Guiz a écrit:Franchement j'ai pas tout lu, mais la vidéo avec la porte-parole d'Alternative Libérale, comme argument c'est vraiment plus que limite, ça fait vraiment pensé à l'argumentation des fafs: gauchistes=allier des islamistes...
Ian a écrit:Quelle "stratégie électoraliste et réformiste"? Un peu de sérieux kuhing...
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Tu confonds être réformiste et en faveur de réformes. Être réformiste c'est penser qu'on arrivera au socialisme par une succession de réformes dans le cadre de l'État bourgeois. On peut tout à fait se battre pour obtenir des réformes dans le cadre du capitalisme, sans pour autant penser atteindre le socialisme par ce biais (c'est le cas d'à peu près tous les révolutionnaires).kuhing a écrit:- avancer le mots d'ordre de hausse des salaires, meilleure redistribution des profits, et s'en tenir là *, proposer "un service public bancaire européen" si c'est pas du réformisme, tu appelles ça comment ?
Comme dans les socialismes utopiques, une description de A à Z de la société idéale? Effectivement le NPA n'est pas kuhingiste et ne pense pas qu'on arrive du jour au lendemain à la société idéale, d'un coup de baguette magique.Pïérô a écrit:Je ne crois pas que kuhing se trompe beaucoup. As tu un lien vers le projet révolutionnaire et sociétaire du NPA ?
Ian a écrit:Tu confonds être réformiste et en faveur de réformes. Être réformiste c'est penser qu'on arrivera au socialisme par une succession de réformes dans le cadre de l'État bourgeois. On peut tout à fait se battre pour obtenir des réformes dans le cadre du capitalisme, sans pour autant penser atteindre le socialisme par ce biais (c'est le cas d'à peu près tous les révolutionnaires).kuhing a écrit:- avancer le mots d'ordre de hausse des salaires, meilleure redistribution des profits, et s'en tenir là *, proposer "un service public bancaire européen" si c'est pas du réformisme, tu appelles ça comment ?
En bref, tu confonds le sens des termes.
CCR a écrit:
Olivier Besancenot ne se présentera pas aux présidentielles de 2012
Le problème n’est pas le porte-parole mais l’orientation et le type de parti que nous voulons construire
La semaine dernière, dans une lettre adressée aux militants du Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA), Olivier Besancenot a fait part de sa décision de ne pas se représenter aux élections de 2012 comme candidat aux présidentielles. La nouvelle a créé un nouveau choc au sein du NPA alors que le parti n’est pas encore remis de la crise de stratégie ouverte lors du premier congrès. Parallèlement cette annonce a été reçue avec un enthousiasme certain par le Front de Gauche de Mélenchon qui voit son espace électoral à la gauche du PS s’élargir. Alain Krivine lui-même a été contraint de l’admettre : « sur le plan électoral, ça peut être moins bon. C’est peut-être un cadeau indirect à Mélenchon » (Le Journal du Dimanche, 8/5/2011). Même le PS s’est félicité de l’annonce : « Le PS se voit débarrassé d’un concurrent qui captait un électorat beaucoup plus large que celui de l’extrême gauche. ‘On peut se dire positivement que cela va limiter la division de la gauche’, remarque Benoît Hamon, porte-parole du PS » (Libération, 6/5/2011).
Des arguments de gauche qui ne remettent pas en question la politique et l’orientation opportunistes de la direction actuelle du NPA
Dans sa lettre Olivier Besancenot affirme qu’il n’a jamais voulu être « l’éternel candidat d’extrême gauche » et met en garde contre « les risques de la personnalisation à outrance » des leaders politiques et contre « la dynamique consensuelle qu’impose la joute électorale et médiatique à répétition ». Ces arguments de gauche sur l’un des risques que pose le terrain électoral, l’un des moins favorables aux les révolutionnaires car totalement dominé par la bourgeoisie, que ce soit à travers le système électoral lui-même ou le contrôle des médias, ne remettent pas en question l’orientation opportuniste sur laquelle la direction actuelle mène le parti.
