Le bonheur après la liberté.
Comprenant le lien que représente l’espoir à la soumission; J’aurais pu espérer…
Il suffira d’un cri pour faire tomber les dernières ruines du vieux monde.
L’expression libre puise ses mots dans la passion, dans l’amour, qui reste généralement impossible de pratique et se confronte aux vautours de vos tours futuristes tuant le présent.
L’ordre imposé des choses m’importe peu, l’ordre étatique est la chose qui m’en veut.
Isolé persuadé de ne pas l’être, le vide remplis l’existence du paraître.
Le temps n’est plus à la dispute.
Le temps est devenu un consommable qui produit la séparation de nous même.
L’essentiel est cristallisé, conservé aux archives des intellectuels du nouveau-vieux monde, entre l’armoire des arts et celle qui nous écrase.
Usé par la force des choses l’être s’évapore en productivité.
Egalité devant la consommation (SFR à portez de tous) ,
Fraternité dans la consommation (Vous aussi entrez dans la grande famille de nos clients) ,
Liberté selon la consommation (choisissez librement parmi une grande gamme de produits).
Il n’y a pas si longtemps le travail était pour subsister et ainsi profiter de son maigre temps de loisirs…Maintenant le travail est fait pour consommer à des fin de loisirs et de paraître.
J’envie donc j’existe.
Rowentez vous la vie, nous allons vous faire aimez l’avenir.
Tant va la fatalité à la misère de l’esprit qu’a la fin nous sommes peu de choses.
Sous la dictature du consommable, l’ immatriculé conception devient dangereux des l’instant ou il pense autrement qu’en tant que simple objet de consommation passif.
Notre liberté est postiche.
La logique irréfutable de la robotisation marchande refuse d’avoir un être humain en guise d’engrenage spéculatif.
Travail pour survivre, survie en consommant et pour consommer voilà ce qu’on t’impose.
Un esclave sans maître apparent, ou du moins bien camouflé.
L’idéologie de la consommation devient l’idéologie consommée.
Le cercle vicieux qui nous emprisonne peut s’imager par un billet de banque, un ideal, tendu devant notre nez qui nous fait avancer la ou Big Brother veut nous mener, comme la carotte pour un âne.
Ni la gauche ni la droite n’a fait différence à la chrétienté, dans le fond, elles acceptent la souffrance en vue d’une vie meilleure. Les chefs, tous les chefs trahissent.
L’argent est roi. La monarchie du pognon.
Le pouvoir d’achat en revient à l’achat du pouvoir.
« Ceux qui parlent de révolution et de lutte de classes sans se référer à la vie quotidienne, sans comprendre ce qu’il y a de subversif dans l’Amour et de Positif dans le refus des contraintes, ceux-là ont dans la bouche un cadavre ».
Une vie prosaïque nous est destinée…
Seul ceux que l’on déchiquette au travail forcé et aliéné, notamment et surtout au « tiers monde » la ou la forme d’oppression est ancienne mais toujours d’en le but du capital (capital d’état bureaucratique ou capital privé des patrons) trouveront, dans un mélange explosif, peut être l’impulsion d’en finir avec leurs vie proposé dans un colis alimentaire, les fin de mois difficiles voir impossibles, les souffrances acceptée parce que soit-disant acceptable, puisqu’ ailleurs c’est pire qu’ici a cause d’ici, puisque c’est pour le bien d’ici que l’on cache ailleurs, TOUS à l’échelle mondial « descendrons dans la rue » pour mettre les points sur le mots « fini ».
L’Organisation Mondiale du Partage.
Ou est la sortie qui nous ferra vivre ? ; RE-vivre ni mieux, ni pire, puisque nous avons oubliez ce que cela signifié depuis longtemps.
Elle ce trouve très certainement dans l’action directe, la résistance et le refus de ce monde injuste ou la république voyage en jet privé.
N’ayons pas peur de cette grande aventure que devrait être la vie.
N’attendons pas un bonheur clé en main pour prendre notre liberté.
Si il y a un espoir, il est dans le « prolétariat ».
Nous entrons dans une phase mortifère en France et partout ailleurs ou cette société ce développe, nous verrons bientôt ce lever une résistance , spontané et révolté, comme par un reflex de survie et certainement jugé “terroristes” par l’Etat..
A tout ceux qui nous presseraient de consentir à ce que nos vies, notre futur, nos arts et pensées, notre révolte, soient soumis à une discipline et une conformité rassurante, nous opposons un refus sans appel.
Le bonheur après la liberté.