A Grenoble, l'an dernier... des paradoxes plutôt surprenants.
J'habite près d'une ville nommée Fontaine. En 2005, un squat s'est monté, la Mazure Ka... rue de la Gaieté. Scénario habituel : maison abandonnée, une bande de copains qui s'y installent... La maison a été expulsée et dévitalisée à l'été 2007. Un autre squat à 300m de là, la Dame de Pique, rue de la LIberté (authentique), dans un ancien immeuble HLM dont apparemment personne ne voulait... évacué, dévitalisé et rasé à l'automne 2007.
La "Mazure Ka" est toujours debout... mais a perdu toute son âme.
Il faut savoir pour la petite histoire que la mairie de Fontaine est "communiste"...
Près de chez moi, un squat nommé "Résistor", rue de ... la Résistance, a été évacué et muré en... 2004. La maison est toujours debout. Un magnifique lotissement à la c** se construit à 100m de là, bizarre pour une commune au pied du Vercors... haut lieu de la Résistance, contre une autre forme de tyrannie.
A Grenoble même, évacuation musclée des "400 Couverts" et de la "Kanaille"... sous les ordres du bailleur social ACTIS. Précisons pour la route, que la présidente d'ACTIS n'est autre que... Maryvonne BOILEAU, élue Vert de Grenoble.
Même exemple criant à Montreuil, je crois, où le "Chatô", occupé par des chômeureuses et chômeureux, a été vidé de ses occupants, sur les ordres de monsieur BRARD, maire... communiste. Tout ca pour plaire sans faille au propriétaire-spéculateur des lieux, une filiale de la... MAIF (l'assureur militant...)
Antidote a écrit: Tout ca pour plaire sans faille au propriétaire-spéculateur des lieux, une filiale de la... MAIF (l'assureur militant...)
"Avec la MAIF, c'est l'expulsion assurée". Cet acharnement contre les squats est symptomatique d'une fébrilité de l'Etat contre toute marginalité incontrôlée et aussi un entraînement in vivo en vue d'interventions plus massives en cas d'effondrement du système.
« Les révolutions qui commencent en troupeau, se finissent à l'abattoir » Reiser selon Pierre Carles Ma dailythèque: http://www.dailymotion.com/mortimer111
Un nouveau espace a été investi à Lyon 8eme, encore faut-il qu'on leur laisse le temps ? Plein d'activités se mettront en place : bouffe à prix libre, concerts, débats, un pôle de résistance face au système. Mais déjà les chiens de garde sont venus constater. C'est pour cela qu'il faut en permanence du monde dans ce lieu, car le dernier squat fut évacué a 3h du mat sans sommation et avec violence sur les gens dans le sommeil plusieurs personnes a l'hôpital fractures etc.. Prenons la rue !
Saint-Nazaire : présentation du Radeau Aux Sorcières
Depuis le 4 décembre [2009], l’Hôtel Pilotage (12-14 place de la Rampe, quartier du Petit Maroc à Saint-Nazaire) a été rebaptisé le Radeau Aux Sorcières. Nous avons réouvert ce bâtiment vide depuis plus de 10 ans afin d’y créer une alternative au système capitaliste de logement, indéniablement en crise profonde et durable.
La mairie, propriétaire des lieux, a préféré au dialogue une procédure d’expulsion au tribunal d’instance puis à la cour d’appel de Rennes. Du fait de l’inconséquence des accusations et des erreurs de procédures, et grâce au nombre important de personnes venues nous soutenir et à la défense enflammée de Maitres Le Moigne et Tignière, avocats du RAS, nous avons pu retarder l’échéance jusqu’ici.
La défense juridique nous ayant pris énormément de temps et d’énergie, nous n’avons pu avancer aussi vite que nous l’aurions voulu. Après avoir effectué les quelques travaux nécessaires, nous nous sommes donc installés et avons commencé à mettre en place un lieu de vie qui nous correspond. Après près de 4 mois de vie commune, nous pouvons maintenant mettre au clair ce que nous souhaitons faire du Radeau Aux Sorcières.
SOMMAIRE :
Pourquoi squatter l’hôtel Pilotage ? Qui sommes-nous ? Comment ça fonctionne ? Qu’avons-nous fait ? Et maintenant ? Pourquoi sauver le Radeau Aux Sorcières ? Notes Nous avons besoin de vous !