Le problème en effet n’est pas tant le porte-parole que la stratégie et le type de parti que nous construisons. Le fossé entre la popularité d’Olivier Besancenot et celle du NPA n’est pas seulement le résultat de l’action des médias mais celui d’une construction politique délibérément basée sur l’occupation d’espaces politiques vides (électoraux, syndicaux, etc.) et non sur une construction organique au sein de la classe ouvrière et de la jeunesse exploitée et opprimée.
L’absence d’une délimitation programmatique et de classe claire, implicite dans les principes fondateurs du parti, ne peut que donner lieu à une grande hétérogénéité et à des orientations politiques diverses et souvent opposées. Cela est vrai aussi bien sur le terrain électoral, syndical que sur celui de la lutte de classes. C’est ce qu’on a pu voir à différentes occasions, dans plusieurs élections depuis la fondation du NPA, dans l’orientation que les militants défendent dans les syndicats où ils interviennent ou encore dans le manque d’objectifs et de programme d’action communs lors du récent mouvement contre la réforme des retraites. Toutes ces caractéristiques font que le parti n’a que très peu d’identité au-delà de Besancenot lui-même et de sa popularité. Plus grave encore ces ambiguïtés ont fait obstacle à ce que, dans la mesure du possible, le NPA représente une alternative pour les milliers de travailleurs et de jeunes mobilisés qui voulaient aller plus loin que la politique de conciliation des classes de la bureaucratie syndicale au cours du puissant mouvement de l’automne dernier. Ces ambiguïtés sont aussi un obstacle pour que surgissent de nouvelles générations de dirigeants et de cadres révolutionnaires formés à « l’école de guerre » que sont le luttes, les grèves contre l’Etat bourgeois, le patronat, la bureaucratie. Ces luttes représentent le lien ou les tâches préparatoires entre la lutte quotidienne et la lutte pour le pouvoir. Ce rapport, la direction du NPA l’articule généralement autour d’un pragmatisme opportuniste ou alors autour de mots d’ordre repeints en rouge mais vide de sens.
C’est en cela qu’Olivier Besancenot embellit dans son courrier la situation et le rôle joué par le parti quand il affirme : « cela signifie qu’ici et maintenant, nous appelons, sans relâche et en conscience, tous les anonymes à s’approprier leur destinée. Voilà pourquoi nous exaltons systématiquement les classes populaires à faire irruption sur la scène politique en brisant les enceintes dressées par les politiciens dans le but de nous tenir à distance de l’arène, là où se jouent nos vies. Partout où nous intervenons, nous portons ce message original et subversif : dans les quartiers populaires, les entreprises, les lycées, les facs, sur les marchés, dans les manifs, pendant les élections. Ce message tout terrain qui est la marque de fabrique de notre parti, nous ne devons pas le ternir au nom d’un quelconque « réflexe » électoral ». Il s’agit-là dans un certains sens du discours du NPA qui attire des secteurs contestataires du salariat et de la jeunesse et sur quoi repose la popularité de Besancenot chez ces mêmes secteurs. Force est de constater cependant qu’aujourd’hui ce discours n’est pas réellement porté par une pratique et une orientation conséquentes à même de transformer cette popularité et ces sympathise en une force militante active et gagner réellement au parti et aux idées révolutionnaires ces jeunes et travailleurs contestataires.
