Psychiatrie : qu'en penser ? Qu'en faire ?

Re: Psychiatrie : qu'en penser ? Qu'en faire ?

Messagede angularsound » 12 Mai 2009, 03:44

Aie ! Poussière d'étoile ! c'est gentil mais ce n'est pas traduisible au traducteur automatique/mot à mot : mais comme tu as eu une bonne idée en pensant à mettre la traduction française, tu me donnes celle d'en mettre une (edit 04 h 02 ) "peut-être" réalisée de manière plus attentive...

Et je remet le lien que je recommande chaudement car des paroles supplémentaires (les militaires black américain sur la fin) y sont présentes et pas dans les lyriques :

En substance le militaire philosophe en appel à ses camarades en leur demandant de re-écouter cette chanson dont les paroles dévoilerait la source de la folie réelle de manière particulièrememnt profonde....

http://www.youtube.com/watch?v=XSXT8ubF ... re=related

edit 04h04 : http://www.lacoccinelle.net/traduction- ... 0212-.html

Vous entrez dans la chambre
Votre crayon à la main
Vous voyez quelqu'un tout nu
Et vous dites, qui est cet homme ?
Mais vous ne comprenez pas
Simplement ce que vous direz
Quand vous rentrerez chez vous.

Parce qu'il se passe quelque chose ici
Mais vous ne savez pas ce que c'est
N'est-ce pas, Monsieur Jones ?

Vous levez la tête
Et vous demandez, c'est bien là ?
Et quelqu'un vous montre du doigt et dit
C'est à lui
Et vous dites, qu'est-ce qui est à moi ?
Et quelqu'un d'autre dit, où est quoi ?
Et vous dites, oh mon dieu
Suis-je tout seul ici ?

Parce qu'il se passe quelque chose ici
Mais vous ne savez pas ce que c'est
N'est-ce pas, Monsieur Jones ?

Vous tendez votre billet
Et vous allez voir le marginal dément (1)
Qui s'approche de vous immédiatement
Quand il vous entend parler
Et dit, quel effet ça fait
D'être un cinglé pareil ?
Et vous dites, impossible
Tandis qu'il vous tend un os

Parce qu'il se passe quelque chose ici
Mais vous ne savez pas ce que c'est
N'est-ce pas, Monsieur Jones ?

Vous connaissez beaucoup de monde
Chez les bûcherons
Pour avoir des preuves
Quand quelqu'un attaque votre imagination
Mais personne ne vous respecte
De toute façon ils attendent déjà que vous
Fassiez juste un chèque
A des oeuvres caritatives déductibles des impôts

Vou s avez fréquenté des professeurs
Et ils ont tous apprécié votre beauté
Avec les grands avocats vous avez
Débattu sur les lépreux et les escrocs
Vous avez lu tous les
Livres de F. Scott Fitzgerald (2)
Vous êtes très instruit
Tout le monde le sait

Parce qu'il se passe quelque chose ici
Mais vous ne savez pas ce que c'est
N'est-ce pas, Monsieur Jones ?

Bon, l'avaleur de sabres, il vient vers vous
Et s'agenouille ensuite
Il se signe
Et il claque ses hauts talons
Et sans crier gare
Il vous demande ce que ça fait
Et il dit, je vous rends votre gorge
Merci du prêt.

Parce qu'il se passe quelque chose ici
Mais vous ne savez pas ce que c'est
N'est-ce pas, Monsieur Jones ?

A présent vous voyez le nain borgne
Qui crie le mot maintenant
Et vous dites, mais pourquoi ?
Et il dit, comment ?
Et vous dites, qu'est-ce que ça veut dire ?
Et il répond en hurlant, vous êtes une vache
Donnez-moi du lait
Ou rentrez chez vous.

Parce qu'il se passe quelque chose ici
Mais vous ne savez pas ce que c'est
N'est-ce pas, Monsieur Jones ?

Bon, vous entrez dans la chambre
Comme un chameau et vous froncez les sourcils
Vous mettez les yeux dans votre poche
Et votre nez par terre
Il devrait y avoir une loi
Contre votre venue ici
On devrait vous faire
Porter des écouteurs

Parce qu'il se passe quelque chose ici
Mais vous ne savez pas ce que c'est
N'est-ce pas, Monsieur Jones ?

