Sur Le Nid? J'avoue que j'en sais fichtre rien...Nico37 a écrit:Peut être que Ian peut apporter - au passage - le point de vue officieux du NPA et de sa commission Féminisme...
Sur Le Nid? J'avoue que j'en sais fichtre rien...Nico37 a écrit:Peut être que Ian peut apporter - au passage - le point de vue officieux du NPA et de sa commission Féminisme...
Nico37 a écrit:Le Nid c'est une officine ultra réac
Alors pour ce qui est du STRASS, c'est clair que la question du rapport au STRASS divise notre organisation.Nico37 a écrit:Peut être que Ian peut apporter - au passage - le point de vue officieux du NPA et de sa commission Féminisme...
Extrait version majoritaire a écrit:Cette politique s’oppose tant aux courants réglementaristes que prohibitionnistes, tous deux au service du patriarcat. (...)
Pour ces raisons fondamentales, la prostitution ne peut être considérée comme un travail comme un autre et nous nous opposons radicalement aux courants qui défendent cette position, et qui servent in fine l’option capitaliste et non la cause des prostituées. Nous ne pouvons donc reconnaitre le terme «travailleur/euses du sexe», cette dénomination tendant à reconnaître la prostitution comme un travail et non comme une violence.
Extrait version minoritaire a écrit:Si nous ne considérons pas la prostitution comme un travail « comme un autre », nous comprenons que par cette expression, et par le terme "travailleur/ses du sexe", des personnes concernées visent à signifier la dimension laborieuse et rémunérée de cette activité, et non à la justifier moralement ou socialement, et que par conséquent travailler avec ces personnes n’implique pas un soutien au réglementarisme salarial. Nous faisons la différence entre les courants réglementaristes patriarcaux qui soutiennent le salariat prostitutionnel, avec lesquels il est impossible de s’associer, et les courants auto-organisés contre la répression des premières concernées.
Nous considérons que, dans la perspective de la disparition de la prostitution comme pour l'ensemble des revendications féministes, nous devons chercher à construire un front unique. Les choix que nous faisons en termes de collaboration avec d'autres organisations ne sont pas basés sur l'emploi de termes, mais sur les positions assumées, sur les revendications - sans procès d'intention - et sur les potentialités de mobilisation, en particulier des premières concernées.
Concernant la position du Syndicat de Combat Universitaire de Montpellier (SCUM), elle consiste, en tant que syndicat, à défendre les personnes victimes de la répression et de stigmatisation.
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