Luttes dans les transports des personnes, Bus, tramway ...
Posté: 20 Jan 2009, 17:55
En dehors même du métro marseillais et des bus bisontins en grève pour des raisons de sécurité (agressions multiple) des travailleurs, il semble qu'il y ait une série de conflits dans les transports.
Essonne : la grève des bus pourrait se poursuivre
19.01.2009, 19h31
Le trafic était quasi-nul lundi sur le principal réseau de bus de l'Essonne, en raison du mouvement de grève d'une partie des machinistes qui revendiquent des améliorations concernant la sécurité et les conditions de travail.
Selon la direction, confortée par un courier de l'Inspection du travail en ce sens, ce mouvement est illégal, car le préavis, déposé par Sud et FO, l'a été hors délai légaux.
Le fait que l'Inspection du travail se soit prononcée en ce sens est «rarissime», a déclaré à l'AFP Stéphane Beaudet président de TICE (Transports intercommunaux du centre-Essonne).
Pour Mamadou Camara, délégué Sud, qui défend la légalité du mouvement, 45 chauffeurs sur 65 étaient en grève lundi matin au dépôt de Bondoufle, d'où partent la quasi-totalité des bus. La direction parle, elle, de 20% de grévistes, seuls 17 d'entre eux -sur une centaine de salariés- bloquant le dépôt et ayant été comptabilisés lundi matin par huissier. 75 000 voyageurs utilisent quotidiennement ce réseau, qui compte 17 lignes.
Selon M. Camara, les grévistes protestent contre le changement des roulements et accusent la direction de «mettre la pression» sur les conducteurs, notamment pour qu'ils roulent plus vite.
De son côté, Stéphane Beaudet, président de TICE et maire UMP de Courcouronnes, a dénoncé sur son blog la «méthode» employée par Sud, «issue d'une volonté politique de nuire et d'exister à n'importe quel prix».
La direction a déposé un référé, qui doit être examiné demain après-midi, mardi, au tribunal de grande instance d'Evry, pour faire débloquer le dépôt si la situation perdure alors que le mouvement pourrait être reconduit mardi.
Le trafic était quasi-nul lundi sur le principal réseau de bus de l'Essonne, en raison du mouvement de grève d'une partie des machinistes qui revendiquent des améliorations concernant la sécurité et les conditions de travail.
Selon la direction, confortée par un courier de l'Inspection du travail en ce sens, ce mouvement est illégal, car le préavis, déposé par Sud et FO, l'a été hors délai légaux.
Le fait que l'Inspection du travail se soit prononcée en ce sens est «rarissime», a déclaré à l'AFP Stéphane Beaudet président de TICE (Transports intercommunaux du centre-Essonne).
Pour Mamadou Camara, délégué Sud, qui défend la légalité du mouvement, 45 chauffeurs sur 65 étaient en grève lundi matin au dépôt de Bondoufle, d'où partent la quasi-totalité des bus. La direction parle, elle, de 20% de grévistes, seuls 17 d'entre eux -sur une centaine de salariés- bloquant le dépôt et ayant été comptabilisés lundi matin par huissier. 75 000 voyageurs utilisent quotidiennement ce réseau, qui compte 17 lignes.
Selon M. Camara, les grévistes protestent contre le changement des roulements et accusent la direction de «mettre la pression» sur les conducteurs, notamment pour qu'ils roulent plus vite.
De son côté, Stéphane Beaudet, président de TICE et maire UMP de Courcouronnes, a dénoncé sur son blog la «méthode» employée par Sud, «issue d'une volonté politique de nuire et d'exister à n'importe quel prix».
La direction a déposé un référé, qui doit être examiné demain après-midi, mardi, au tribunal de grande instance d'Evry, pour faire débloquer le dépôt si la situation perdure alors que le mouvement pourrait être reconduit mardi.
Le trafic était quasi-nul lundi sur le principal réseau de bus de l'Essonne, en raison du mouvement de grève d'une partie des machinistes qui revendiquent des améliorations concernant la sécurité et les conditions de travail.
Selon la direction, confortée par un courier de l'Inspection du travail en ce sens, ce mouvement est illégal, car le préavis, déposé par Sud et FO, l'a été hors délai légaux.
Le fait que l'Inspection du travail se soit prononcée en ce sens est «rarissime», a déclaré à l'AFP Stéphane Beaudet président de TICE (Transports intercommunaux du centre-Essonne).
