Luttons contre les répressions syndicales !
Les 3 et 4 avril, se sont déroulées les élections pour les conseils centraux au sein de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Le centre PMF fut la cible le 3 avril au matin d’une descente musclée de militant-e-s du MET (Mouvement des Étudiants, façade électorale de l’UNI), la plupart extérieur-e-s à l’université, et renforcé-e-s selon une source journalistique par la présence de plusieurs membres du GUD. Cette démonstration de force, propice à une montée des tensions dans l’enceinte de l’université a provoqué en fin de matinée une altercation avec des militant-e-s syndicales/ux de Paris 1.
L’université a engagé suite à ces évènements des poursuites disciplinaires parfaitement arbitraires à l’encontre de trois militants du syndicat SUD-FSE, aucun-e membre de l’UNI n’ayant été inquiété. Nous ne pouvons accepter que ces camarades syndicalistes risquant aujourd’hui l’exclusion soient victimes d’une réaction partiale de l’université face à une provocation manifeste de l’extrême-droite.
La répression syndicale engagée par l’administration n’est pas un acte isolé. En effet, suite aux violences exercées par les vigiles privés de l’université sur des militant-e-s lors de la tenue d’une réunion le 12 avril à l’initiative d’étudiant-e-s du NPA (une militante ayant été gravement blessée), l’un de leurs membres est actuellement menacé par des poursuites similaires. Par ailleurs, dans d’autres université comme à Paris 8 ou à l’ENS, les étudiant-e-s syndiqué-e-s à SUD sont également pris pour cible par leur administration.
Nous condamnons avec fermeté la partialité manifeste de l’Université, qui couvre des militant-e-s d’extrême droite extérieur-e-s à l’université et attaque des militants syndicaux élus dans ses propres conseils. Nous refusons que des militant-e-s puissent être ainsi poursuivi-e-s dans le cadre de leur activité syndicale et demandons par conséquent l’arrêt des poursuites engagées à leur encontre.
Pour l’arrêt des poursuites !
Luttons pour nos libertés, rendez-vous lundi 18 juin à 10h au Panthéon !
LUTTONS CONTRE LA REPRESSION ANTI-SYNDICALE !
Rassemblement jeudi 12 juillet à 8h30 Place du Panthéon !
Les 3 et 4 avril, se sont déroulées les élections pour les conseils centraux au sein de l’Université Paris 1. Le centre PMF (Tolbiac) fut la cible le 3 avril au matin d’une descente musclée de militant-e-s du MET (mouvement des étudiants, façade électorale de l’UNI ), la plupart extérieur-e-s à l’Université, et renforcés selon une source journalistique par la présence de plusieurs membres de l’UDJ (nom de façade du GUD).
Cette démonstration de force, propice à une montée des tensions dans l’enceinte de l’université a provoqué en fin de matinée une vive autodéfense des militant-e-s syndicaux/ales de Paris 1, tandis que les vigiles (privés) exfiltraient les agresseurs du commando MET (non poursuivis, et plaignants !).
L’Université a engagé suite à ces évènements des poursuites disciplinaires parfaitement arbitraires à l’encontre de trois militants du syndicat SUD-FSE, aucun-e membre de l’UNI n’ayant été inquiété-e. Nous ne pouvons accepter que ces camarades syndicalistes risquant aujourd’hui l’exclusion soient victimes d’une réaction partiale de l’université face à une provocation manifeste de l’extrême-droite.
La répression anti-syndicale engagée par l’administration n’est pas un acte isolé. En effet, suite aux violences exercées par les vigiles privés de l’Université sur des militant-e-s lors de la tenue d’une réunion le 12 avril à l’initiative d’étudiant-e-s de l’UNEF du NPA (une militante ayant été gravement blessée), l’un de leurs membres est actuellement menacé par des poursuites similaires.
