Plus j'y pense plus je me dis que Lutte Ouvrière c'est vraiment de la daube.
Cet interview de Nathalie Arthaud est à ranger dans les archives :
"Les patrons doivent protéger les salaires de ceux qui les enrichissent "
Mais je rêve !
Nathalie Arthaud, Lutte Ouvrière, en meeting ce soir à Poitiers
Nathalie Arthaud, candidate de Lutte Ouvrière à l'élection présidentielle de 2012, tient un meeting ce jeudi à 20 h 30 à la Maison des Trois-Quartiers à Poitiers. En matinée, elle devrait se rendre à Ingrandes pour soutenir les salariés en grève des Fonderies du Poitou Alu. « La lutte courageuse des ouvriers qui s'opposent, par une grève de plus de cinq semaines, au vol de près d'un quart de leur salaire par leur patron, est révélatrice de l'offensive que mène la bourgeoisie, aidée par le gouvernement, contre le monde du travail », indique Lutte Ouvrière dans un communiqué. « Les travailleurs qui n'ont que leur emploi et leur salaire pour vivre, les retraités qui n'ont que leur pension pour assurer leurs vieux jours, les chômeurs, les précaires que cette société irrationnelle jette dans l'incertitude du lendemain, c'est tout le camp des travailleurs qui devra se battre pour ne pas faire les frais de cette crise provoquée par la cupidité des capitalistes ».
Nico37 a écrit:Nathalie Arthaud, Lutte Ouvrière, en meeting ce soir à Poitiers
Nathalie Arthaud, candidate de Lutte Ouvrière à l'élection présidentielle de 2012, tient un meeting ce jeudi à 20 h 30 à la Maison des Trois-Quartiers à Poitiers. En matinée, elle devrait se rendre à Ingrandes pour soutenir les salariés en grève des Fonderies du Poitou Alu. « La lutte courageuse des ouvriers qui s'opposent, par une grève de plus de cinq semaines, au vol de près d'un quart de leur salaire par leur patron, est révélatrice de l'offensive que mène la bourgeoisie, aidée par le gouvernement, contre le monde du travail », indique Lutte Ouvrière dans un communiqué. « Les travailleurs qui n'ont que leur emploi et leur salaire pour vivre, les retraités qui n'ont que leur pension pour assurer leurs vieux jours, les chômeurs, les précaires que cette société irrationnelle jette dans l'incertitude du lendemain, c'est tout le camp des travailleurs qui devra se battre pour ne pas faire les frais de cette crise provoquée par la cupidité des capitalistes ».
Nathalie Arthaud : « Il faut mettre le nez dans les comptes des entreprises »
Candidate de Lutte ouvrière à la présidentielle, elle était samedi à Périgueux.
Comme Arlette Laguiller, Nathalie Arthaud appelle à une union des travailleuses et travailleurs.
« Travailleuses, travailleurs… » : Nathalie Arthaud, la nouvelle numéro 1 de Lutte ouvrière a exactement les mêmes mots et la même ligne qu'Arlette Laguiller. Alors que, dans la mémoire collective, « Arlette » reste la figure symbolique du mouvement qui se définit comme « communiste révolutionnaire », Nathalie Arthaud a entamé un tour de France pour se faire connaître. Elle était samedi à Périgueux afin d'exposer les raisons de sa candidature à la présidentielle.
La révolution
Le discours est toujours aussi radical : si changement il y a, il passera par une révolution. « Regardez les révolutions arabes. Qui aurait pu les prévoir ? » Dans l'attente du grand « sursaut », elle appelle, comme Arlette, à une « union des travailleurs ». « Aujourd'hui, à l'heure de la dictature de la finance, les travailleurs doivent prendre le contrôle de leurs usines. Il faut qu'ils se sentent le droit de mettre leur nez dans les comptes des entreprises. » La candidate propose « l'interdiction des licenciements, la distribution du travail, la hausse des salaires et des pensions de retraite ainsi que le contrôle des prix ». Face à la crise actuelle, elle estime que le mouvement communiste révolutionnaire, datant de plus d'un siècle et qui a mené jusqu'à la dictature dans l'ex-URSS, reste « tout à fait d'actualité ».
