les militantes et militants ont empêché le démarrage des travaux en bloquant l’accès à la plateforme logistique (voir photo) au moyen de barricades, tranchées, sabotage de la remorque d’un grumier, conférence gesticulée sur le nucléaire devant des dizaines de vigiles et de garde mobiles. Un appel à soutien le 19 juin avait également tourné.
Les groupes AL de l’Est (51, 54, 57)
[1] Lire AL n° 253 de septembre 2015, « Meuse : Une poubelle nucléaire en chantier »
[2] Pour en savoir plus sur les collectifs : http://burezonelibre.noblogs.org ; http://vmc.camp.
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