Re: appels à aller soutenir en urgence...
Posté: 09 Mar 2012, 22:10
... inutile maintenant de se rendre là bas, les manifestants ont tous été dispersés. mais on ne sait pas quand sortiront les gardés à vue...
Infos et échanges, Pour l'autogestion et le communisme Libertaire
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RDV de ce samedi 10 mars à Paris
Le RDV pour le rassemblement de soutien aux interpelléEs aura lieu à 18h métro Cité à paris, nos camarades ayant été déplacés et n'étant plus au commissariat du 19ème comme c'était le cas hier.
Faites tourner l'info, venez nombreux !
A toute à l'heure !
Encore un jour de rafle à Barbès ce 27 mars 2012
mercredi 28 mars 2012
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Encore un jour de rafle à Barbès ce 27 mars 2012
Une grosse partie de la journée, des dizaines de civils ont traqué des sans papiers dans le quartier Barbès - La Goutte d’Or. Les arrestations dans les cafés, dans la rue se comptent par dizaines. Les personnes arrêtées ont été emmenées au commissariat de la Goutte d’Or et certaines déjà transférées au centre de rétention. Alertés de la rafle, mais tardivement, des gens se sont mis à suivre les civils afin de perturber et de rendre visible leur opération. Par la suite un petit rassemblement bruyant et dynamique s’est organisé devant le commissariat contre les rafles et la police. Durant une petite heure des slogans ont été criés tandis que les flics étendaient fièrement un drapeau français aux fenêtres de leur bureau.
RENDONS VISIBLE PARTOUT OU ELLES ONT LIEU CES RAFLES : en constituant des réseaux d’alerte téléphonique ; en prévenant de la présence des flics ; en tentant d’empêcher les arrestations de quelques manières que ce soit.
Action de soutien au 260
Rendez-vous
vendredi 20 à 13h au métro République pour une action (devant le Go Sport)
samedi 21 pour soutenir les habitant.e.s, marche vers la mairie, à partir de 13h devant le 260
Les habitants du 260 rue des Pyrénées viennent d'essuyer un refus d'obtenir l'électricité du fait de l'opposition de la mairie du 20e. En effet, alors que l'entreprise ERDF était d'accord pour nous fournir l'électricité, la mairie du 20e propriétaire du réseau refuse le raccord.
Depuis le début de l'occupation les habitants se font promener par les pouvoirs publics.
D'un côté les promesses et de l'autre la répression.
Nous avons mené un certain nombre d'actions afin d'interpeller les élus, l'une d'elles fut menée auprès de Cécile Duflot actuelle ministre du logement. Par cette action nous avons obtenu un 1er rendez- vous où nous avons demandé :
des logements sociaux pour tous les gens qui en ont besoin, et notamment celles et ceux dont les noms sont écrits sur les listes de mal-logé-e-s que nous amenons
des papiers pour tout le monde et notamment pour celles et ceux qui en ont besoin parmi nous
le maintien dans les lieux pour les habitant-e-s du 260 rue des Pyrénées jusqu'à leur relogement
le maintien de tous les lieux habités du CREA (Collectif pour la Réquisition, l'Entraide et l'Autogestion) de Toulouse.
Le second rendez-vous a été annulé du jour au lendemain sous prétexte du calendrier électoral et depuis rien.
Nous estimons que le dialogue est rompu du fait de la ministre.
Cécile Duflot préfère laisser la justice et la préfecture régler la question de manière plus définitive, abandonnant la question politique, et laissant la place aux procédures d'expulsion.
Nous sommes sous le coup de deux procédures, d'abord au civil suite à la plainte du propriétaire Toit et joie. Et depuis peu nous avons reçu une injonction de la préfecture à recevoir un architecte qui viendrait vérifier la sécurité du lieu. Ceci afin de justifier une expulsion plus rapide que par les voies judiciaires habituelles. Cette deuxième procédure nous est présentée comme une protection contre un péril dont les habitants pourraient être victimes du fait qu'il n'y aurait pas l'électricité.
Ceci est d'autant plus scandaleux que l'on refuse aux habitants l'accès à ces droits pour s'en servir de prétexte pour les expulser.
Nous exigeons donc le raccordement au réseau électrique que la mairie du 20e nous refuse.
C'est la mairie qui crée le péril !
Sur le 260 rue des Pyrénées
mallogesacharnes@riseup.net
https://paris20.noblogs.org/post/2012/0 ... u-pouvoir/
Extrême urgence ! Levent, notre camarade de terrain toujours auprès de
nous, réfugié politique, s'est vu délivrer une convocation par la
préfecture de police en France pour son accueil officiel en Suisse.
C'était un piège ! Aujourd'hui il est en centre de rétention de Zurich.
