Peux-tu montrer la source de ce que tu avances ?
( je ne parle pas de la "Critique du programme de Gotha" mais de la séquence révolutionnaire que j'évoque et du programme du NPA )
Re: Philippe Poutou en campagne
Vals Aujourd'hui à 3:17
J'invite les forumeurs à écouter Philippe Poutou, candidat choisi par le NPA, répondre aux questions sur la candidate voilée du Vaucluse en disant en particulier ses références à Chadohrt Djavann, traitée ici de raciste, islamophobe et pro-impérialiste...
Etonnant, non ?
kuhing a écrit:Peux-tu montrer la source de ce que tu avances ?
( je ne parle pas de la "Critique du programme de Gotha" mais de la séquence révolutionnaire que j'évoque et du programme du NPA )
Philippe Poutou qui ? Par Tanguy Pastureau
Lorsque la femme de Philippe Poutou lui ouvrit la porte de leur maison, elle le regarda d’un œil las. « Si c’est pour me vendre une encyclopédie, je n’en ai pas besoin, monsieur. Je préfère Wikipédia. Ça prend moins de place sur l’étagère. Au revoir ». La porte se referma, dans un claquement brutal, au visage de Poutou, qui se mit à tambouriner dessus de ses mains solides d’ouvrier. « Aurélie, ouvre-moi ! C’est moi, ton Poutou ! Si tu me laisses entrer, je te ferai des poutous ! ». Il hésita avant d’abattre sa dernière carte dans la négociation. « Des poutous… partout ! ».
Tout avait commencé à l’université d’été du NPA de Port-Leucate, dans la semaine. Dès l’entrée du meeting, deux malabars musclés comme Olivier Minne dans Fort Boyard lui en avait interdit l’accès. « Mais je suis le candidat pour 2012 ! Je suis Poutou ! », avait-il alors hurlé. Les virils molosses, pensant ainsi que l’homme tentait de les soudoyer en leur proposant un poutou, voire un câlin, l’avaient accueilli à coups de poings français (le poing américain étant un symbole impérialiste, il avait été interdit). Poutou, le candidat le moins connu de 2012, tricard partout, avait fini par se réfugier dans le Club Mickey, seul lieu où son adorable patronyme semblait plaire, les enfants, lancés dans une ronde autour de lui, chantant « Poutou, des bisous, des poutous, dans le cou ! ». Cette popularité ne lui servait à rien : il faudrait attendre dix ans avant que ces sales gosses pour l’instant à la solde de Disney soient en âge de voter anticapitaliste. Philippe Poutou, qui s’était fait expulser de son hôtel sous prétexte que personne à la réception ne l’avait reconnu, avait passé la nuit sur la plage avec un groupe de jeunes avinés. A une fille à qui il avait décliné son identité, il s’était entendu répondre : « Un poutou ? Désolé, j’ai 15 ans. Les poutous, c’est fini ! Désormais, c’est une grosse pelle ou rien ! ».
Philippe Poutou, qui n’était pas invité par les grands médias, songeait sérieusement à découper un inconnu à la scie circulaire, juste pour qu’on parle de lui dans « Faites entrer l’accusé ». Ce qui l’arrêtait, c’est que sa candidature à la sixième édition de Secret Story était en bonne voie. Son secret, « Je suis le candidat du NPA pour les élections » était introuvable. Le seul à l’avoir officiellement reconnu était DSK, qui l’avait appelé pour lui dire que, s’il acceptait qu’il ait le monopole sur les poutous, il demandait à ce qu’on lui laisse le french kiss et les mains au panier.
La femme de Philippe Poutou entrebâilla la porte d’entrée. « Monsieur, je suis surprise. Je viens de voir qu’il y a un cadre avec votre photo dans mon salon. Mais qui êtes-vous ? ». Poutou, pris d’un espoir fou, lui sourit. « Poutou ! ». Elle resta figée. « Je suis désolé, monsieur, mais je crois que vous m’avez prise pour une femme facile ».
Nico37 a écrit:kuhing a écrit:Peux-tu montrer la source de ce que tu avances ?