Nous condamnons avec fermeté la partialité manifeste de l’Université, qui couvre des militant-e-s d’extrême-droite extérieurs et attaque des militants syndicaux élus dans ses propres conseils. Nous refusons que des militants puissent être ainsi poursuivis dans le cadre de leur activité syndicale et demandons par conséquent l’arrêt des poursuites engagées à leur encontre.
Pour l’arrêt des poursuites ! Halte aux violences à l’Université ! Pour le respect des élections démocratiques ! Vigiles privés hors des facs !
Luttons pour nos libertés syndicales, Rendez-vous jeudi 12 juillet à 8h30 Place du Panthéon !
Contacts de la fédération : 06 86 80 24 45
http://www.npa2009.org/content/r%C3%A9p ... A9tudiantsRépression contre les militants étudiants
Raphaël est étudiant à Paris 1, militant au NPA et élu Unef au Conseil des études et de la vie universitaire (Cevu). Les militants de l’Unef, de SUD-étudiants et du NPA sont confrontés à des attaques de la part de la direction de l’université. Quatre jeunes sont convoqués devant la section disciplinaire.
Qu’est-ce qui est reproché aux militants ?
L’université les accuse de violences à l’encontre de militants du Mouvement des étudiants (MET, une organisation étudiante d’extrême droite proche des Identitaires) à l’occasion des élections étudiantes, le 3 avril 2012. En réalité, ce sont les syndicalistes de SUD étudiant qui ont subi une grave agression de la part de ces militants extérieurs à l’université mais que celle-ci a couverte avec ses vigiles privés. Les poursuites de la part de l’université sont donc intolérables.
Le quatrième étudiant poursuivi, syndiqué à l’Unef et militant au NPA, a été agressé quant à lui le jeudi 12 avril par les mêmes vigiles privés de l’université, lors d’une réunion publique en présence d’Alain Krivine, dans le cadre de l’élection présidentielle. En effet, les vigiles avaient pour consigne d’interdire physiquement la tenue de cette réunion, pourtant déclarée plusieurs jours auparavant. Des étudiants ont été blessés, notamment une militante très grièvement touchée au genou après avoir été projetée au sol par un vigile.
Pourquoi l’université les a-t-elle choisis pour passer en section disciplinaire ?
Ces quatre militants, élus étudiants dans des instances de l’université, sont connus depuis longtemps pour leur activité syndicale. Au quotidien, ils défendent les intérêts des étudiants, quitte à s’opposer directement aux politiques libérales et élitistes conduites par la direction. Il s’agit donc pour l’université d’en faire des exemples et de faire taire toute contestation étudiante en son sein, quitte à inventer des faits. Ce sont aussi des militants arrivés récemment à l’université, une nouvelle génération que la direction veut faire taire dès son arrivée.
Chaque année, ces quatre militants sont présents sur les chaînes d’inscription pour recenser les problèmes des étudiants qui se retrouvent « sans université » à cause de la politique sélective de l’université. Chaque semaine, ces militants distribuent des tracts et tiennent des tables pour informer largement les étudiants, par exemple, des choix budgétaires de la direction et de l’impact désastreux qu’ils engendrent sur leurs conditions d’études. Dès qu’ils le jugent propice, ces militants sont en première ligne pour organiser des assemblées générales où les étudiants peuvent discuter démocratiquement. Bref, la logique sous-jacente à ses poursuites est de museler la contestation.
Dans quel contexte cela s’inscrit-il, par rapport aux réformes universitaires en cours ?
Les violences, provocations et répressions à l’encontre des militants syndicalistes ne sont pas propres à l’université Paris 1. Les libertés démocratiques sont de plus en plus remises en cause par les directions d’université qui cherchent à étouffer toutes les contestations des réformes universitaires en cours. La loi LRU de 2007 a consacré l’autonomie financière des établissements tout en renforçant considérablement les pouvoirs des présidents d’université qui se comportent dorénavant comme de véritables chefs d’entreprise. Depuis, les réformes et la remise en cause des conditions de vie et d’études des étudiants se sont accélérées.
