L’exemple de Podemos en Espagne, quoi qu’on puisse en penser par ailleurs, montre que la marginalisation électorale n’est pas une fatalité pour l’extrême-gauche. Cela montre qu’il est possible, dans certaines circonstances, d’associer un discours radical et des succès électoraux, à condition d’accepter de faire de la politique. C’est l’enjeu de la période actuelle.
http://solidariteouvriere.info/notre-cl ... ustifiees/
Y a quand même une envie de responsabilité/pragmatisme qu'on retrouve pas à l'EG actuellement je trouve.