La question de la sortie du capitalisme n’a jamais été plus actuelle. Elle se pose en des termes et avec une urgence d’une radicale nouveauté. Par son développement même, le capitalisme a atteint une limite tant interne qu’externe qu’il est incapable de dépasser et qui en fait un système qui survit par des subterfuges à la crise de ses catégories fondamentales : le travail, la valeur, le capital.
La crise du système se manifeste au niveau macro-économique aussi bien qu’au niveau micro-économique. Elle s’explique principalement par un bouleversement technoscientifique qui introduit une rupture dans le développement du capitalisme et ruine, par ses répercussions, la base de son pouvoir et sa capacité de se reproduire. J’essaierai d’analyser cette crise d’abord sous l’angle macro-économique [1], ensuite dans ses effets sur le fonctionnement et la gestion des entreprises [2].
La Bataille des Marolles »
http://l-indigne.skyrock.com/3156076464 ... olles.htmlhttp://ledesertdureel.over-blog.com/art ... 89170.htmlhttp://citoyenactif.20minutes-blogs.fr/ ... olles.htmlDans la ligné du documentaire " Les raisons de la colère et les La tentation de l'émeute, un documentaire de Benoît Grimont En trois parties et la projection de « La Bataille des Marolles »
Phénomène nouveau, la contestation ? Allons donc demander aux émeutiers des ghettos de Los Angeles ou aux soixante-huitards... (…) ». En 2009, plus de cinq cent quarante révoltes urbaines ont été recensées à travers le monde, dont un tiers pour l'EuropeMardi 16 avril à 19h : Projection de « La Bataille des Marolles » partie 1, partie 2, partie 3, partie 4, partie 5, partie 6
(documentaire de Pierre Manuel et Jean-Jacques Péché, Belgique, 1969, noir et blanc, 60 mn) Ce documentaire réalisé pour la télévision donne à voir quelques aperçus d’une lutte contre la restructuration urbaine.
C’est la fin des années soixante. A Bruxelles, les habitants du quartier des Marolles apprennent un jour que leur quartier va être rasé afin d’y réaliser une extension du Palais de Justice. De là va naître une lutte s’opposant à cette dynamique
Mardi 16 avril à 19h : Projection de « La Bataille des Marolles »
http://www.youtube.com/watch?v=sL1wTdvufT0(documentaire de Pierre Manuel et Jean-Jacques Péché, Belgique, 1969, noir
et blanc, 60 mn)
Ce documentaire réalisé pour la télévision donne à voir quelques aperçus
d'une lutte contre la restructuration urbaine.
C'est la fin des années soixante. A Bruxelles, les habitants du quartier
des Marolles apprennent un jour que leur quartier va être rasé afin d'y
réaliser une extension du Palais de Justice. De là va naître une lutte
s'opposant à cette dynamique.
Les Raisons De La Colère - Documentaire ARTE (2010)Diffusé en novembre 2010, ce documentaire de Samuel Luret et Alain Bertho s'interroge sur la question des "émeutes". Bien que déjà existant depuis l'histoire de l'humanité, ce phénomène s'accroit rapidement depuis quelques années. En effet, la dernière décennie a par exemple connu plus de désordres civils que les années 1960. En 2009, c'est ainsi près de 584 émeutes répertoriées par l'anthropologue Alain Bertho dans le monde. Qu'ont en commun ces explosions de violence populaire? Comment les analyser?
C'est là tout le questionnement de ce film qui s'appuie sur plusieurs exemples : Copenhague en 2007 avec la lutte pour la sauvegarde de "La Maison des Jeunes", les émeutes de Grèce en décembre 2008 suite à la mort du jeune Alexis tué par la police et enfin les grèves de début 2010 au Suzhou et Shenzhen en Chine
http://www.youtube.com/watch?v=hjy3Yf_HKXUDans l'article : " Immobilier de bureau : la crise pèse sur le marché européen " publié sur le site capiatl dans la rubrique "Home ECONOMIE Immobilier " par Elisabeth Lelogeais le 14/03/2013
Paris sauve la mise avec 2 millions de m² commercialisés en 2012. Toby Melville / Reuters/REUTERS
Sur les neuf principaux marchés à l'ouest du continent, la demande placée recule de 7% en 2012, alors que l'investissement progresse de 8%. Dans les deux cas, les emplacements prestigieux résistent le mieux à la crise.
