http://blog.fdn.fr/?post/2011/06/21/Il- ... es-FAI-%21
Ben voilà. Quand on a pour seul outil un marteau, tous les problèmes ont tendance à ressembler à des clous !
Yann.
PS: Ils sont toujours aussi cons au PCF/PG ou ils le font exprès ?
Yannix a écrit:http://blog.fdn.fr/?post/2011/06/21/Il-ne-faut-pas-nationaliser-les-FAI-%21
Ben voilà. Quand on a pour seul outil un marteau, tous les problèmes ont tendance à ressembler à des clous !
Yann.
PS: Ils sont toujours aussi cons au PCF/PG ou ils le font exprès ?
Sommaire :
1 - Tempest, l’art d’écouter aux portes électromagnétiques
2 - Tweeter chiffré n’est pas jouer
3 - La Marétique, des TIC qui ne doivent pas prendre l’eau
4 - Les entreprises TIC US « pro-dictateurs » dans le collimateur
Le spécialiste russe des antivirus, Kaspersky Lab, a découvert un nouveau virus informatique. Baptisé Flame, il serait utilisé comme une cyber-arme contre l'Iran et plusieurs autres pays. Les autorités iraniennes ont réagi dans la foulée expliquant qu'elles avaient mis en place un antidote.
Selon Kaspersky Lab ce virus circulerait dans la nature depuis près de deux ans et aurait un potentiel d'infiltration inégalé. Baptisé Flame, il est capable de dérober des informations dans des fichiers stockés, des listes de contacts, ou des conversations audio. Selon l'éditeur russe d'antivirus :
"La complexité et la fonctionnalité du programme récemment détecté dépassent celles de toutes les autres cybermenaces connues à ce jour."
Flame aurait été utilisé pour cibler l'Iran, déjà attaquée par plusieurs virus ces dernières années. Le ministère du pétrole et le principal terminal du pays auraient été visés cette fois-ci. Un précédent virus ciblait le programme nucléaire iranien.
Les spéculations vont d'ailleurs bon train pour savoir qui est derrière la fabrication de Flame. Il semble peu probable qu'il soit l'œuvre – comme souvent – de "petits génies" de l'informatique. Selon Kaspersky, "la sophistication de la menace ne laise aucun doute sur le fait que c'est un État qui a sponsorisé la recherche".
Le ministre israélien des Affaires stratégiques a d'ailleurs étayé ces spéculations expliquant qu'il trouvait justifié le recours à de puissants virus informatiques afin de contrer la menace nucléaire iranienne.
Selon l'agence iranienne Fars, le virus est déjà responsable du vol à grande échelle au cours des dernières semaines de données, sans préciser quels types de données avaient été piratés. Toujours selon Fars, Flame serait particulièrement actif en Iran, au Soudan, en Syrie, en Arabie Saoudite et en Égypte. Les autorités iraniennes viennent d'affirmer qu'elles avaient à préparer un anti-virus capable de l'éliminer.
Flame, puissant virus utilisé comme cyber-arme, précisions de Grégory Philipps, interrogé par Bernard Thomasson
Nous sommes à Bluffdale, dans l'Utah, dans l'ouest des Etats-Unis, en plein pays mormon. Le magazine Le Point nous emmène dans cette commune de 8.000 habitants entourée de montagnes. Le journaliste Guillaume Grallet pousse la porte du saloon, le Porter's Place. Ici, la spécialité, c'est la viande de cerf ; on expose des échantillons de barbelés qui ont servi à la conquête de l'ouest. Les attractions sont rares : un concours de miss, ou encore le "Demolition derby", un rallye pour breaks cabossés.
C'est là, dans cette région rurale, que l'Etat américain construit le plus grand centre de cybersurveillance du monde. Il va espionner la planète en permanence. Il pourra intercepter n'importe quel message électronique, toutes les requêtes sur Google, la moindre note de restaurant, tous nos achats dès lors qu'ils transitent par un système informatique, toutes les informations numérisées à travers le monde. Il pourra analyser simultanément l'équivalent de mille millions de milliards de livres de 500 pages.
Le centre devrait ouvrir en octobre 2013, avec ses neuf hectares de bâtiments remplis de serveur. Les travaux, qui ont commencé, vont coûter deux milliards de dollars, plus d'un milliard et demi d'euros. C'est cher, mais pour la Maison Blanche, depuis les attentats du 11 septembre, la cybersurveillance est devenue une priorité. Tant pis pour les défenseurs de la vie privée. Dans Le Point, Laura, qui habite une ferme à Bluffdale, balaie leurs arguments : "Si vous n'avez rien à vous reprocher, qu'est-ce que cela peut faire ?". Au saloon, un candidat au congrès va plus loin : "De toutes façons, ce ne sont pas les Américains que le centre va surveiller, mais nos ennemis, les Chinois ou les Russes".
Les Etats-Unis ont au moins deux raisons de construire ce centre dans l'Utah. D'abord, la région accueille déjà plusieurs entreprises spécialisées dans les nouvelles technologies. Ensuite, elle est le siège de la Brigham Young University, parfois surnommé le "Harvard des Mormons". A force de faire du proselytisme, les Mormons parlent souvent plusieurs langues. Les 35.000 élèves de la faculté sont particulièrement recherchés. Le Point explique qu'à Bluffdale, le FBI commence déjà à recruter.
Retourner vers Débats de société
Utilisateurs parcourant ce forum : Aucun-e utilisateur-trice enregistré-e et 22 invités