(1) D'après tous les dicos que j'ai consultés le "geek" fait référence à "un personnage de cirque qui faisant semblant de manger la tête des poulets" ou à un "individu socialement inadapté", genre savant fou. On retrouve aussi l'expression " a computer geek" traduite par certains par "infomaniaque".
angularsound
 

Re: Psychiatrie : qu'en penser ? Qu'en faire ?

Messagede angularsound » 12 Mai 2009, 05:29

yo djawoh :

"je cherche un groupe d'athée ou une "association" d'individu maitrisant déja tout ça ,pour
qu'ils repoussent ces torduent qui sont sur moi ,et non pas qu'ils aillent leur botter les fesses ,comme je l'ai deja
dit ce sont des laches ,il ne risque donc pas de me donner leur noms et addresses
PS: j'ai la référence de 2 livres traitant de la "formation" de base a tout ça , si vous les voulez demandez moi par MP"

Je te suggèrerais simplement de ne pas trop stresser par rapport à toute forme de harcelement moral : ceux qui te harcèlent se mettent eux-même en danger en faisant cela, le danger de ne pas comprendre que tu es un être humain à part entière et respectable quelque soient tes idées/conceptions religieuses, athée, spirituelles, politiques, philosophiques etc...

Concernant tes "connaissances" je ne pense pas qu'ils soient utiles d'en parler ouvertement exepté avec des gens de confiances et ouverts d'esprit : le débat avec ceux qui désirent imposer leur spiritualité/leur religion n'est pas évident et parfois il vaut peut-être mieux se concentrer sur les priorités ( par exemple la lutte sociale polyformes) plutôt que d'aborder des sujets d'ordres plus personels/privés à très faible niveau de consensus.

Sarko aussi d'ailleurs est un être humain à part entière et respectable : quoiqu'il arrive il aura le même droit que tout être humain au respect (d'autant plus s'il décide de protéger l'Humanité et la Raison par ses futurs décisions - il passerait alors de mal aimé à hyper respectable du simple fait qu'il aura vaincu un travers terrible et difficile à surmonter : le Pouvoir, mais au fond c'est probablement un Homme, un Vrai , avec un passé lourd mais BALAYABLE d'un simple sursaut d'humanité ; avec sa démarche de cowboy et sa passion pour les femmes....
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Re: Psychiatrie : qu'en penser ? Qu'en faire ?

Messagede PoussiereDesToiles » 12 Mai 2009, 06:58

arghhh ! je ne suis pas infaillible. :siffle:
PoussiereDesToiles
 

Re: Psychiatrie : qu'en penser ? Qu'en faire ?

Messagede RickRoll » 12 Mai 2009, 11:16

Ce topic a pour but de discuter de la psychiatrie et de sa légitimité pour les anars, svp. Revenez dans le sujet.

Djawoh, désolé mais je n'ai pas compris ton post. Ouvre un topic spécifique si tu veux en parler plus.
RickRoll
 

Re: Psychiatrie : qu'en penser ? Qu'en faire ?

Messagede angularsound » 13 Mai 2009, 01:38

Yo ! poussière d'étoile pas de soucis. En plus tu as édité la trad ou je me suis trompé...

Et c'est vrai Djawho qu'on est un peu hors sujet sur ce topic.
Tu peux créer un topic pour parler de ces pratiques en effet : actuellemement tout le monde peut faire à peu près ce qui lui plait et c'est génial ainsi :do as you wish....
angularsound
 

Re: Psychiatrie : qu'en penser ? Qu'en faire ?