Le NPA à la croisée des chemins
Olivier Besancenot jouait jusqu’à présent, en raison de son poids spécifique, un rôle d’unificateur de l’ensemble du parti, un rôle qu’il lui était d’ailleurs de plus en plus difficile à jouer. Sa décision de ne pas être candidat en 2012 pourrait approfondir et accélérer les délimitations au sein du parti. Sa décision peut renforcer en interne ceux qui cherchent un front politique avec le Front de Gauche dont la position se consolidait d’ailleurs depuis le dernier CPN. Il suffit de penser que le jour même où l’on apprenait par voix de presse la décision d’Olivier Besancenot Léonce Aguirre signait un appel dans Le Monde « Pour une candidature de la gauche de transformation sociale et écologique en 2012 » aux côtés d’autres personnalités de « l’autre gauche » comme Clémentine Autain ou Christophe Aguiton. Face à cette alternative stratégique diamétralement opposée à une politique d’indépendance de classe et qui se maintient clairement dans le cadre du régime démocratique bourgeois les plaintes et les divers appels formulés par les camarades de la Plateforme 2 sont parfaitement impuissants. Ces deniers affirment dans leur motion : « nous demandons à Olivier de reconsidérer son choix afin de permettre au parti d’en discuter collectivement ». Bien que leurs arguments pour remettre en question la décision de Besancenot soient justes lorsqu’ils soulignent que « la raison pour laquelle le choix de se présenter ou non à l’élection présidentielle ne peut pas être une décision seulement personnelle qui mettrait le parti devant le fait accompli », ils mettent le doigt malgré eux sur l’une des caractéristiques intrinsèques du NPA. Il s’agit d’un parti au sein duquel c’est fondamentalement le porte-parole et son entourage qui décident de presque tout, en dehors des instances démocratiques du parti lui même.
Ce type de fonctionnement n’est pas nouveau. Toutes proportions gardées il est assez analogue à la façon dont fonctionnait la social-démocratie allemande avec sa fraction parlementaire ainsi que sa fraction syndicale au début du XXe siècle. Il s’agit de la méthode qui a progressivement corrompu ce grand parti ouvrier, le conduisant vers une adaptation au régime démocratique bourgeois qui a abouti à la trahison ouverte au début de la Première Guerre Mondiale. Le NPA n’a pas encore d’élus parlementaires dans une large mesure en raison du système électoral français antidémocratique qui nie la représentation proportionnelle. Mais la manière dont fonctionnent ses porte-paroles (ainsi que les membres de la direction dont les propos sont systématiquement relayés par la presse) est assez similaire à celle de la vieille social-démocratie. Malheureusement, Olivier Besancenot ne critique pas cet aspect de la « personnalisation » qui est peut-être la plus délétère dans la mesure où elle transforme la majorité des militants en sujets passifs, à l’opposé de ce que Besancenot propose comme modèle de société.
Tout ceci n’est pas discuté par Besancenot. Peut-être parce que cela le conduirait à débattre stratégiquement du type de parti nous voulons construire. Cela tient à notre avis à sa lecture erronée de la bureaucratisation de l’ex-URSS et de la dégénérescence du parti bolchevik. C’est pour cela notamment que dans un entretien à propos des processus révolutionnaires arabes réalisé après son refus de candidature Besancenot déclare : « j’ai vu, quand je suis allé en Tunisie et en Egypte, que les révolutions n’avaient pas besoin de leader, de substitut ou d’avant-garde autoproclamée. Que le peuple fait bien irruption sur la scène politique et que c’est justement pour cela que nous militons. Et nous, ici et maintenant, c’est ce que nous devons faire à notre échelle » (Médiapart, 7/11/2011). A l’inverse de ce qu’affirme Olivier Besancenot ce n’est pas pour que les masses fassent irruption sur le devant de la scène historique que l’on a besoin de révolutionnaires. Comme le soulignait Trotsky dans le prologue de La Révolution russe « le trait le plus incontestable de la Révolution, c’est l’intervention directe des masses dans les événements historiques. D’ordinaire, l’État, monarchique ou démocratique, domine la nation ; l’histoire est faite par des spécialistes du métier : monarques, ministres, bureaucrates, parlementaires, journalistes. Mais, aux tournants décisifs, quand un vieux régime devient intolérable pour les masses, celles-ci brisent les palissades qui les séparent de l’arène politique, renversent leurs représentants traditionnels, et, en intervenant ainsi, créent une position de départ pour un nouveau régime ». Les révolutionnaires sont nécessaires pour que toute cette énergie révolutionnaire ne soit pas dispersée dans des combats isolés et pour pouvoir les canaliser vers la prise du pouvoir. C’est précisément ce qui n’a pas encore pu être fait en Tunisie ni en Egypte. Il faudrait pour cela pouvoir disposer d’un parti clairement révolutionnaire qui se construit au préalable. Les camarades du CCR-Plateforme 4 luttent pour cette perspective, la seule à même d’éviter une nouvelle déception et un nouvel échec pour le NPA.
