Notre réponse : la grève !Destruction de la réglementation du travail,
• suppression de plus de 1400 emplois,
• sécurité ferroviaire de plus en plus aléatoire,
• développement de la précarité (contractuel-les, sous-traitance, intérim…)
Les patrons de la SNCF annoncent la couleur pour 2016 !
Les fédérations syndicales ont déposé une « demande de concertation immédiate ». Voilà qui est fort bien, mais pourquoi ne mènent-elles pas une campagne de masse, offensive, avec des tracts, des réunions, des assemblées générales au plus du terrain ?
Et nous, que faisons-nous ? On se contente d’attendre ? C’est la pire des solutions.
Prenons nos affaires en mains ! Pepy a son agenda, avec ses revendications. Imposons les nôtres :
amélioration du RH 0077 qui doit servir de base à une réglementation du travail commune à tous les salarié-es du secteur ferroviaire,
augmentation des salaires,
des embauches, au Statut, pour améliorer les conditions de travail et assurer correctement le service public ferroviaire, dans les gares, les dépôts, les ateliers, les brigades, les trains, les bureaux, les postes…
Le 26 janvier, CGT, FO et Solidaires appellent les fonctionnaires à la grève. Il faut une grève nationale interprofessionnelle ! Les cheminots et les cheminotes ont plein de raison d’élargir ce mouvement actuellement limité à la Fonction publique et d’y donner un tour plus radical que celle d’une journée de manifestations sans lendemain.