Il va être expulsé dans 3 jours vers la Turquie où il est condamné à la
prison à vie. Réagissons ! Rendez-vous ce soir à 21h au 260 rue des
Pyrénées, métro Gambetta, ligne 3.
levent a été expulsé vendredi, arrêté à l'aéroport d'istambul. désormais libre. dans l'attente d'un procès dans trois à cinq mois. compléments quand ils seront connus.
info par mailOccupation du siège du SAMU social à PARIS :
Août, le mois de la galère pour les sans logis
Une petite centaine de personnes sans logis, hébergées, souvent prioritaires DALO, occupent depuis 10h30 ce matin, le siège social du SAMU social, à Paris, situé 35 avenue Courteline à Paris 12e
Il s’agit de dénoncer ce 1er août, mois de la galère pour les sans logis :
- l’insuffisance de place d’hébergement en ce mois d’août, aggravé par les restrictions budgétaires gouvernementales, et la fermeture de nombreuses places au printemps
- les difficultés à joindre le SAMU social et la quasi impossibilité d’obtenir un hébergement, y compris pour des personnes fragiles
- Le traitement souvent indigne des personnes hébergées, car ballotées d’un département à l’autre, chaque jour et le plus souvent éloignés de leur lieu de vie, …
- La poursuite des expulsions malgré la saturation du dispositif
- L’arrêt ou les refus de prises en charge par les services départementaux de l’ASE de familles avec enfants à la rue, y compris à Paris
- La violation permanente par l’État en premier lieu, mais aussi par les départements, du Droit inconditionnel à un hébergement décent, pour toute personnes sans logis.
Nous demandons :
- L’hébergement stable et proche de leur lieu de vie, des personnes sans logis, jusqu’à une orientation et un relogement en conformité avec la loi
- Un plan d’urgence pour mobiliser temporairement 100 000 logements, dont la moitié en ile de France :
o La mobilisation des immeubles vacants de l’état, d’administrations, d’entreprises publiques ou contrôlées par l’État
o L’ouverture temporaire des logements HLM vacants, en attente de démolition ou de réhabilitation, dans plusieurs années (146 400 HLM vacants en France, dont 31240 en Ile de France)
o La réquisition de logements vacants appartenant à de riches propriétaires (hausse du nombre de logements vides selon l’INSEE)
o L’augmentation des locations aidées dans le parc locatif privé (SOLIBAIL, Louer solidaire et garanti … )
- Une remise à plat du dispositif de l’hébergement d’urgence, dans l’objectif de satisfaire le Droit à l’hébergement inconditionnel de toute personne sans abri, jusqu’au relogement,
- L’arrêt des expulsions sans relogement
- Une mobilisation budgétaire et politique du Gouvernement et des collectivités pour agir concrètement .
Un toit c’est un Droit !
[1] Défnition officielle des logements HLM vacants = logements non occupés et non proposés à la location, car en cours ou en attente de travaux, de démolition ou de vente.
Commémoration de la libération de Paris - Hollande fait arrêter les libertaires
Aujourd’hui, 25 août 2012, avait lieu une cérémonie commémorant la libération de Paris par la deuxième division blindée. La plaque déposée par François Hollande fait explicitement référence à la Nueve, des militants espagnols anarchistes et antifascistes qui avaient rejoint l’armée de libération. Venu commémorer la participation de ces courageux militants anarchistes à la libération de Paris, des camarades de notre organisation Alternative libertaire et de la Fédération anarchiste se sont retrouvé-e-s pris à parti par les forces de l’ordre. Bien que la commémoration fut publique, nos camarades se sont vu accusé-e-s de procéder à des rassemblements non autorisés et de brandir des drapeaux non républicains – les drapeaux étaient noirs. Une vingtaine de camarades sont actuellement retenu-e-s en garde à vue au commissariat du 8e arrondissement. Face à l’arbitraire policier et aux évidentes restrictions de la liberté d’expression, nous exigeons la libération de nos camarades.
Alternative libertaire, le 25 août 2012
Aulnay : les PSA vont manifester devant l’Elysée Jeudi 20/09
de : Intersyndicale PSA AULNAY
lundi 17 septembre 2012 - 13h33
Ils n’en démordent pas. Les salariés de l’usine PSA Peugeot Citroën d’Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis) ont reçu un appel à faire grève jeudi pour aller manifester devant l’Elysée, où une délégation doit être reçue par le président François Hollande, a annoncé lundi le délégué CGT de l’usine, Jean Pierre Mercier.
« A sa demande, l’intersyndicale de PSA Aulnay sera reçue par le président Hollande », précise un communiqué du SIA (Syndicat indépendant de l’Automobile), majoritaire à Aulnay. L’Elysée n’avait pas confirmé lundi ce rendez-vous.
3000 emplois menacés par la fermeture du site
PSA a annoncé un vaste plan de restructuration prévoyant la suppression de 8.000 postes, dont les 3.000 CDI d’Aulnay-sous-Bois après la fermeture du site, et 1.400 à Rennes.
Après la publication la semaine dernière du rapport Sartorius qui juge « inévitable » le plan social, les salariés en ont appelé à François Hollande qui avait promis, pendant la campagne électorale, de les rencontrer.
Le président s’est également engagé devant les représentants de l’usine La Janais-Rennes, à « tout faire pour réduire l’ampleur des suppressions de postes » chez PSA.
Des salariés de l’usine PSA d’Aulnay-sous-Bois ont procédé ce week-end à des opérations péage gratuit à Senlis (Oise) tandis qu’une manifestation a rassemblé samedi à Rennes de 2.500 (préfecture) à 4.000 personnes (syndicats) pour la sauvegarde de l’emploi sur le site de l’usine PSA de Rennes-La Janais.
ACCOMPAGNONS-LES !