( je ne parle pas de la "Critique du programme de Gotha" mais de la séquence révolutionnaire que j'évoque et du programme du NPA )
Je te renvoie vers un texte qui a déjà fait débat : http://www.npa2009.org/content/la-r%C3% ... nsa%C3%AFd
Le NPA tente d'étouffer le mouvement «Occupons Wall Street » avec une perspective bourgeoise Anthony Torres 29 octobre 2011
Le 15 octobre, une manifestation internationale a eu lieu en réponse aux manifestations « Occupons Wall Street » (OWS) aux USA. Le Nouveau Parti anticapitaliste (NPA) tente de désarmer politiquement le volet français de ce mouvement international, en le liant à une perspective consistant à laisser les syndicats faire « pression » sur un gouvernement de la « gauche » bourgeoise.
Pour la manifestation mondiale de protestation contre le système capitaliste prévue le 15 octobre, le NPA avait publié un article « Appel national à la mobilisation nucléaire ». Il est très révélateur que le NPA n'ait pas accueilli avec enthousiasme un mouvement qui reflète des sentiments populaires vraiment anticapitalistes. Il a plutôt essayé de recentrer le mouvement sur une question particulière, l'écologie, et le parti bourgeois Europe-Ecologie Les Verts (EELV).
Le candidat présidentiel du NPA en 2012, Philippe Poutou, s'est rendu avec Eva Joly, candidate présidentielle d'EELV, à une manifestation anti-nucléaire à Nantes, boycottant ainsi les manifestations OWS.
Loin de soutenir le mouvement, les dirigeants du NPA faussement « anticapitaliste » en ont peur, car il risque de leur échapper et d'entraîner ensuite le prolétariat dans une lutte sociale de plus grande envergure. C'est ce qui s'est produit cet hiver en Egypte, où des manifestations de jeunes ont fini par provoquer une lutte révolutionnaire du prolétariat, faisant chuter le dictateur Hosni Moubarak.
Depuis 3 semaines aux Etats Unis, des protestations se développent dans des centaines de villes sous le slogan « occupons wall street », exprimant l'hostilité des masses envers les banques, les grandes entreprises, et le chômage. La journée mondiale de manifestation du 15 octobre s'inspirait de ce qui se passe aux USA.
Les associés américains du NPA soutiennent les syndicats dans ce mouvement de protestation parce qu'ils craignent un mouvement politiquement indépendant, souhaitant plutôt canaliser les protestations contre Wall Street derrière le Parti Démocrate. Celui-ci, au pouvoir, mène une politique de guerre et de dévastation des acquis sociaux et des salaires des travailleurs avec l'accord des syndicats américains.
Ainsi l'éditorial du Socialist Worker du 5 octobre célèbre l'entrée du syndicat AFL-CIO dans le mouvement comme une indication du potentiel permettant d'approfondir les racines sociales du mouvement de protestation. En France le NPA joue le même rôle que l'International Socialist Organization, qui publie Socialist Worker.
Le NPA souhaite également démobiliser le mouvement populaire anticapitaliste, en défendant des syndicats pro-capitalistes et en refaisant la politique qu'il avait menée en 1981. A cette époque la Ligue communiste révolutionnaire (LCR, qui a fondé le NPA en 2009) avait soutenu la candidature PS de François Mitterrand comme étant un moindre mal. Ceci était une perspective fausse, et en 1983, Mitterrand avait appliqué le tournant de la rigueur et détruit des branches de l'industrie qui avaient été combatives dans les années 1960 et 1970.
Aujourd'hui le NPA est toujours un satellite politique du PS. Pour commencer, le NPA, salue dans une déclaration la primaire du Parti Socialiste (PS), parce que le NPA « partage ses aspirations démocratiques et le rejet de Sarkozy ». La primaire du PS pour choisir son candidat présidentiel n'avait pourtant rien de démocratique. Le PS a cherché par cette élection à s'assurer une publicité médiatique et à laisser choisir ainsi par les médias le meilleur candidat socialiste pour la bourgeoisie et les marchés financiers.
