Léo a écrit:Je me suis mal exprimé. Qd je parle des "mec d'ed" je parle du simple militant ou sympatisant. Ca reste souvent très pipi-caca ( vilains etrangers tout ça) alors qu'il y a qd même des penseurs ( comme Barrès) bien plus profonds au niveau de la pensée.
OK, mais en même temps, les cons pipi-caca, il devait y en avoir autant en proportion à l'époque
(certes, la télé n'était pas là pour rabaisser le niveau, mais bon, il y avait l'Église
)
Léo a écrit:Après je ne lis pas d'écrits actuels de "penseurs" d'ed, je m'intéresse plus aux écrits du 19ème riches selon moi ( bon je précise au cas ou pour d'autres, c'est pas parce que je lis des mecs natio ou d'ed que j'approuve leurs dires)
T'inquiète pas pour moi, je ne suis pas stupide à ce point, je laisse ça aux gauchaillons de base qui gesticulent plus qu'ils n'agissent et réfléchissent
Léo a écrit:Je préfère ne pas me projeter dans l'avenir, je ne sais pas comment le mouvement va évoluer. Mais je pense que l'extrème droite ( et les deux extrèmes d'ailleurs) vont percer à court et moyen terme avec la crise économique mondiale, la globalisation culturelle, l'oligarchie bourgeoise des régimes politiques dits "démocratiques" et les mouvements humains. Après je ne sais pas quelle forme cela prendra pour l'ed.
C'est une évidence, les extrêmes tirent toujours les marrons du feu lors de crise, mais je pense que la désintégration du lien social de nos endividualistes va en faire des proies plus faciles pour les religions que pour les organes politiques....
Léo a écrit:Je te rejoins sur le fascisme et je vais préciser un peu lorsque je parle de mythe: Je pense qu'il y a des "valeurs" dans le fascisme comme le culte de la force ou du passé glorieux de la nation qui plaisent aux jeunes natio, ce que les orga d'ed basiquent et électoralistes ne créent pas dans ces mêmes esprits. Une sorte de romantisme ( sans faire référence au romantisme du 19ème).J'sais pas si je suis clair.
Je pense que tout cela est bel et bien présent chez tous les nationalistes en général (seuls les tendances guerrières parlent de la force ; pour la grandeur de la nation, c'est un peu la base du nationalisme
). Tout romantisme est nécessaire à un groupe politique afin de s'implanter dans l'imaginaire (les anars ont les terroristes, les exécutés pour l'exemple, les grèves, les expériences historiques, etc... mais ça se rejoint).