Des membres de la CNT-AIT (confédération) pourraient-ils-elles nous éclairer sur ce qui vient d'être plutôt marquant au dernier congrès de l'AIT ?
A priori c'est le machin qui ressemble autant à un syndicat que ma commode qui serait adoubé pour la France. Et la FAU allemande est suspendue, qui elle, ressemblant un peu plus à un vrai syndicat, a osé se compromettre avec des syndicats de lutte en réseau unitaire un peu plus large que des frontières déterminées par une secte anarchoïde qui semble en partie déconnectée de l'Histoire du mouvement ouvrier à laquelle elle se réfère.
Le machin, CNT-AIT "fédé-réseau", qui doit peser aux alentours de moins d'une quinzaine de personnes entre Toulouse, Caen, et Clermont-Ferrand, est en plus en train de s'insulter et se déchirer publiquement comme on peut le constater sur le forum de la CNT-AIT de Caen :
http://cnt.ait.caen.free.fr/forum/viewt ... =25&t=7115 (d'ailleurs il n'en restera qu'un à ce jeu du plus sectaire que moi tu meurs, et il semble qu'au concours du plus frappé les toulousains finissent par se retrouver seuls et grands gagnants).
Que devient l'autre CNT-AIT "confédération", syndicat de masse fort d'au moins une cinquantaine de membres dans l'hexagone, et qui ne peut même pas redorer le blason d'un anarcho-syndicalisme en version secte qui aura souvent ici confondu parti sectaire et syndicat, et à un point tel qu'elle s'en trouve moins nombreuse que la plupart des organisations anarchistes ? Va t'elle garder l'étiquette alors qu'il ne peut y avoir qu'une seule section par pays ? Et avec quel intérêt dans ce contexte ? Et quel intérêt de maintenir un espace bien indéterminé de ce type ?
Par extension, quel avenir pour ce qui ressemble de plus en plus à une coquille vide remplie de khmers noirs et des OVNIs du côté de l'AIT ?