Le PS a ainsi obtenu comme candidat présidentiel François Hollande, dont l'insistance sur l'austérité budgétaire lui a valu le soutien des banques et de la bourgeoisie. (Voir aussi : Les candidats à la primaire du Parti socialiste adoptent une politique de droite)
Le NPA fait pourtant un aveu dévastateur lorsqu'il écrit que le PS, dont il partage pourtant les « aspirations », prépare la même politique d'austérité que les sociaux-démocrates Papandreou en Grèce ou Zapatero en Espagne : « Tout indique qu'un gouvernement de gauche 'à la française' appliquerait la même politique que leurs amis grecs ou espagnols ».
Cependant, la perspective du NPA est d'attendre la formation d'un gouvernement PS, puis d'organiser quelques manifestations sans perspective pour démoraliser l'opposition des travailleurs à l'austérité que mènera le PS.
Dans un article du 6 octobre, le NPA écrit : « Il ne suffit pas de proclamer que nous n'attendrons pas 2012 ou qu'après la conquête du Sénat [que le NPA estime « conquis » parce que le PS y a maintenant une majorité], celles de l'Élysée et de l'Assemblée nationale vont nous apporter des réponses satisfaisantes. Seul le rapport de forces, construit dans les luttes et les manifestations, peut contraindre patrons et gouvernement à reculer » .
Dans cette perspective, de larges sections du NPA préparent des alliances avec d'autres partis satellites du PS, comme le Front de Gauche de l'ex-ministre PS Jean-Luc Mélenchon. Le NPA sait que la perspective qu'il propose n'aboutira qu'à des défaites des mouvements sociaux. En 2010 pendant la grève des raffineries, à choisir entre lutter contre le gouvernement Sarkozy ou laisser l'Etat briser la grève, le NPA a préféré laisser l'Etat briser la grève et faire passer les mesures d'austérité du gouvernement. Avec un gouvernement PS, le NPA fera de même, pour étrangler l'opposition de la classe ouvrière à la politique d'austérité sociale.
Pour la journée d'action syndicale du 11 octobre 2011, le NPA a souhaité saisir « l'occasion de lutter tous ensemble contre les politiques d'austérité, pour 300 euros net et un SMIC à 1600 euros net, pour un emploi, pour toutes et tous ».
Venant du NPA, ces mots d'ordre sont cyniques et creux. L'objectif du NPA n'est pas de mener une lutte sérieuse, pour qu'émerge un mouvement international révolutionnaire des travailleurs ayant pour but de prendre le pouvoir, mais de dire que l'on peut faire pression sur le gouvernement-sachant très bien que le gouvernement n'aura pas l'intention de reculer.
Le NPA fait un deuxième aveu dévastateur toujours dans le même article, sur le fait que la grève sectorielle et isolée que défendent les syndicats est le fruit d'une « tactique syndicale qui fait preuve d'inconsistance ».
Le NPA essaie de faire croire que les défaites des grèves organisées par les syndicats sont simplement dues à une erreur tactique. En fait, le NPA sait très bien que les syndicats n'ont aucune intention de s'opposer aux mesures d'austérité sociale qu'ils ont eux-mêmes négociées avec le gouvernement. Le NPA veut ainsi faire croire que les syndicats sont toujours des instruments de lutte contre la politique du gouvernement, et non pas une partie intégrante du dispositif politique qui impose les « réformes » anti-sociales aux travailleurs.
La lutte contre la réforme des retraites a montré le potentiel politique de la classe ouvrière. Les grèves dans les raffineries et dans les dépôts pétroliers ont menacé l'approvisionnement en pétrole et, de ce fait, le gouvernement.
Celui-ci a envoyé les CRS dans la raffinerie de Grandpuits afin de réquisitionner des ouvriers pour que l'Etat reprenne le contrôle des carburants. Les syndicats et le NPA ont protesté, mais sans appeler à un mouvement plus large des travailleurs pour défendre les ouvriers des raffineries qui ont été réprimés par les forces de l'ordre. Après cela, les syndicats ont démoralisé le mouvement de protestation et ont permis à la réforme des retraites de passer.