Cette année, une vingtaine d’universités ont des déficits s’élevant souvent à plusieurs millions d’euros. La pénurie est la conséquence du désengagement financier de l’État consécutif à la loi LRU. En effet, les fonds supplémentaires sont restés des promesses vaines et les universités se préparent donc à la mise en place de « plans de rigueur » à leur échelle : suppressions de postes, précarisation des personnels, mutualisation de moyens par le biais des fusions d’UFR ou d’universités… C’est le cas de l’université Paris 1 qui doit faire des millions d’euros d’économies pour l’année prochaine. Pour mieux faire passer la pilule, elle ne veut pas s’encombrer de militants contestataires !
Quelle a été la réaction du milieu militant de l’université ?
Dès l’annonce des poursuites, nous avons engagé des discussions unitaires avec les différentes organisations syndicales étudiantes et de salariés. La plupart ont été choquées par la violence provoquée par les vigiles privés de l’université, contestent aujourd’hui les poursuites engagées et réclament leur abandon. Un communiqué de soutien à été signé par de nombreuses organisations syndicales de Paris 13e et 5e, notamment la FSU 75, des sections de la CGT et de Solidaires.
Un premier rassemblement a été organisé lors de la phase d’instruction de la procédure le lundi 18 juin dernier. Pour cause de manquements à la procédure, l’université a été contrainte de reporter la phase d’instruction au jeudi 12 juillet. Un nouveau rassemblement de soutien unitaire, en présence d’Alain Krivine, a donc été organisé rassemblant une centaine de personnes.
L’université est décidée à aller jusqu’au bout de la procédure. Nous nous préparons donc à engager un combat unitaire de longue haleine. Derrière cette affaire, c’est plus globalement les libertés démocratiques de toutes et tous qui sont menacées.
Le combat continue !
http://boulmich.org/spip.php?article490Répression contre des étudiants de Paris 1
Déclaration UL
L’union locale CGT des 5e et 6e arrondissements condamne l’entêtement de l’université de Paris 1 dans sa démarche répressive à l’encontre de 4 étudiants pour des faits survenus dans le cadre d’une phase aiguë de l’action sociale.
Dans la même logique elle rappelle que la CGT demande au nouveau gouvernement une amnistie pour tous les syndicalistes sanctionnés.
L’UL 5/6e s’associe au rassemblement du mardi 11 septembre 9h00, place du Panthéon.
http://solidaires.org/article41942.htmlSoutien aux 4 étudiants syndicalistes de Paris 1
RASSEMBLEMENT
le mardi 11 septembre à 9h au Panthéon
Jour de leur section disciplinaire !
Les organisations soussignées demandent l’abandon par l’Université Paris 1 des poursuites contre les quatre syndicalistes étudiants de Paris 1 convoqués mardi 11 septembre 2012 pour répondre d’accusations de violences.
Trois syndicalistes sont accusés de violences à l’encontre de membres du Mét (groupe étudiant de droite proche des identitaires), le 3 avril 2012 lors des élections étudiantes. Les poursuites de l’université contre ces militants, en réalité eux-mêmes victimes de violences sans que les vigiles privés de l’université n’interviennent, sont intolérables.
Le 4ème étudiant a été agressé le 12 avril par les mêmes vigiles de l’université, lors d’une réunion en présence d’Alain Krivine, organisée dans le cadre de l’élection présidentielle. Ces vigiles, qui avaient consigne d’interdire la tenue de la réunion, ont usé d’une grande violence, une étudiante ayant même été projetée au sol et gravement blessée au genou.
Les organisations demandent l’arrêt des poursuites contre les quatre syndicalistes étudiants. Elles rappellent leur attachement à la liberté d’expression et au droit de chacun à s’engager et militer librement. Elles appellent à se réunir mardi 11 septembre à 9h au Panthéon pour exiger l’abandon des poursuites.