Pour Mamadou Camara, délégué Sud, qui défend la légalité du mouvement, 45 chauffeurs sur 65 étaient en grève lundi matin au dépôt de Bondoufle, d'où partent la quasi-totalité des bus. La direction parle, elle, de 20% de grévistes, seuls 17 d'entre eux -sur une centaine de salariés- bloquant le dépôt et ayant été comptabilisés lundi matin par huissier. 75 000 voyageurs utilisent quotidiennement ce réseau, qui compte 17 lignes.
Selon M. Camara, les grévistes protestent contre le changement des roulements et accusent la direction de «mettre la pression» sur les conducteurs, notamment pour qu'ils roulent plus vite.
De son côté, Stéphane Beaudet, président de TICE et maire UMP de Courcouronnes, a dénoncé sur son blog la «méthode» employée par Sud, «issue d'une volonté politique de nuire et d'exister à n'importe quel prix».
La direction a déposé un référé, qui doit être examiné demain après-midi, mardi, au tribunal de grande instance d'Evry, pour faire débloquer le dépôt si la situation perdure alors que le mouvement pourrait être reconduit mardi. Leparisien.fr avec AFP
Dernière minute Caen
15:49 - lundi 19 janvier 2009
Grève des Bus verts du Calvados et sur les autres lignes Keolis, lundi
Lundi, une grève touchera l’ensemble du réseau des Bus verts du Calvados. Dans le cadre de la loi sur la continuité du service public, l’entreprise Keolis a donné la priorité aux lignes régulières qui irriguent le département. Voici les lignes qui devraient fonctionner en service minimum (arrivée au terminus Caen, Bayeux ou Lisieux à 8 h et départ de ces mêmes lieux à 18 h) : 3, 20, 32, 35, 50 et 70.
Circule partiellement : le réseau Bybus de Bayeux. Circulent normalement : les lignes scolaires 30s, 31s, 33s, 34s, 54s, 57s, 59s, 61s, 62s, 80s et 81s.
Ne circulent pas : les autres lignes de Bus verts, le réseau Hobus de Honfleur, le réseau Lexobus de Lisieux et la ligne 62 de Twisto.
La société Keolis devrait fournir plus de détails au 0 810 214 214 ou sur ses sites Internet http://www.busverts.fr et http://www.lexobus.fr
Grève des transports à Besançon
AFP
18/01/2009 | Mise à jour : 17:32 | Commentaires 11 | Ajouter à ma sélection
Un chauffeur de bus a été agressé hier soir à Besançon par deux individus, qui l'ont menacé avec une arme de poing, frappé et volé sa caisse, entraînant une grève des transports bisontins lundi, a-t-on appris aujourd'hui auprès de la compagnie de transport Keolis.
A l'issue d'une réunion ce matin des représentants du personnel, des syndicats et de la direction de Keolis, la compagnie des transports de Besançon, une grève pour la journée de lundi a été décidée. Aucun bus ne circulera dans l'agglomération.
Le bus circulait vers son terminus dans le quartier de la Planoise avec plusieurs passagers à bord quand deux jeunes individus, dissimulés par leurs capuches, sont montés et ont menacé le chauffeur avec une arme de poing. Ils l'ont frappé d'un coup de crosse avant de dérober les 180 euros de la caisse et quinze tickets de bus, a indiqué une source judiciaire. Blessé, le conducteur a dû recevoir cinq à six points de suture, selon le procureur de Besançon.
La caméra réglementaire installée dans le bus fonctionnait au moment de l'agression, a-t-on indiqué. A la suite de cette agression, le trafic des bus a été interrompu samedi soir dans le quartier de la Planoise. La sûreté départementale du commissariat de Besançon chargé de l'enquête recherchait ce soir activement les agresseurs.
Le métro marseillais de nouveau en grève suite à l'agression de deux de leurs collègues par un homme armé d'un couteau.
Rédigé par aghanim1987 hier à 13h59
Si cette grève ne concerne que le métro, les bus et les tramways, eux, circulant normalement, c'est la deuxième agression en 4 jours sur le réseau de la Régie des transports de Marseille (RTM).
C'est depuis se matin 7h30 que les lignes de métro marseillaise sont à l'arrêt, l'agression de leurs collègues a amenée les chauffeurs des lignes à arrêter leurs services.
Selon les services de police, l'agression c'est produite se matin vers 5h15, un homme armé d'un couteau a menacé un contrôleur et un chauffeur de bus. L'homme souhaitait apparemment les racketter mais a finalement pris la fuite. Le fait s'est déroulé à la station de métro Chartreux dans le 4éme arrondissement de la ville.