Le NPA veut continuer à défendre et à promouvoir ces organisations traîtresses. Le fait que le NPA souhaite un mouvement avec les syndicats et partis de « gauche » alliés au PS signifie que le NPA est en fait hostile à tout mouvement anticapitaliste de masse. La lutte pour la défense des acquis sociaux passe dans cette période de crise par une lutte politique de la classe ouvrière pour la conquête du pouvoir politique, indépendamment et par opposition à la politique petite-bourgeoise du NPA.
Nico37 a écrit:http://www.wsws.org/francais/News/2011/oct2011/owsf-o29.shtml Le NPA tente d'étouffer le mouvement «Occupons Wall Street » avec une perspective bourgeoise
Le Nouveau parti anticapitaliste (NPA) s'enfonce dans la crise. Alors que l'organisation révolutionnaire tente très difficilement de rassembler les 500 signatures de maires nécessaires à la présentation de son candidat, Philippe Poutou, que ce dernier ne décolle pas dans les sondages, sa minorité se structure et publie un texte très critique sur les deux premières années d'existence du parti, depuis sa fondation en février 2009 jusqu'à la campagne à venir de M. Poutou
Emmenée à la fois par une équipe qui fut un temps le cercle le plus proche d'Olivier Besancenot et des cadres du mouvement se reconnaissant dans le courant dit "unitaire", ce courant – dit plateforme B –, qui a recueilli 40 % des voix lors de la dernière conférence nationale de juin 2011, a décidé de se constituer en tendance. C'est un pas de plus dans l'approfondissement de la crise de direction que connaît le NPA depuis un an.
Ecrit par une partie du noyau de cadres fondateurs – Pierre-François Grond, Myriam Martin, Ingrid Hayes, Guillaume Liégard, Anne Leclerc et Frédéric Borras – le texte de huit pages dresse un tableau sombre de l'état de l'organisation et surtout de la concrétisation de son projet. "La situation du NPA est désormais extrêmement grave", attaquent d'emblée les auteurs. "Le succès, l'enthousiasme du processus fondateur est très loin derrière nous".
"LE PARTI DES ANONYMES" CONTRE "LA VIEILLE GAUCHE"
Détaillant les signes de cet affaiblissement – "organisation isolée et propagandiste, incapable d'une quelconque démarche unitaire" –, la note confronte cette image bien terne avec la situation du NPA lors de sa constitution, quand son leader était au sommet de sa gloire. "Olivier Besancenot et le NPA apparaissaient presque comme la seule force d'opposition", soulignent les auteurs.
Mais cette popularité politique a conduit à un comportement "triomphaliste" et, "passant de l'enthousiasme à l'arrogance", à ignorer les autres organisations de gauche, niant ainsi une réalité politique qui lui a ensuite éclaté à la figure. Se posant dés le début comme la seule "vraie gauche", les amis de M. Besancenot se sont volontairement coupés de gauche radicale d'alors, PCF comme Parti de gauche. "En arguant de l'impossibilité d'un accord au nom des désaccords à venir sur les élections régionales de l'année suivante, nous avons donné le sentiment que nous ne cherchions qu'un prétexte. Ce qui était de fait vrai", avouent les anciens amis d'Olivier Besancenot. La sanction a été immédiate : "un authentique échec" aux régionales, souligne le texte.
Le texte revient aussi sur un épisode tendu de ces deux ans passés : la présentation d'une candidate voilée dans le Vaucluse et ses conséquences internes. "Cette question a joué un rôle important dans la marginalisation électorale et politique du NPA", soulignent les cadres dissidents. Départs de militantes, incompréhension et distanciation des réseaux féministes et surtout "secondarisation" de la question du féminisme.