Organisations syndicales nationales : UNEF, Union syndicale Solidaires, CNT-Fédération des Travailleurs de l’Éducation, Fédération SUD Éducation, Fédération SUD Étudiant, Fédération Syndicale Étudiante, FERC Sup CGT.
Organisations locales : LDH Sorbonne, SUD Education Paris, CNT-STE 75, Union locale CGT 5e/13e, Union locale Solidaires 5e/13e, FERC-SUP CGT Paris 3, Sud-Education Jussieu (Paris 6 et 7), SNTRS-CGT Campus Curie . Avec le soutien de l’Union locale CGT 5e-6e et du SNTRS-CGT DR2.
Organisations syndicales de Paris 1 : Unef Paris 1, SUD Etudiant Paris 1, FERC Sup CGT Paris 1, SNASUB-FSU Paris 1, Fac’Up.
Soutenu par : Alternative Libertaire, Gauche Anticapitaliste, Nouveau Parti Anticapitaliste, Réseau jeune du Parti de Gauche, Union des Etudiants Communistes.
http://alternativelibertaire.org/?Solid ... diantes-etDe l’aide pour les étudiantes et étudiants lyonnais poursuivis en justice
Besoin de secours financier ! La répression du mouvement étudiant à Lyon-II http://alternativelibertaire.org/?Ca-fr ... -ca-bout-a, fin 2013, a fait trois victimes — 3 syndicalistes de Solidaires-Étudiant, dont 2 militantes d’Alternative libertaire. Ils et elles ont besoin d’un coup de pouce pour les frais d’avocats.
Le 21 novembre 2013, au cours du mouvement étudiant de Lyon-II, 6 étudiantes et étudiants étaient sortis manu militari du campus et placés en garde à vue pendant 23h, à cause de leur intrusion dans un conseil de la présidence.
Aujourd’hui 3 syndicalistes de Solidaires-Étudiant — dont 2 militantes d’Alternative libertaire (Julie et Myriam) — sont poursuivis pour « violence aggravée » et « rébellion » pour deux d’entre eux.
Ils et elles sont accusés d’avoir porté des coups aux vigiles de la sécurité incendie qui leur barraient l’entrée de l’amphi et d’avoir opposé une résistance à la police lors de leur interpellation. (pour plus de détails sur l’action, voir l’article…)
Les camarades poursuivi-e-s passent en jugement correctionnel le 23 juin et risquent 45.000 euros d’amendes et deux ans d’emprisonnement.
Afin de pouvoir payer les frais d’avocat, nous en appelons à la solidarité de tous et de toutes, individus et organisations.
Solidarité financière
Deux possibilités :
- soit un chèque à l’ordre de Solidaires-Rhône, à expédier à l’Union syndicale Solidaires Rhône, 125, rue Garibaldi, 69006 Lyon (mentionner au dos « soutien répression étudiants »).
- soit un virement via Paypal (voir sur le site d'AL : http://alternativelibertaire.org/?Solid ... diantes-et)
Toutes et tous unis et solidaires face à la répression syndicale et politique !
Face à la répression : solidarité avec les étudiantEs de Lyon 2 qui passent en procès !
Le 21 novembre dernier, une violente intervention policière avait lieu à l’université Lyon II. Elle visait à réprimer un mouvement de lutte mené par les étudiant-e-s et les personnel-le-s qui protestaient contre les nouvelles orientations de l’université, dans le contexte de restrictions budgétaires et de la nouvelle réforme des universités (loi Fioraso). Six étudiant-e-s – dont quatre syndicalistes – étaient interpellé-e-s aux portes du campus des Berges du Rhône, après que la présidence ait ordonné l’évacuation des bâtiments et fait intervenir les forces de l’ordre au sein de l’université.
Aujourd’hui ce sont trois étudiant-e-s qui sont inculpé-e-s, tou-te-s militant-e-s de la FSE/Solidaires étudiant-e-s Lyon, et qui passeront en procès le 23 juin prochain.