Visitez le site Internet du CCR/Plateforme 4
Nico37 a écrit:CCR a écrit:
Olivier Besancenot ne se présentera pas aux présidentielles de 2012
Le problème n’est pas le porte-parole mais l’orientation et le type de parti que nous voulons construire
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2012 : le NPA aura bien un candidat mais se donne du temps pour savoir qui (AFP) – il y a 1 heure
PARIS — Le Nouveau parti anticapitaliste aura bien un candidat à la présidentielle mais se donne un peu de temps pour choisir qui le représentera après le forfait d'Olivier Besancenot, a décidé dimanche le Conseil politique national (CPN, parlement) du parti.
"Il y a un accord pour dire que de toute façon il y aura un candidat du NPA", a expliqué à l'AFP Christine Poupin qui est, avec Myriam Martin, une des deux porte-parole du mouvement. Le CPN a "voté majoritairement pour arrêter les discussions avec le Front de gauche" PCF-Parti de gauche, a ajouté Mme Poupin.
Sur le nom du candidat, "à ce stade, la discussion est ouverte : ça peut être une des deux porte-parole mais ça peut aussi être quelqu'un d'autre", a-t-elle assuré. En début de semaine, une membre de la direction avait affirmé que le candidat serait choisi entre Mmes Martin et Poupin.
Depuis l'annonce d'Olivier Besancenot le 5 mai de ne pas se présenter, "on a eu très peu de temps" et donc c'est une question qui "doit se travailler", a-t-elle souligné, estimant qu'il y a aussi "du travail à faire pour continuer à avancer sur le programme".
Au cours du week-end, une proposition sur la stratégie du NPA sur 2012, incluant le choix de Myriam Martin comme candidate, avait été faite mais "le CPN a jugé que ce n'était pas raisonnable de prendre une décision comme ça" et qu'il fallait d'abord un "travail d'un vraie équipe collective", a dit Mme Poupin.
Une commission spécifique sur la question devra "déboucher sur un nom ou une méthode de décision", mais "il n'y aura pas de primaires", a-t-elle affirmé. Les militants du NPA devront valider la stratégie globale lors d'une conférence nationale du parti prévue le week-end du 25 juin.
Le NPA a en tout cas déjà engagé sa démarche auprès des maires pour recueillir les 500 signatures nécessaires à une candidature à la présidentielle.
Nico37 a écrit:2012 : le NPA aura bien un candidat mais se donne du temps pour savoir qui (AFP) – il y a 1 heure
Depuis l'annonce d'Olivier Besancenot le 5 mai de ne pas se présenter, "on a eu très peu de temps" et donc c'est une question qui "doit se travailler", a-t-elle souligné, estimant qu'il y a aussi "du travail à faire pour continuer à avancer sur le programme".
LE NPA TOUJOURS DIVISÉ SUR SA CANDIDATURE À LA PRÉSIDENTIELLE (MEDIAPART.FR) dimanche 15 mai 2011
De Charybde en Sylla au NPA ? Une semaine après la déclaration de non-candidature d'Olivier Besancenot (lire notre entretien avec lui), la direction du mouvement anticapitaliste s'est à nouveau profondément divisée ce week-end sur l'attitude à adopter pour la prochaine présidentielle. En cause: la poursuite, ou non, des discussions unitaires pour construire un bloc de gauche anticapitaliste. Et sur ce point précis, les deux nouvelles porte-paroles du NPA ont défendu des positions opposées, compliquant davantage le choix du candidat pour 2012.