« Aucune alliance »
Dans le paysage français, elle met le Front de gauche, le Parti socialiste et tout autre parti de gauche dans le même sac : « Ils mènent la même politique que la droite. » Crédité traditionnellement de près de 3 % de voix, quel peut-être le rôle de Lutte ouvrière dans la campagne présidentielle à venir ? Réponse : « Exprimer une alternative au monde capitaliste actuel. Le PC et le Front de gauche se sont alliés avec les socialistes et ils n'ont pesé sur rien. » Nathalie Arthaud prévient : « Il n'y aura aucune alliance possible avec d'autres candidats. » Et conclut : « La société se transforme par des mouvements, des explosions, mais pas par les élections ! »
Marie Gasc
Lutte Ouvrière
C'est donc une manifestation vivante, comptant de nombreux jeunes venus de toute l'Italie par trains et cars spéciaux, qui s'est élancée dans les rues de Rome. Elle a malheureusement vite été interrompue, quelques petits groupes organisés, casqués et armés de bâtons, ayant profité de la manifestation pour s'en prendre à des voitures, à des agences bancaires, à une caserne désaffectée de carabiniers, y mettant le feu. La police en a alors profité pour intervenir violemment, se heurtant à l'ensemble du cortège, l'empêchant d'aller à son terme prévu place Saint-Jean-de-Latran et s'attirant des réactions en conséquence.
kuhing a écrit:Lutte Ouvrière
C'est donc une manifestation vivante, comptant de nombreux jeunes venus de toute l'Italie par trains et cars spéciaux, qui s'est élancée dans les rues de Rome. Elle a malheureusement vite été interrompue, quelques petits groupes organisés, casqués et armés de bâtons, ayant profité de la manifestation pour s'en prendre à des voitures, à des agences bancaires, à une caserne désaffectée de carabiniers, y mettant le feu. La police en a alors profité pour intervenir violemment, se heurtant à l'ensemble du cortège, l'empêchant d'aller à son terme prévu place Saint-Jean-de-Latran et s'attirant des réactions en conséquence.
Encore une déclaration des néo staliniens déguisés en bleu de chauffe de "Lutte Ouvrière" qui comme d'habitude en accord avec les médias officiels du pouvoir en place stigmatisent ce qu'ils appellent les "casseurs" .
A cette petite clique de bureaucrates dirigeant-e-s fossilisé-e-s de Lutte Ouvrière qui appelle " les patrons à protéger les salaires et les emplois de leurs ouvriers qui les enrichissent"" selon les propres termes de Nathalie Arthaud, rappelons que
OUI il s'agit bien de casser ce système pourri et non de lui cirer les pompes comme Lutte Ouvrière le fait.
De Radio Intensité - vendredi 21 oct. 2011 - 15:24
En politique, Nathalie Arthaud, Porte-parole de Lutte Ouvrière depuis 2008 et candidate à l’élection présidentielle de 2012, sera à Champhol, vendredi soir. Elle tiendra un meeting à l’espace Jean-Moulin dès 20h.
http://www.intensite.net/2009/audio/dow ... 3%A8re.mp3
Nathalie Arthaud, Lutte ouvrière : « Le chômage n'est pas une fatalité »
dimanche 23.10.2011, 05:09 - La Voix du Nord
Nathalie Arthaud, candidate du parti d'extrême gauche à la présidentielle, est venue à Calais.
Avant sa réunion publique à Dunkerque, Nathalie Arthaud, candidate de Lutte ouvrière à la Présidentielle a fait une halte jeudi à la maison des associations de Calais, pour rencontrer et échanger avec quelques militants. En écho à Arlette Laguiller, candidate historique du parti des « communistes révolutionnaires », la jeune candidate se range du côté des camarades « travailleurs et travailleuses ». Dans une campagne électorale marquée par la crise et face « au comportement scandaleux du patronat qui exploite les opprimés », la porte-parole du parti d'extrême gauche met en avant le fait que la lutte des classes va encore s'intensifier.
« La fin des licenciements collectifs »
« Si les travailleurs ne rendent pas les coups, ils vont reculer », explique-t-elle. « Il faut forcer le patronat à puiser dans ses profits pour garantir les emplois ». Pour Nathalie Arthaud, « contrairement à ce qu'affirment les politiques de gauche et de droite, et l'État, qui est le premier licencieur de France, le chômage n'est pas une fatalité. » Les points majeurs de son programme de campagne sont l'interdiction des licenciements collectifs et la répartition du travail entre tous les salariés. « Même en période de crise, il y a du travail pour tout le monde. » La candidate d'extrême gauche appelle également les travailleurs « à puiser dans les fortunes des actionnaires privés pour mieux les répartir. » En somme, un seul et même combat : « Les salariés doivent reprendre la direction de cette économie et défendre l'intérêt collectif ».