Programme de la journée d'action du 26 avril à saint nazaire :
- Lundi 26 avril à 8 heures place de la rampe évacuation probable de l'installation précaire accolée au radeau aux sorcières.
- A 16 heures à la mairie, 7 personnes commenceront une grève de la faim, en désespoir de cause face au refus de dialogue de la mairie de saint-nazaire, pour demander un lieu collectif afin de poursuivre le projet amorcé au radeau aux sorcières.
Activités festives : Toutes les personnes qui peuvent venir soutenir avec des instruments de musique, de jongleries, ou autres sont les bienvenues, les autres aussi.
Je trouve çà interessant cette expérience, sans en connaître d'avantage d'ailleurs, mais je trouve que çà va dans le sens du dépassement du squat "entre soi" habituel :
Brest- la Buissonnière
Programme des jours à venir
Cela fait maintenant une semaine que l'ancienne école du quartier Saint Martin est squatée, située entre la salle de l'Avenir (place Guérin) et la rue Proudhon. Des écolier-e-s l'ont rebaptisée la Buissonière. Cela fait maintenant une semaine que l'ancienne école du quartier Saint Martin est squatée, située entre la salle de l'Avenir (place Guérin) et la rue Proudhon. Des écolier-e-s l'ont rebaptisée la Buissonière.
Les premiers travaux ont bien avancés, des ateliers se mettent en place, une zone de gratuité permanente s'y est installée, un infokiosque et un salon lecture et discussion ont été aménagés. Lors de l'assemblée du 26 mai un programme a été décidé :
Vendredi 28 mai # 10h atelier peinture urbaine # 17h30 discussion pour la mise en place d'une cantine populaire, suivie d'un repas collectif # 21h30 projection du film « Boys A »
Lundi 31 mai # 12h discussion pour la mise en place d'une friperie gratuite # 17h atelier réparation de vélos
Mercredi 2 juin # 14h Place Guérin : friperie, jeux pour enfants, infokiosque, goûter # 18h Assemblée pour l'organisation de la semaine suivante
Jeudi 3 juin # 9h Tribunal d'instance, procès
Vendredi 4 juin # 19h repas collectif # 21h30 projection
Samedi 5 juin # 19h Fest Noz place Guérin # 22h Soirée crêpe et spectacle de feu à la buissonnière
Si vous avez du matériel qui vous encombre, n'hésitez pas à venir le déposer à l'école, nous avons besoin de vaisselle, de chaises, de vêtements, tables et tout ce dont vous ne savez pas quoi faire. Passez boire un jus et discuter suivez les pattes d'ours, le portail est ouvert!
13 avril, 2013 Une quinzaine de personnes qui squattaient depuis trois mois un bâtiment du CROUS sur le campus de la Doua, le transformant en « université populaire », ont été expulsées par la police jeudi matin [4 avril 2013]. La justice avait ordonné cette expulsion fin février. Cela s’est passé sans violence, mais un habitant du squat s’est réfugié en haut d’un arbre. Les pompiers ont été appelés en renfort pour l’évacuer. Ce bâtiment, une belle bâtisse bourgeoise entourée d’un jardin, doit être démoli dans le cadre d’un projet de reconstruction de 260 logements sociaux étudiants du CROUS. Les squatteurs revendiquaient une volonté de protéger le patrimoine.
