Argumenter sans rien dire de précis, ppfff.
Tu sais bien que tu le peux, toi qui sans cesse publie des textes et des communiqués.
Tous les textes que tu cites doivent pouvoir être publiés, analysés et discutés, à partir du moment où ils n'ont pas pour objet de calomnier des personnes ou amalgamer des faits différents.
Quant à la responsabilité collective bien sûr, ça ne doit pas empêcher de pointer les responsabilités individuelles.
Si justement,
s'il n'y a ni dieux, ni césar, ni tribun, et encore moins de Sauveur Suprême... il n'y a pas non plus de salaud ou traitre intégral sans signes annonciateurs, sans négligence collectives sur les responsabilités ou pouvoir abandonnés. la responsabilité individuel, moi qui ne suis qu'un animal colectif, je la laisse aux curés et aux prédicateurs.
a brochure a circulé et c'est là l'essentiel.
Je crois une nouvelle fois ne pas être d'accord.
c'est comme les:" y a pas de fumée sans feu", à ce titre pourquoi ne pas croire au "protocole des sages de Sion" ?
La pratique et l'expérimentation ne s'équivalent pas à la théorie, mais se complètent. C'est du moins un des principes fondamentaux du syndicalisme a but révolutionnaire, avec ou sans appellation.
tu entends courant comme forme organisée officielle. Ok parlons donc de sensibilités...
Oui, et c'est bien comme un courant organisé au sein de l'organisation, et non comme une sensibilité, que le CSR est intervenu au sein de la CNT, et ayant échoué à donner son orientation à l'organisation l'a quitté, pour essayer, tel un coucou de pondre à SUD pour rejoindre ensuite la CGT où il sert maintenant d'idiot utile à la direction confédérale.
A la CNTf cohabitent non des courants mais des sensibilités différentes qui, n'en déplaise à l'orthodoxie de certains puristes de l'Anarchisme, oeuvrent ensemble, dans le respect mutuel dû aux camarades, à la résurgence d'une identité syndicale singulière.
c'est au congrès avec les UL qui doit trancher
Non, l'organisation de base du syndicalisme reste le syndicat.
Une Union Locale n'est que l'organisation locale que se donnent les syndicats confédérés pour faire vivre l'interprofessionnalisme à travers la solidarité dans les luttes, l'entraide, le développement de la culture, de la formation visant à l'autonomie prolétarienne. Les UL ne sont pas décisionnaires dans les instances confédérales de décisions.
Si les UL/intercos n'ont pas la grande majorité (au moins 2/3) des voix dans un congrès, ça pose pour moi un problème de fonctionnement.
On voit là que tu plaques sur le syndicalisme un mode d'organisation qui n'est pas le sien. Cette forme d'"intercos" ressemble plus aux groupes affinitaires fédérés pour la lutte politique qu'a une organisation syndicale destinée à lutter contre le Capital sur le terrain économique.
ne parlons pas des UD totalement étrangères à l'anarchosyndicalisme...
Cà tombe bien, car nous n'en parlons pas.
Cependant, bien que n'étant pas moi même anarcho syndicaliste, il me semble que celui ci n'est pas figé dans une forme organisationnelle, car le Capital créé chaque jour de nouvelles formes d'exploitation ou de territoires, à laquelle le syndicalisme se doit de répondre. Maintenant si nos convictions doivent s'établir sur les moyens que le syndicalisme réformiste met en oeuvre pour survivre, je te concède qu'il y a problème.