Messagede stef-trans-pd » 06 Aoû 2009, 22:57

J'ai survolé en diagonale le forum et après avoir intérieurement réagi a divers topic sur le féminisme , la "nature " , l'inné/ l'acquis , orientation sexuelle et en gros la soupe entre le rôle de genre ,le genre , le sexe anatomique, l'orientation sexuelle ...bref ici je ne résiste pas a intervenir au niveau de la psychiatrie .
Je suis trans et la "transexualité " ( expressément mis entre parenthèse ) est cataloguée dans la liste des maladies mentales .
A savoir que de manière internationale les trans sont psychiatrisés de force .
Je n'ai comme approche de la psychiatrie que l'unique vécu trans , mais je pense que ce vécu porte a une réflexion nettement plus générale sur la psychiatrie.
Le rôle du psychiatre dans le domaine trans est un rôle de police de genre/norme ..nous devons performer un rôle de genre afin de correspondre aux normes des psychiatres afin d'obtenir le "tampon " officiel nous donnant accès a nos propres transitions / vies /choix /corps .
Outre ce pouvoir total (itaire ) sur nous il est a remarquer que la notion de "médecin au service de la santé " ..ou qui devrait pour le moins "soulager une souffrance " n'est absolument plus de mise .
Il suffit d'ailleurs de parcourir la liste des "maladies mentales " pour se rendre compte que nous nous retrouvons face a une classification : normal / anormal ou autrement dit norme/ hors normes , je suppose qu'ici chacunE sait que l'homosexualité en faisait partie , mais savez vous que les travestis , les voyeurs, les exibis ,les sado masos, ect ect en font aussi partie ?
bon je reprendrai la suite de mon message demain j avoue être quelque peu fatigué et avoir aussi envie d'une discutions avec vous
( a savoir qu il existe des activiste anars trans qui se battent contre la psychiatrisation forcée )
stef-trans-pd
 

Re: Psychiatrie : qu'en penser ? Qu'en faire ?

Messagede Seitanarchist » 08 Aoû 2009, 13:03

Je n'ai comme approche de la psychiatrie que l'unique vécu trans , mais je pense que ce vécu porte a une réflexion nettement plus générale sur la psychiatrie.


Déjà parce que les gens considérés comme malades sont sans doutes les plus à même d'en parler, et en effet, de ce fait on peut parler de la psychiatrie de manière générale.

Le rapport savoir-pouvoir est loin d'être innocent là où les apports de la psychiatrie et l'instrumentalisation des théories psychanalytiques à des fins thérapeutiques restent discuttables.
Cette instrumentalisation est plus que douteuse étant donné que les psychiatres sont les premiers à avouer ne pas connaitre réellement le fonctionnement de certaines "maladies" ni même qu'il existe verritablement un traitement.
Et pour cause, le but de la psychiatrie n'est pas de guérrir le mal-être des patients, mais de soigner les symptômes de ce qu'on a indentifié comme un trouble dont la manifestation n'est caractérisée que par rapport à l'idée que la psychiatrie se fait d'un "psychisme normal".

Et comment définit on une norme ? Par rapport à la société.

Le fond du principe de la psychiatrie est donc essentiellement fasciste : intégrer par la force, ou désintégrer (en les enfermant et en les bourrant de cachetons) les individus déviants et marginaux rapport au "psychisme socialement acceptable".

Qu'il puisse peut être, un jour, en dehors d'experiences pour l'instant très limitées, exister une "psychiatrie autogérée, alternative" etc, dans le cadre d'une société libertaire me semble envisigeable.
Mais il semble en revanche impossible de penser la psychiatrie comme autre chose que comme un outil du pouvoir dans les circonstances actuelles.

Ceci parce que la définition même d'un psychisme "sain" ne se fait pas par rapport à la capacité des individus à vivre de manière réellement autonome et s'épanouir au contact des autres mais uniquement par rapport aux normes sociales en vigueur et à des critères médicalement définis, dont la "scientificité" reste à prouver.

En France, l'enfermement n'est plus forcement aussi systématique qu'à une époque. Mais si vous êtes admis dans un hopital psychiatrique et qu'il est constaté que vous représentez un "danger pour vous même et votre entourage", vous pouvez y restéEs confinéEs un moment. Autant vous dire que la maladie risque d'être un pretexte à vous garder et que tout espèce de saute d'humeur ou de rebellion ou de liberté prise sans autorisation sera prise pour un symptôme criant de votre "maladie". Autant dire que vous aurai tout intérêt à montrer patte blanche pour sortir...
La nécessité de "l'hospitalisation sans consentement" (c'est comme ça que ça s'appelle) étant de plus laissée à l'appreciation des "thérapeutes" et leur bureaucratie de spécialistes.
Car en effet, outre le seul bien être du patient que la thérapie doit ammener (c'est une supposition), la loi française statut sur l'idée qu'on ne peut jamais savoir si "la maladie sera un jour vraiment guérie", la "disparition des symptômes" ne signifiant pas légalement (puisque c'est inscrit dans la loi et donne ainsi "pleins pouvoirs" à l'appréciation du thérapeute) que la maladie a disparu ou pourra un jour disparaitre : quel meilleur détour juridique pour toujours faire peser sur le "malade" l'idée qu'il ne sera plus jamais vraiment libre autre que "conditionnellement", en dissimulant bien souvent son mal dans la peur d'être interné à nouveau ?