Communiqué de l’équipe de l’université populaire autogérée « Ô château dans le Ciel ! » suite à l’expulsion du 4 avril “Ô Château dans le Ciel” (Université populaire autogérée de la Doua) a su profiter de ces quelques jours de soleil afin de concilier simplicité et harmonie, cours de langue et ateliers philo sous tipi, constructions dans les arbres et détente-canapé autour du feu. Cette “expérience politique” a pris fin ce 4 avril, face à l’armada du GIPN, CRS, BAC et autres groupes d’intervention. Faisant fi de la bataille perdue, les occupants parlent déjà de continuer l’expérience. Une université vivante ou le bonheur d’être et d’apprendre ensemble Le 3 avril fut une journée d’effervescence au Château. Entre 30 et 50 personnes se relaient depuis quelques jours, tant pour la protection du lieu, toujours sous le couperet d’une expulsion très prochaine, que pour assurer la continuité des nombreuses activités proposées par l’université populaire. En plus d’assurer les ateliers déjà prévues au programme, notamment conversations en langues étrangères, philosophie en tipi et autre projection de documentaire, les habitants y vont aussi de leurs propres initiatives : construction d’une nouvelle cabane en forme de yourte, initiation à l’escalade dans les arbres, confection de murs en terre/paille dans l’éco-maison d’accueil… Tandis que quelques personnes profitent du soleil dans les nouveaux canapés du salon d’été en extérieur, le jardin lui-même prend peu à peu un nouveau visage, avec la délimitation de chemins entre les zones prôtégées, ébauche des futures ballades dans ce qui pourrait devenir un parc naturel en plein centre ville. Le compostier a été réhaussé, la serre a été bâchée, des semis ont été lancés, salades et radis pointent à la surface de la terre, et quelques zones destinées aux expériences de permaculture ont vu le jour, paillis à l’appui. Beaucoup de travail reste à faire, mais cela ne fait peur à personne, tant ce lieu vivant fourmille d’énergie et d’effervescence. Mais qui sont les casseurs ? 24 heures plus tard, le 4 avril, tout ceci n’est plus qu’un beau souvenir. Les occupants sont séparés de la demeure par un cordon de CRS, le GIPN a mené l’assaut en détruisant les murs intérieurs du chateau, celui-ci aura duré moins d’une heure. Un ami aura su garder arbre et sang-froid durant plus de six heures en haut du marronier à cabane. Il réussira à s’enfuir et c’est alors que commencera l’activité vorace et destructrice de la pelleteuse. Des haies sont rasées afin de faire passer les engins, la cabane arrachée ainsi que les principales branches sur lesquelles elle était posée. Les chemins du jardin sont remplacés par les ornières des chenilles. Un mur sera construit autour des nombreuses fenêtres du château, des vigiles placés en surveillance continue, des projecteurs scrutent la zone durant la nuit… Le rêve ne s’arrête pas là On n’arrête pas une idée qui a su rassembler autant d’énergies et de personnes différentes, une idée qui a généré autant d’optimisme, d’enthousiasme et de bonheur, une idée ayant rendu tangible l’image d’un progrès collectif et humain fait de partage, d’écoute mutuelle et de bienveillance. ON arrête pas une telle idée. Surtout pas par la force destructrice aussi drapée soit-elle de l’honnêteté de la justice préfectorale. Indigne opération policière qui se chiffre probablement à plusieurs centaines de milliers d’euros. Les occupants de “Ô Chateau dans le ciel” se sont promis de se retrouver. L’université populaire réapparaîtra, ici ou ailleurs, forte d’une riche expérience, de ses nombreux soutiens et de l’engouement qu’elle a suscité. Et la suite ? Une page se tourne. Mais un nouveau chapitre commence !
Nouveau squat pour l’Université populaire autogérée « Ô château dans le Ciel ! » à Lyon
Inauguration de l’Université populaire autogérée « Ô château dans le Ciel ! »
Nous avons été expulsés en grande pompe le 4 avril 2013. Après plusieurs déconvenues, aventures de haut vol, et pérégrinations qui n’ont fait que mettre à l’épreuve notre détermination, notre ténacité, notre cœur à l’ouvrage et autre générosité à vouloir persévérer… Nous revenons plus enthousiastes que jamais ! le 13 juillet 2013 de 11h à 18 heures Nous sommes au 71 quai Perrache 69002
N’attendons pas le 14 juillet pour célébrer !
Le 13 juillet, l’université populaire « Ô château dans le Ciel ! » se sera parée de ses plus beaux atours et s’offrira à vous lors de l’inauguration de son nouvel écrin : un château situé au 71 quai Perrache.
Venez avec votre enthousiasme, vos idées et l’envie de reconstruire ensemble ce qui a tenté d’être détruit.
La lutte continue !
Animations, débats, ateliers de permaculture, repas partagé, spectacles, concerts, et pleins d’autres surprises ponctueront cette journée riche en convivialité, partage et convergence.