Publicité
Pas de croissance économique et des suppressions d'emplois. Rien que de mauvaises nouvelles pour les entreprises qui ont d'autres soucis à gérer que de déménager. Encore que le déménagement se traduit souvent par un gain de coût à moyen terme. Dès lors, pas étonnant que les transactions se ralentissent un peu partout. constate Thierry Laroue-Pont, directeur général délégué et président Advisory Europe chez BNP Paribas Real Estate.
Mairie du 10ème: nouvelle manifestation contre le mal-logement
Après la mairie du 11ème arrondissement , la semaine dernière, c'est devant celle du 10ème que les mal-logés se sont rassemblés pendant plusieurs heures. Le 10ème arrondissement compte presque 5000 demandeurs de logement social inscrits au fichier de la Ville. Le nombre de mal-logés y est en réalité bien plus important: nombre d'entre eux en effet ne renouvellement pas leur dossier, tant...
Cette note a été publiée le vendredi, 12 avril 2013
Pour lire la note entièrement, veuillez cliquer ici
Veuillez trouver ci-dessous les dernières publications du blog Collectif des Mal-Logés en Colère ! (
http://mal-logesencolere.20minutes-blogs.fr/).
Comment lutter contre le mal-logement ? " avec D.
http://www.dailymotion.com/video/xnrerw ... -nova_news La crise du logement n'a jamais été aussi prégnante et le mal-logement, après avoir touché de plein fouet les classes populaires, atteint aujourd'hui les classes moyennes. Ce phénomène, largement aggravé par la crise économique actuelle, semble ne trouver aucune solution dans la politique actuelle du logement qui se focalise principalement sur l'accès à la propriété. La hausse des prix de l'immobilier et l'augmentation des loyers excluent chaque jours un peu plus la perspective pour de nombreux Français d'y accéder un jour, et pire encore, d'être simplement en mesure de payer leur loyer. Quels dispositifs l'Etat doit-il mettre en place pour enrayer le mal-logement ? Comment lutter contre les mécanismes du marché immobilier qui engrangent de telles exclusions ? Quelle politique progressiste pour quels objectifs concrets ?
En Chine, aux Philippines ou au Soudan, les chiffres attestent que cette limite est atteinte. L’accumulation productive du capital productif ne cesse de régresser. Aux États-Unis, les cinq cents firmes de l’indice Standard & Poor’s disposent de 631 milliards de réserves liquides ; la moitié des bénéfices des entreprises américaines provient d’opérations sur les marchés financiers. En France, l’investissement productif des entreprises du CAC 40 n’augmente pas même quand leurs bénéfices explosent.
La production n’étant plus capable de valoriser l’ensemble des capitaux accumulés, une partie croissante de ceux-ci conserve la forme de capital financier. Une industrie financière se constitue qui ne cesse d’affiner l’art de faire de l’argent en n’achetant et ne vendant rien d’autre que diverses formes d’argent. L’argent lui-même est la seule marchandise que l’industrie financière produit par des opérations de plus en plus hasardeuses et de moins en moins maîtrisables sur les marchés financiers. La masse de capital que l’industrie financière draine et gère dépasse de loin la masse de capital que valorise l’économie réelle (le total des actifs financiers représente 160 000 milliards de dollars, soit trois à quatre fois le PIB mondial). La « valeur » de ce capital est purement fictive : elle repose en grande partie sur l’endettement et le good will, c’est-à-dire sur des anticipations : la Bourse capitalise la croissance future, les profits futurs des entreprises, la hausse future des prix de l’immobilier, les gains que pourront dégager les restructurations, fusions, concentrations, etc. Les cours de Bourse se gonflent de capitaux et de leurs plus-values futures et les ménages se trouvent incités par les banques à acheter (entre autres) des actions et des certificats d’investissement immobilier, à accélérer ainsi la hausse des cours, à emprunter à leur banque des sommes croissantes à mesure qu’augmente leur capital fictif boursier.