Interrogée sur la situation de SeaFrance et le projet de SCOP (société coopérative et participative) par les salariés, la candidate estime que « ce n'est pas aux salariés de redresser une entreprise en faillite. Le patronat doit assumer ses erreurs. » •
Nathalie Arthaud, Lutte ouvrière : « Le chômage n'est pas une fatalité »
dimanche 23.10.2011, 05:09 - La Voix du Nord
« Si les travailleurs ne rendent pas les coups, ils vont reculer », explique-t-elle. « Il faut forcer le patronat à puiser dans ses profits pour garantir les emplois ». Pour Nathalie Arthaud, « contrairement à ce qu'affirment les politiques de gauche et de droite, et l'État, qui est le premier licencieur de France, le chômage n'est pas une fatalité. » Les points majeurs de son programme de campagne sont l'interdiction des licenciements collectifs et la répartition du travail entre tous les salariés. « Même en période de crise, il y a du travail pour tout le monde. » La candidate d'extrême gauche appelle également les travailleurs « à puiser dans les fortunes des actionnaires privés pour mieux les répartir. » En somme, un seul et même combat : « Les salariés doivent reprendre la direction de cette économie et défendre l'intérêt collectif ».
Interrogée sur la situation de SeaFrance et le projet de SCOP (société coopérative et participative) par les salariés, la candidate estime que « ce n'est pas aux salariés de redresser une entreprise en faillite. Le patronat doit assumer ses erreurs. » •
Lutte ouvrière veut faire un nom à sa candidate à la présidentielle
Lutte ouvrière ne compte que quelques dizaines de militants en Charente, mais cela ne décourage pas Jean-Pierre Courtois, le leader départemental, qui rassemblait hier ses troupes à Saint-Michel pour la traditionnelle fête annuelle du parti. «Mieux vaut être peu nombreux et avoir raison qu'être beaucoup, comme le PS, et se préparer à faire la même politique que la droite.»
Derrière les drapeaux rouge et blanc du parti, les militants distribuent le programme de Nathalie Arthaud, leur candidate à l'élection présidentielle, qui va devoir se faire un nom dans le sillage d'Arlette Laguiller. «On compte bien faire entendre notre voix», sourit Jean-Pierre Courtois. Guillaume Perchet, le porte-parole de Lutte ouvrière pour la région Aquitaine, ajoute: «Quand on discute avec les gens, ils sont d'accord avec nous. Quand ils sont pris à la gorge, ils sont obligés de réagir.»
Présidentielles 2012 La candidate de Lutte Ouvrière à Charleville mardi 25 octobre 2011 à 11H00
La candidate de Lutte Ouvrière à l'élection présidentielle 2012, Nathalie Arthaud, sera en meeting à Charleville-Mézières ce mercredi 26 octobre à 20 heures à l'hôtel de ville de Mézières. « Les travailleurs n'ont pas à payer la crise du capitalisme » est le thème de campagne mis en avant par le parti.
Dans un communiqué de presse, le représentant local de Lutte ouvrière Ardennes, Mink Takawe, précise : « Dans un contexte marqué par l'amplification de la crise de l'économie capitaliste qui se traduit par l'augmentation du chômage et de la misère qui en découle, notre camarade interviendra pour développer le programme qui serait nécessaire au monde du travail pour défendre ses intérêts vitaux et ceux de l'immense majorité de la population. Cette réunion s'inscrit par ailleurs après la désignation du candidat socialiste qui s'est bien gardé de prendre des engagements clairs vis-à-vis des travailleurs et des classes populaires en cas d'élection en mai prochain. […] »
Nathalie Arthaud, enseignante en économie et gestion, a été désignée porte-parole nationale du parti le 9 décembre 2008 et succède à Arlette Laguiller dont elle a été le porte-parole officiel durant la dernière campagne présidentielle.
« Les travailleurs n'ont pas à payer la crise du capitalisme » est le thème de campagne mis en avant par le parti.
Nathalie Arthaud (LO) tente de populariser son " programme de lutte " Raphaëlle Besse Desmoulières
LEMONDE.FR | 28.10.11 | 07h40 • Mis à jour le 28.10.11 | 14h44
Nathalie Arthaud, candidate de Lutte ouvrière à la présidentielle, a lancé sa campagne mardi 6 septembre à Paris.AFP/MICHEL GANGNE
CAEN, ENVOYÉE SPÉCIALE - Nathalie Arthaud a les traits tirés. Depuis deux mois, la candidate de Lutte ouvrière laboure le pays, de réunions publiques en fêtes de LO. Cette semaine, elle était au Puy-en-Velay, à Charleville-Mézières, à Caen, et sera samedi à Saint-Quentin. La semaine prochaine, Valence, Dôle, Mantes-la-Jolie, Rouen et Metz sont au programme.
