Le scandale Nexcis - Le photovoltaique de demain à la poubelle des actionnaires
Nexcis, société française, voit le jour en 2009 de l’union d’EDF et de l’IRDEP [1], assise sur un matelas de 75 millions d’euros, dont un tiers pioché directement dans les fonds publics. Si notre syndicat du bâtiment s’intéresse à ce groupement, c’est parce que nous suivons l’évolution technologique des produits du bâtiment.
Nos métiers reposent désormais sur la capacité des bâtiment à produire leur énergie et l’application de panneaux solaires intégrés au vitrage des ouvrages, permettant leur indépendance énergétique de jour est une innovation importante.
Nous ne pouvons que nous réjouir que les fonds publics servent ce dessin d’autonomie dans le respect de l’environnement. Entreprise de pointe, 17 brevets déposés, les 77 salariés de Nexcis se retrouvent propulsés en fer de lance de l’innovation dans le domaine aux perspectives commerciales alléchantes.
Les années passèrent, les chercheurs cherchèrent et trouvèrent enfin ce procédé en novembre 2014, le BIPV (Building integrated photovoltaïc), minces panneaux photovoltaïques intégrés dans le double vitrage.
Une révolution technologique. Sauf que...
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