En fait, le marché immobilier semble avoir pas mal évolué depuis mon dernier achat il y a un peu plus d'un an. Nous étions alors en pleine bulle immobilière. Les appartements parisiens étaient vendus en quelques jours – voire même quelques heures – quel que soit leur état, le montant des travaux à y faire et même souvent leur emplacement.
Mais en ce début d'automne 2012, le marché n'est clairement plus aussi frénétique. L'attitude des acheteurs a complètement changé. Moins de pression sur les acheteurs. Plus de négociations de prix et des transactions qui au lieu de se faire en un mois en moyenne prennent maintenant entre trois et six mois.
Des prix en baisse ?
Si c'est essentiellement la bulle immobilière américaine qui a fait parler d'elle ces dernières années – crise des subprime oblige – l'Europe n'a pas non plus été épargnée par la spéculation et l'inflation des prix de la pierre. Pensez aux conséquences de la démesure immobilière en Espagne...
Qu'en est-il de la France ? “La décrue de l'immobilier en France paraît encore très modeste tandis que la hausse a été similaire à celle observée dans les autres pays. Les prix ont plus que doublé, avec des hausses trimestrielles qui ont dépassé 15% entre 2004 et 2006″, .
Comme l'explique Claire, il faut faire la distinction entre les grandes villes – et en particulier Paris – et le reste de la France : “Si le ralentissement [des prix] reste limité pour les grandes villes, les zones rurales sont elles frappées de plein fouet. Dans ces zones 'et dans les villes en difficulté économique, les prix ont perdu de 15 à 20% revenant au niveau de 2005 voir plus bas', note Roland Tripard”.
“Selon les notaires, si les grandes métropoles dynamiques pourraient encore légèrement baisser, Paris en revanche devrait encore connaître une année de hausse – certes plus modérée. Pour les autres marchés, les prix pourraient reculer de 5% à 10% et jusqu'à 15% pour les maisons”.
Pour les années à venir, : “Les signes précurseurs d'une baisse de l'immobilier sont là : baisse du nombre de ventes, baisse des recettes sur les droits de mutation. La stratégie dans un marché baissier immobilier est très simple : toujours vendre avant d'acheter. La baisse de l'immobilier est une excellente nouvelle, c'est de la bonne déflation qui va vous redonner du pouvoir d'achat. A un horizon de plusieurs mois, le m2 exprimé en or devrait continuer à baisser. Car la fuite en avant dans l'impression monétaire va se poursuivre, ce qui va doper l'or, mais la solvabilité du système financier et des ménages ne s'améliorera pas, ce qui va plomber l'immobilier”.
Et la location ?
Un programme qui s'est heurté à une première réalité : le prix des locations ! Les propriétaires se sont-ils empressés d'augmenter les loyers avant l'instauration de la loi sur le blocage des loyers voulue par le gouvernement ? Possible.
Mais là encore, les disparités entre les différentes régions françaises sont notables. “Dans près d'un quart de ces villes , les loyers augmentent toujours plus que l'inflation. Parmi les 20 plus grandes villes françaises, Toulon (+4,4%), Brest (...)”, note Le Figaro.
Dans tous les cas, Le Monde dresse un bilan plus que mitigé des premiers résultats de cette loi. Le principe : au moment du renouvellement ou de l'établissement d'un bail, le propriétaire d'un logement ne pourra pas augmenter le loyer au-delà de l'indice de référence des loyers (IRL).
Cet indice, comme le souligne Le Monde, “calculé chaque trimestre par l'Insee, correspond à la moyenne sur les deux premiers mois de l'indice des prix à la consommation hors tabac et loyers”. Or, “depuis un an, il n'a cessé de progresser passant de 1,60% au premier trimestre 2011 à 2,20% au deuxième trimestre 2012 (dernier indice publié en juillet)”.
Le site location-etudiant.fr a publié la semaine dernière un baromètre du prix des logements pour étudiants dans les principales villes universitaires françaises. Conclusion : les loyers sont en hausse par rapport à l'année dernière.