D’ici là, n’hésitez pas à : - Nous contacter par courriel : chateau-dans-le-ciel@riseup.net - Passer pour nous rencontrer, prendre le café et discuter convivialement - Proposer votre aide dans les chantiers collectifs qui sont en cours - Proposer des projets d’activités pour la suite - Proposer vos projets d’animations pour le jour de l’inauguration.
Soyons nombreux et enthousiastes !
A vous de vous rapproprier les lieux pour en faire un espace de liberté, de création et d’échange qui vous ressemble
Présentation de l’université populaire autogérée : Dans un esprit d’échange et de partage, cette université populaire a pour volonté de mettre en commun idées, connaissances, savoir-faire, et cultures… Un salon de thé et café libre ainsi qu’une bibliothèque et une salle informatique seront accessibles à tous. Sur place, vous découvrirez les différents ateliers proposés : théâtre, ateliers clown, café-débat, projections de documentaires et de films. De grandes discussions seront organisées, des conférences, du jardinage, des activités manuelles et une cuisine partagée . De nombreux intervenants enrichiront les échanges.
P.-S. Pour y aller, rendez-vous à l’arrêt de Tram T1 « Hôtel de Région Montrochet », continuez dans le sens du Tram. Prenez la première à gauche que vous suivez jusqu’au quai. Prenez à droite jusqu’au 71.
Le mercredi 10 octobre, tôt le matin, l’Allantvers a été expulsé. Occupé sans droit ni titre depuis le 20 juin, l’Allantvers, situé rue de la République à St-Girons, était un espace auto-organisé, fondé sur l’entraide, la coopération et l’autonomie par rapport aux institutions en place. S’y déroulaient des activités culturelles régulières (un ciné-club et une chorale hebdomadaire), des soirées thématiques (sur le mouvement des chômeurs en Argentine, les occupations de terres en Ariège, la crise financière, etc.), des activités sociales (participation au collectif CAFCA, hébergements ponctuels). C’était aussi un lieu où l’on pouvait entrer librement et s’asseoir prendre un café, lire les journaux ou des brochures, croiser des têtes connues d’autres vallées ou faire ces rencontres qui nous font sortir de l’isolement.
L’unique argument avancé par la municipalité de St-Girons, propriétaire des lieux, pour justifier la procédure d’expulsion aura été la dangerosité supposée du bâtiment. Malgré l’absence de projet municipal le concernant, malgré notre proposition formulée lors d’une rencontre avec Messieurs Tourné et Jusiak pour réaliser à nos frais des travaux c’est encore la solution répressive qui a été adoptée.
La véritable raison de l’expulsion est que la mairie, les autorités en général, ne veulent pas laisser les gens s’organiser par eux-mêmes. Il ne faudrait pas que l’on se rende compte que pratiquer l’auto-organisation, l’entraide, la solidarité est suffisant pour mener nos projets, et qu’il n’est pas nécessaire de passer par les institutions et leur contrôle, c’est-à-dire, localement, par le réseau clientéliste d’un Parti Socialiste au pouvoir en Ariège depuis des décennies.
Les derniers postes de travail du bassin d’emploi disparaissent progressivement, la chasse aux chômeurs s’intensifie et transformer le centre-ville en carte postale touristique semble bien peu.
Contrairement à ce qui a été publié dans l’édition du 11 octobre de la Dépêche du midi : l’immeuble n’a pas été « déserté », la veille au soir encore, avait lieu une projection.
Nous appelons à se solidariser en manifestant son désaccord auprès de la mairie de St-Girons : Place Jean Ibanes 09200 St-Girons / Tél : 05 61 04 03 20 / Fax : 05 61 66 38 95
Nous appelons à nous rassembler devant la mairie le vendredi 19 octobre à 14h à l’occasion des permanences mensuelles du maire afin d’exiger la restitution du lieu.
L’AllantDroit réclame la réouverture de l’AllantVers, tout va de travers.
De juin à octobre 2012, un collectif nommé l’AllantVers, réquisitionne et occupe un immeuble, vide depuis des décennies, laissé à l’abandon par la municipalité. Depuis l’expulsion, un autre lieu est occupé, des membres du collectif on réalisé un micro-trottoir et rassemblé divers documents sonores. retour sur une lutte en cours.