C'est en fait la position 1, dite «P1», qui regroupent Myriam Martin, Christine Poupin mais aussi Olivier Besancenot, et qui avait obtenu une majorité relative au dernier congrès qui a volé en éclats, à l'occasion d'un conseil politique national (CPN). Une partie, dont Poupin, a voté avec la «P2», qui défend une ligne dite révolutionnaire, pour demander l'arrêt des discussions avec le Front de gauche. L'autre partie, dont Martin, s'est elle retrouvé avec la «P3» des "unitaires", favorable à une poursuite des pourparlers avec l'alliance du PCF et du PG de Mélenchon.
Au final, le vote a été très serré, et c'est finalement la proposition défendue -entre autres- par Christine Poupin qui a obtenu une courte majorité. La proposition de maintenir les discussions avec le Front de gauche a ainsi recueilli 79 voix contre et 64 pour (4 abstentions et refus de vote). L'autre proposition (acter une candidature NPA dès maintenant, sans davantage de discussions) a été acceptée par 85 voix, 64 s'exprimant contre.
«Il y a un accord large sur le fait de se présenter en 2012, nuance Poupin. Nous sommes d'accord sur le bilan de la démarche de rassemblement que nous avions initiée: il n'y a pas de candidature issue du mouvement social qui émerge et les conditions politiques d'un accord avec le Front de gauche ne sont pas réunies. Ensuite il y a un désaccord sur le fait de continuer ou pas ces discussions». Autre dirigeante ayant soutenu l'arrêt des discussions avec le Front de gauche, Sandra Demarcq considère qu'«après l'échec de la mobilisation contre la réforme des retraites et la confusion actuelle autour du front national, ça n'est plus possible de parler encore».
De son côté, Myriam Martin estime que «si une résolution dit qu'il ne faut plus discuter, nous on pense qu'il faut continuer, et que c'est important pour nous». Pour elle, «le NPA doit avoir un profil unitaire: il faut rassembler, et interpeller le Front de gauche. Mais pour pouvoir le faire, il faut discuter! Moi je pense que cela sert toujours, y compris pour ceux et celles qui ne sont ni au Front de gauche ni au NPA et qui veulent construire une alternative au PS».
Résultat, le NPA a encore repoussé le choix de son candidat en 2012. Une commission ad hoc (à laquelle ne participeront pas les deux porte-paroles) soumettra une proposition qui devra ensuite être ratifiée par les militants lors d'un vote et d'une conférence nationale les 24 et 25 juin prochains.
«Il est encore trop tôt pour acter une candidature, explique Sandra Demarcq. Nous allons avoir une discussion collective sur le profil et ce que l'on veut exprimer. Les deux porte-paroles sont évidemment et légitimement en capacité, mais il peut y avoir d'autres noms. Une chose est sûre, il n'y aura pas de primaires». Vu l'état actuel des divisions dans le NPA, en effet, il vaut peut-être mieux.
Stéphane Alliès, Lénaïg Bredoux
Nico37 a écrit:LE NPA TOUJOURS DIVISÉ SUR SA CANDIDATURE À LA PRÉSIDENTIELLE (MEDIAPART.FR) dimanche 15 mai 2011
De Charybde en Sylla au NPA ? Une semaine après la déclaration de non-candidature d'Olivier Besancenot (lire notre entretien avec lui), la direction du mouvement anticapitaliste s'est à nouveau profondément divisée ce week-end sur l'attitude à adopter pour la prochaine présidentielle. En cause: la poursuite, ou non, des discussions unitaires pour construire un bloc de gauche anticapitaliste. Et sur ce point précis, les deux nouvelles porte-paroles du NPA ont défendu des positions opposées, compliquant davantage le choix du candidat pour 2012.
Stéphane Alliès, Lénaïg Bredoux
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