"CONSTRUIRE UN BLOC DE GAUCHE INDÉPENDANT DU PS"
Le fonctionnement interne - trop calqué sur celui de l'ex-LCR - n'a pas réussi à attirer durablement. La tentative de créer une autre forme de parti, plus ouvert, plus large a elle aussi échoué, estiment-ils. Pour l'avenir, le nouveau courant veut parier sur une lassitude militante vis-à-vis d 'une ligne jugée sectaire pour la réorienter. Avec un objectif affiché : "commencer à regrouper les forces disponibles pour construire un bloc de gauche indépendant du PS", écrivent-ils.
Le NPA doit offrir une perspective à tous les déçus de la campagne Mélenchon, pour l'après-2012 : ces militants qui s'appelleront désormais "unitaires anticapitalistes" sont persuadés que l'arrivée de la gauche au pouvoir va entraîner une coupure à gauche entre ceux qui participeront à un gouvernement socialiste et les autres.
L'objectif de la réunion du week-end est donc d'acter d'une part le divorce opéré dans l'ancienne direction et de rassembler tous les déçus du NPA. Et ils sont nombreux tant l'organisation a subi une hémorragie depuis les européennes de 2009, avec près de deux tiers d'adhérents en moins.
"Nous voulons remettre tout ça en mouvement pour reconstruire", explique Pierre-François Grond, ex-bras droit d'Olivier Besancenot. En tout cas, ils sont formels, pas question de quitter le NPA : "Ça n'a pas de sens de sortir, et nous n'avons pas envie de rejoindre le Front de gauche", affirme Guillaume Liégard.
Sylvia Zappi
Re: Besancenot ne sera pas candidat en 2012
chejuanito Aujourd'hui à 17:06Copas a écrit:
Une politique unitaire ?
C'est une farce quand on voit l'incroyable sectarisme qu'ils produisent contre le reste du NPA. Leur politique qui fut celle du NPA ces derniers temps jusqu'au sursaut à minuit mois cinq du NPA a fracassé le parti. Au moment où le NPA essaye de reconstruire une gauche révolutionnaire, unitaire dans l'action réelle et concrète, nos amis tonnent et attaquent se répandent systématiquement dans les médias qui nous veulent du bien .
Je pense aussi qu'un des caractères marquant de ce courant est leur sectarisme effrayant. D'une part leur manie de répandre leur venin contre le NPA dans les média me rappellent celle de la future GU ... qu'ils fustigeaient avec des mots bien plus dur que je n'en aurais à l'époque. D'une autre part, on sent un irrespect prégnant de ce qui ne rentre pas dans leurs cases. A la lecture de leur bulletin de débat dont est extrait le texte un peu plus haut, j'ai eu la flemme de compter les termes les plus méprisants contre les autres constituantes du NPA (dont certains comme VdT ressemble fort à une obsession mono-maniaque tout sauf rationnelle), j'ai également entendu des propos pis qu'ordurier sur l'anti-électoralisme, pourtant si on veut aujourd'hui se lier à une part importante de la radicalité de masse, il va bien falloir composer avec un anti-électoralisme parfois primaire (ce qui ne signifie pas le nourrir) qui est ultra présent. Quant au terme trotskyste, autant je n'ai rien contre les gens qui ne s'y reconnaissent pas, mais j'ai les doc qui démangent à force de l'entendre ou de le lire utiliser comme l'insulte suprême.
Il l'a trouvé sur WSWS, le site de la secte CIQI, pour qui toutes les organisations quelles qu'elles soient sont toujours en train de trahir ceci cela (souvent à base de bouts de citations mises hors contexte pour leur faire dire l'inverse de ce qu'elles disaient).Pïérô a écrit:Euh, Nico t'as trouvé ce texte où ? Parce que c'est complètement "Ploum-ploum", et pas très sérieux quand même. Anti syndicalisme, mythification du mouvement des indignés..., sans compter les raccoucis, et dès le début, car il y avait bien mobilisation anti nucléaire le 15 octobre, et il fallait bien mobiliser sur cette question, comme l'a fait aussi le mouvement libertaire. Alors rien que là le gusse pourrait dire aussi que le mouvement libertaire est traitre à la sainte cause et fait le jeu d'EELV.
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