Le vent d’automne souffle avec vigueur sur les braises de l’Université Populaire autogérée « Ô château dans le Ciel ! ». Cette idée que nous avons toutes et tous attisée de notre créativité et de notre détermination est encore plus puissante aujourd’hui. En dépit des violences institutionnelles, des embûches juridiques, des pressions politiques, et autres manifestations des forces réfractaires à toutes alternatives, on ne vous a jamais quittés.
Née à la date symbolique du 21 janvier 2013 suite à l’occupation légitime d’une bâtisse abandonnée sur le campus de La Doua, cette université populaire a suscité l’engouement immédiat de tous et chacun. Des centaines de personnes, petits et grands, étudiants ou retraités, enfants et familles, l’ont fait vivre par leur participation quotidienne aux nombreuses activités du lieu. Un lieu où l’on construit ensemble nos savoirs, nos cultures ; un lieu de partage, d’écoute mutuelle, créateur de liens ; une Forme-de-vie ouverte sur l’extérieur.
En témoigne la Fête de la Résistance du 7 au 9 mars, condensant ateliers artistiques et pratiques, conférences et débats, suivis de manifestations musicales, qui a su rassembler près de 1200 participants.
Le 4 avril 2013, un arsenal conquérant, fort d’environ 150 CRS, officiers, membres de la Brigade Anti-Criminalité, de la Brigade d’intervention en milieu périlleux, d’agents des Renseignements Généraux, de la Police scientifique, et autres policiers nationaux et municipaux, précédés par le GIPN et suivis de vigiles avec leurs chiens fracassent les murs et détruisent cabanes et jardin. Armés de leurs grande échelle, pelleteuse et hélicoptère, ils crurent alors stopper net cette initiative militante et humaniste.
Après quelques épreuves épiques et une meilleure connaissance des agents dépositaires de l’ordre public et de leurs locaux, Ô Château atterrira dans un majestueux immeuble du quartier Confluence. C’est le 13 juillet que l’Université Populaire est à nouveau inaugurée en fanfare, suivie de cinq jours d’animations intenses et prometteuses. Le 17 juillet, un arrêté municipal, émanant directement de la Mairie centrale, interdit l’accueil au public. Le 18 juillet, l’Université est assignée en justice pour le 23. Durant ce délai, elle restera cernée par la Police nuit et jour. Une semaine après, elle est expulsable.
Cependant, plus qu’un lieu, l’Université Populaire est un réseau humain, un réseau de solidarité construisant une logistique d’entraide et de partage ; une dynamique enthousiaste, une dynamique imaginative se renforçant dans la persévérance et la ténacité ; une idée, enfin, une idée en germe dans les têtes hautes et les cœurs ardents.
C’est pourquoi, l’Université Populaire autogérée « Ô château dans le Ciel ! » a su encore évoluer, s’agrandir et s’améliorer. Riches de ses expériences, elle se présente à nouveau sous ses plus beaux atours. Non plus dans un lieu centralisé, identifié, et donc cernable mais, de manière plus ambitieuse, sur le point de reprendre ses activités dans l’agglomération lyonnaise toute entière !
Concrètement, le château est maintenant doté de nombreux outils permettant la mise en œuvre effective des projets, initiatives et ateliers de tous et chacun. Le site internet, tout d’abord, lyon-alternatif.fr informera interactivement des propositions d’activités à venir et de la programmation des activités en cours. Des salles sur tout Lyon sont à disposition pour les accueillir. De plus, de nombreux intervenants sont actuellement prêts à partager leurs savoirs et leur plaisir de transmettre. Enfin, l’université populaire c’est aussi un réseau de partenariats militants, associatifs et institutionnels à même de générer des projets de grande ampleur.
Mais, avant tout, cet outil collectif disposant d’une grande capacité d’action est à votre disposition. Il est en perpétuelle évolution créatrice et s’inscrit dans un idéal de liberté visant la démocratie directe et l’accroissement de la conscience collective.
C’est pourquoi, vous êtes toutes et tous conviés de nouveau à vous approprier et à faire vivre cette université populaire. Proposez-nous vos idées, vos projets et embarquez avec détermination et joie dans cette aventure !
Quand on essaye d’étouffer une idée, son feu se propage …..