L'intervention de groupe ultraviolent lors des Réunions des "chefs du monde" qui est à l'origine de pas mal de changement, notamment la radicalisation du sécuritaire.
exemple de flou où je ne comprend rien :
D'un coté gandhi a échoué et de l'autre trop se révolter ou être "ultraviolent provoque la radicalisation (hein?) du sécuritaire" ?
Bon alors on fait quoi ?
On attend que les groupes autonomes de libres penseurs théorisent la prophétie du prochain grand soir ?
Bah. Si le dispositif sécuritaire se renforce à un endroit c'est peut être bien parce qu'on veux que rien ne s'y passe...
Après je suis d'accord pour dire que dans une certaine mesure être là où les flics t'attendent pour foutre le bordel, c'est tomber dans la gueule du loup.
Pour autant... faut il se priver de telle ou telle modalité d'action ?
![non-non :non:](./images/smilies/general_non_non.gif)
ça me semble absurde.
Pour résumer "aux moments de crise, ce n'est pas contre un ennemi extérieur qu'on lutte, mais toujours contre son propre corps." Orwell.
Tâchons donc de chasser les réflèxes de la "critique-critique" qui ne mènent à rien.