Une hausse des loyers qui est d'autant plus encouragée par la multiplication des locations meublées. Pour les propriétaires, les avantages sont multiples :
– un loyer plus élevé qu'une location vide (d'environ 10%) ;
– et surtout une plus grande souplesse dans la résiliation du bail ou l'expulsion du locataire en cas d'impayé.
ET EN CHINE ?
Par Damien Durand (*)
Petit flash-back “Japon 1990″ : alors que l'influence économique et financière nippone sur le monde occidental semblait, aux yeux du grand public, ne jamais connaître d'essoufflement, le brusque éclatement de sa bulle immobilière a soufflé le château de cartes.
China's Ghost Cities and Malls :
Ajouter cette vidéo à mon blog
crise sociale Vingt ans après, l'archipel ne s'en est jamais complètement remis. Il a stagné économiquement, et un autre poids lourd asiatique, la Chine, a émergé. Comme le Japon en son temps, le modèle chinois provoque de l'admiration en Occident. Comme le Japon, son industrie est florissante et grignote les parts de marchés européennes. Comme le Japon, la Chine est le “favori” du grand public pour devenir le leader incontesté de demain.
Et comme le Japon, la Chine, qui fait les mêmes erreurs, pourrait tout perdre à cause de sa bulle immobilière. Sauf qu'en 2012, avec une intégration plus grande des économies mondiales, l'onde de choc pour les économies européennes pourrait faire passer la crise japonaise pour un pétard mouillé.
La grenouille et le boeuf
La question n'est plus de savoir si la bulle va se dégonfler ou pas, mais jusqu'à quelle niveau elle va pouvoir subsister en l'état sans éclater avec fracas, tant le seuil d'alerte est dépassé depuis longtemps. Contrairement au Japon où la bulle s'est créée suite à la brusque correction du taux de change yen/dollar via les accords du Plaza, la bulle immobilière chinoise trouve son origine dans une autre crise que connaît la Chine et peu décrite par les médias généralistes : l'effondrement de la Bourse.
En effet, alors que le grand public français imagine que la Chine est un pays inspirant la confiance d'une croissance infinie, ce n'est pas l'avis des investisseurs chinois : après un premier effondrement entre 2005 et 2007, la Bourse chinoise a encore perdu 60% de sa valeur depuis 2008.
Devant une place de marché qui rime avec gouffre financier, les investisseurs locaux se sont rapidement tournés vers l'immobilier (et, dans une moindre mesure, vers les oeuvres d'art.)
Si la situation espagnole vous semblait déjà absurde avec ses quartiers résidentiels entièrement vides, la Chine risque bien de présenter pour vous un paysage de cauchemar. Alors qu'au plus fort de la fièvre immobilière, le secteur représentait en Espagne 12% de PIB, la Chine est passée, elle, à 15%. De 2002 à 2012, les mises en chantier ont été multipliées par 10.
Conséquences classiques et prévisibles : primo, la hausse exponentielle du coût de l'immobilier dans les villes chinoises (prix du m² multiplié par 2,5 en seulement cinq ans) ; secundo le nombre excessif de transaction immobilière purement spéculative – comprenez, où l'acquéreur n'habitera jamais le bien – qui varie selon les villes entre 20% et 40%.
La Chine compterait aujourd'hui environ 64 millions de logements vides. Image symbolique, timidement reprise par les médias, de cette dérive immobilière : la ville d'Ordos, en Mongolie intérieure, qui compte aujourd'hui 30 000 résidents, alors que le boom immobilier lui a donné une capacité d'accueil de... un million d'habitants ! Vous avez dit ville fantôme ? China's empty city of Ordos
Plus dure sera la chute (qui a déjà commencé...)
Face à cette surchauffe, Pékin s'est décidé à réagir, en tentant coûte que coûte de contrôler l'atterrissage pour éviter le crash. Restreignant le recours excessif au crédit, et lançant des grands programmes de logements sociaux, le gouvernement chinois veut à tout prix éviter un scénario “à la japonaise” où la bulle explose d'un coup plongeant le pays dans une crise inextricable.