Le but ? Se faire connaître. Cette enseignante de 41 ans a la lourde tâche de succéder à Arlette Laguiller, six fois candidate à la présidentielle. "Arlette est connue, reconnue et appréciée. Moi, j'ai tout à faire", reconnaît-elle. "Nathalie creuse son sillon : elle n'est pas encore très connue, ajoute Mme Laguiller. C'est pour ça qu'elle a tenu à partir tôt en campagne, même si elle travaille encore. En 1974, moi aussi, j'ai fait beaucoup de route. C'est nécessaire : il faut convaincre les électeurs, les rencontrer."
"C'EST À NATHALIE DE SE FAIRE CONNAÎTRE"
Si Mme Laguiller ne lance plus son célèbre "travailleurs, travailleuses", elle n'en a pas pour autant pris sa retraite. Les deux femmes se voient "régulièrement" et la première conseille la seconde, relit ses discours et discute avec elle de la campagne. "Son avis m'est précieux", confie Nathalie Arthaud. Mais pour Mme Laguiller, qui avait en 2007 réuni 1, 34 % des voix sur sa personne, les choses sont claires : "C'est à Nathalie de se faire connaître. Il faut qu'on soit sûr que ce soit elle qui soit candidate, et pas moi !"
Si la candidate n'est plus la même, le discours, lui, n'a guère changé. Mardi, à Caen, devant une salle où une centaine de militants et sympathisants étaient venus l'écouter, Nathalie Arthaud a dénoncé "le chantage permanent et grossier du gouvernement Sarkozy-Fillon" sur le remboursement de la dette. "Cette dette, c'est celle de la bourgeoisie. C'est à elle de la payer", a-t-elle lancé sous les applaudissements du public. Pour elle, une "seule solution" : "exproprier les banquiers sans indemnités ni rachat, les fusionner en un seul établissement de crédit et le faire fonctionner au service de la population et sous son contrôle." La gauche n'est pas non plus épargnée. Les contrats de génération de Hollande ? "Une subvention directe aux profits du capitalisme" à laquelle "même Martine Aubry ne croit pas".
"ESPACE TRÈS LIMITÉ"
Pendant une quarantaine de minutes, Mme Arthaud détaille son "programme de lutte" pour les travailleurs : partage du travail entre tous sans baisse de salaire, augmentation des salaires – indexés sur les prix – ainsi que des pensions de retraites, ou encore levée du secret industriel et bancaire. Autant de mesures qui ne peuvent être imposées par les urnes, mais peuvent l'être par une "explosion sociale". "Où, quand et comment ces luttes se déclareront, nous ne le savons pas, mais il faut se préparer et faire connaître nos revendications", ajoute Mme Arthaud, qui peine parfois à se détacher de ses notes.
Pour le moment, son activisme ne semble guère payer : la candidate reste peu connue du grand public et oscille dans les sondages entre 0,5 et 2 % des intentions de vote. "Je n'ai pas l'impression qu'elle perce beaucoup, estime Guillaume Liégard, trésorier du Nouveau Parti anticapitaliste (NPA), lui-même en désaccord avec le choix du candidat de son parti. L'espace est très limité pour ce courant et on ne peut pas dire qu'ils ont bénéficié de l'effondrement du NPA. On n'est pas dans la situation de 2002 où un vote pour LO ou la LCR [Ligue communiste révolutionnaire] pouvait apparaître comme une critique de la gauche au pouvoir. Aujourd'hui, le candidat crédible est celui qui peut virer Sarkozy. Ce n'est ni Arthaud ni Poutou. Pas plus Mélenchon ou Joly."
Nico37 a écrit:
Pendant une quarantaine de minutes, Mme Arthaud détaille son "programme de lutte" pour les travailleurs : partage du travail entre tous sans baisse de salaire, augmentation des salaires – indexés sur les prix – ainsi que des pensions de retraites, ou encore levée du secret industriel et bancaire. Autant de mesures qui ne peuvent être imposées par les urnes, mais peuvent l'être par une "explosion sociale". "Où, quand et comment ces luttes se déclareront, nous ne le savons pas, mais il faut se préparer et faire connaître nos revendications", ajoute Mme Arthaud, qui peine parfois à se détacher de ses notes.
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