Pour faire taire celles et ceux qui s’organisent pour combattre la dégradation des conditions de vie, d’études et de travail qu’imposent à la majorité des étudiant-e-s et personnel-les les réformes successives et les restrictions budgétaires, la présidence de l’université -immédiatement soutenue par la ministre Fioraso – n’a offert comme seule réponse l’intervention des forces de l’ordre au sein même de l’université.
Nos 3 camarades, ciblé-e-s par la présidence pour leur activité syndicale au sein de l’université – parmi eux figure l’élu au conseil d’administration de l’université Lyon II – sont ainsi poursuivi-e-s pour des chefs d’inculpation de « violences » et « rébellion ».
Mais qui sont les « violents » ?!
Sont-ce celles et ceux qui se battent pour une université publique, gratuite, critique et réellement ouverte à toutes et tous qu’ils et elles soient avec ou sans papiers ? Les personnel-le-s qui subissent contrats précaires à répétition, conditions de travail et de rémunération toujours plus dégradées ?
Ou celles et ceux qui orchestrent licenciements, externalisation, coupes budgétaires, suppressions de postes, de filières, privatisation et dégradent ainsi les conditions de travail, de vie et d’études de la majorité des étudiant-e-s et personnel-les et l’imposent avec la force des coups de matraques et des placements en garde à vue ?!
Un de nos camarades se trouve en outre convoqué ce même jour suite à une plainte déposée par l’UNI-Mét pour « arrachage » de tracts et « menaces ».
Il apparaît ainsi que l’extrême-droite et la présidence se rencontrent inévitablement quand il s’agit de réprimer les étudiant-e-s en lutte. Ils ont en effet en commun la défense des mêmes intérêts de la classe dominante, des mêmes réformes de privatisation faisant, entre autres, de l’université une institution toujours plus sélective socialement. Ils partagent ainsi les mêmes ennemis.
Ces méthodes intolérables ne se retrouvent pas qu’à Lyon. Partout les mêmes procédés sont employés par l’État afin de casser les mobilisations collectives, seule issue à un système en restructuration qui menace chaque jour un nombre toujours plus grand d’entre nous.
Loin de ne frapper que nos seul-e-s militant-e-s, la répression s’abat sur tou-te-s celles et ceux qui relèvent la tête pour se défendre. Ainsi, à Caen, le directeur de l’hôpital a fait appel aux forces de l’ordre contre le personnel gréviste en lutte contre les suppressions de postes et les réductions budgétaires. À Amiens Nord, ce sont plusieurs syndicalistes CGT de Goodyear, en lutte contre plus de 1200 licenciements, qui ont été condamné-e-s à de la prison avec sursis, tandis que d’autres ont été placé-e-s 39 heures en garde à vue suite à une plainte pour « menaces » d’un syndicat de cadres, avant de ressortir libres sans convocation. En Espagne, ce sont récemment plusieurs années d’emprisonnement qui ont été requises contre des salarié-e-s d’Airbus qui avaient participé à la grève générale en 2010…
Contre la répression politique et syndicale nous appelons donc à nous rassembler le lundi 23 juin à 14h00 au Tribunal de Grande Instance de Lyon et à venir soutenir nos camarades à l’audience (8ème chambre correctionnelle) afin de défendre la seule décision juste : la relaxe.
Premiers signataires : FSE/Solidaires étudiant-e-s syndicat de lutte Lyon ; Alternative Libertaire ; Coordination des Groupes Anarchistes ; Ligue des Droits de l’Homme – Villeurbanne Est Lyonnais ; Mouvement des Jeunes Communistes de France ; Nouveau Parti Anticapitaliste ; OCML-Voie prolétarienne ; Organisation Communiste – Futur Rouge ; Organisation Communiste Libertaire ; Parti Communiste Français ; Parti de Gauche 69 ; Union Syndicale Solidaires rhône ; Sud Éducation Université Lyon 2 ; Sud ENS Lyon ; Union des Étudiants Communistes ; Union pour le communisme
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