Sur le papier, les autorités affichent des résultats encourageants depuis un an, avec un plafonnement du prix de l'immobilier, et une légère décote maîtrisée. Bref, tout va bien.
Mais comme souvent en Chine, les bonnes nouvelles viennent des informations officielles. Les chiffres officieux, eux, font craindre un cataclysme économique inévitable (1). Les programmes haut de gamme, très prisés dans les métropoles chinoises, auraient déjà perdu 20% de leur valeur. Les stocks qui ne trouvent pas preneur atteignent dans certaines régions deux ans de vente. Deux-tiers des promoteurs immobiliers seraient en situation de trésorerie négative, et les fermetures pures et simples d'agences immobilières se multiplient.
Les autorités essaient de maintenir au maximum le couvercle de la cocotte-minute, en priant instamment les agences immobilières de en pas répercuter trop rapidement les évolutions du marché dans leurs prix de vente, afin de ne pas créer un mouvement de panique. Certains incidents localisés de propriétaires ayant saccagé des agences pour protester contre l'effondrement de la valeur de leur bien immobilier (pour lequel ils s'étaient endettés sur vingt-cinq ans, et dont le crédit ponctionne jusqu'à 70% de leur revenu (2)) font craindre à l'Etat que l'immobilier puisse être le détonateur d'une crise sociale incontrôlable.
Quelles conséquences d'une explosion de cette bulle sur les économies européennes ? A très court terme, a priori, les économies occidentales et leurs systèmes financiers seraient peu impactées, les actifs immobiliers étant très majoritairement possédés par des Chinois.
Le pays reste cependant le premier utilisateur mondial de matériel de construction. Les grosses sociétés exportatrices (l'américain Caterpillar, le japonais Komatsu...) du secteur pourraient être les premières victimes circonscrites de la chute. Mais la crise financière et la crise sociale qui pourraient résulter de l'explosion immobilière auraient, elles, des conséquences dramatiques.
La Chine est le deuxième PIB mondial, avec une économie très ouverte sur le monde (avec un rapport commerce extérieur/PIB autour de 60%.) Quand elle prend froid, le reste du monde éternue. Quid si elle tombe gravement malade ? Les exportations françaises en Chine qui représentent aujourd'hui 13,5 milliards d'euros sont un des moteurs les plus dynamiques (+22% en un an) d'un commerce extérieur moribond.
Les principaux secteurs exportateurs en Chine (luxe, vins et spiritueux, agro-alimentaires) risquent d'être durablement éclaboussés par l'éclatement de la bulle. Les entreprises largement ouvertes sur l'empire du Milieu escaladent une montagne d'or, avec une corde qui s'étiole de plus en plus. A quand la rupture ?
Immobilier en Chine : au bord du précipice
22 novembre 2012 | La Rédaction de la Quotidienne d'Agora | Catégorie: La quotidienne
Immobilier en Chine : au bord du précipice
22 novembre 2012 | La Rédaction de la Quotidienne d'Agora | Catégorie: La quotidienne
LES RAISONS DE LA COLÈRE (de Samuel Luret et Damien Vercarmer):
"Des pierres volent ; des grenades lacrymogènes fusent ; des silhouettes juvéniles et encapuchonnées défient l'uniforme, parfois au péril de leur vie. Sur tous les continents, la jeunesse est aujourd'hui en première ligne pour porter la contestation et faire entendre sa voix.
http://www.dailymotion.com/video/xiz7dd ... thema_news Le rémouleur
: Ouverture du local les lundi et mercredi de
16h30 à 19h30 et le samedi de 14h à 18h.
Entrée libre et gratuite !
106 rue Victor Hugo 93170 Bagnolet
(M° Robespierre ou M° Gallieni)
http://infokiosques.net/le_remouleurleremouleur@riseup.netS'inscrire à la lettre d'info du local :
https://lists.riseup.net/www/subscribe/leremouleur^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^^
Le Rémouleur - 106, rue Victor Hugo 93170 Bagnolet
http://infokiosques.net/le_remouleurS'inscrire à la lettre d'info du local "Le Rémouleur" :
https://lists.riseup.net/www/subscribe/leremouleur