Or donc, sachons que dans l'écologie du Troll, celui-ci migre en été afin d'aller semer papier gras et huile solaire le long des golfes claires. Ce afin d'effectuer sa parade nuptiale auprès des femelles qu'il imagine être de son bord. Usage massif de dent de requins, de lunettes de soleils, ou de prix Goncourt qui malheureusement ne serviront jamais à rien ( le pouvoir d'attraction du troll étant bien limité à tous niveaux) à moins d'aller dépenser ses dollars en d'autres contrées et de monayer directement leurs faveurs, le troll ne verra pas sa parade aboutir.
la suite, bien triste, messire, est que le Troll revient donc aux premières pluies, bronzés, certes mais plus aigrie encore dans sa tanière. Qui plus est, après la caresse du soleil, c'est le retour de la grisaille... Frustré par tous côtés, le pauvre troll sent donc monter en lui la rage. Mais, attention, une rage adapté à la variante virtuell du troll, celle, sans muscles ( et sans odeurs, ce qui nous convient bien) qui devra passer par la toile pour exister... Et cette rage donc le pauvre troll a besoin de cibles diverses surlesquels la vomir, et il sera fidèle à lui-même: sourd, réitérant ses propos par monts et par vaux, et à l'affut de la moindre faille pour pouvoir déverser sa malfaisance...
Espérons que ça le soulagera.
Je conseillerais bien la mastrubation à la place, mais j'ai pitié du clavier d'ordinateur.
PS: Ce pos n'est qu'inspiré par la petite
blague de Poolpikan. Que personne ne s'y reconnaisse donc.