Pour reprendre le style kafkaïen, c'est une manière de toujours faire du patient un coupable éternel : coupable d'être malade, ou coupable de le cacher, coupable de ne pas le savoir ou coupable de ne pas pouvoir guérir. Seul le thérapeute a tout compris. Parce que le thérapeute lui sait. Il a le savoir, donc le pouvoir. Mais intérrogez le thérapeute de base sur les solutions les plus éfficaces pour guérir la maladie si terrible dont il voit partout les symptômes et comment faire pour aider le malade à se sentir mieux, et il vous montrera générallement un air constipé qui veut dire qu'il n'y connait pas grand chose en dehors de ses préscriptions médicamenteuses d'étudiant en laboratoire avec ses rats en cage.

Il faudrait faire de "la maladie une arme" comme le disait le collectif des patients socialistes (SPK - socialitisches). Comme l'ont fait les séropositifs des premiers mouvements d'Act up.
Ne plus être un patient ou une patiente, mais "im-patient" et "im-patientE", en étant actif et active, et arracher les solutions pour vivre mieux à ceux qui voudraient dispenser leurs méthodes économiques d'intégration.

Puisqu'on en est aussi là. Plutôt que d'imaginer que la société puisse changer : tout, et même et surtout la pscyhiatrie, est conditionné par les impératifs marchands.
Un malade mental fait un mauvais travailleur. Et puisqu'il est générallement chômeur ou sans activité, on lui reprochera son inadaptation sociale comme symptôme de la maladie...
En faisant mine de ne pas voir que c'est peut être bien parcequ'il est considéré comme "inapte socialement" que des troubles psychiques apparaissent.
En faisant mine de ne pas voir que c'est la désintégration sociale et ses misères qui produisent une désintégration mentale (paranoïa, psychose, dégradation des capacités cognitives, etc), et pas l'inverse.

"Le système a fait des nous des malades. Laissez nous donc porter le coup fatal à ce système malade".
"Das System hat uns krank. Lassen Sie uns den Streik Todesstoß für die Kranken-System."
Sozialistisches Patienten Kollektive
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Re: Psychiatrie : qu'en penser ? Qu'en faire ?

Messagede Seitanarchist » 08 Aoû 2009, 13:43

Ce que je dis là manque sans doutes de références, et n'est pas très rigoureux, mais se base surtout sur le récit de l'experience de personnes ayant été confrontées à la psychiatrie et ses méthodes qu'il m'a été donné de lire et d'écouter. Et à vrai dire plus on en lit et plus on en écoute, et plus on se rend compte qu'il y a quelque chose de commun à celles qui y sont restées plus de quelques jours :
elles n'ont pas envie d'y retourner, quand bien même l'incapacité à "se gérer" seules se révèle impossible ou critique.
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Re: Psychiatrie : qu'en penser ? Qu'en faire ?

Messagede Roro » 18 Fév 2010, 00:58

Je fais remonter ce topic car on en parle dans le débat sur les prisons.
La Nature n'a fait ni serviteurs ni maitres, c'est pourquoi je ne veux ni commander ni recevoir d'ordres.
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Re: Psychiatrie : qu'en penser ? Qu'en faire ?

Messagede berneri » 18 Fév 2010, 10:23

ça m'énerve ce mélange entre la maladie mentale et la délinquance!!!!
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Re: Psychiatrie : qu'en penser ? Qu'en faire ?

Messagede Parpalhon » 18 Fév 2010, 12:02

il est pas question de "délinquance" mais de dangerosité ...
désolé mais un père qui viole ses enfants par exemple, ou un type qui décapite sa voisine parce qu'elle fait trop de bruit, je les considère comme dangereux, et je vois pas comment ces gens peuvent être lâchés dans la nature, sachant très bien qu'ils vont récidiver ...
Si tu trouves que ça fait parti de la vie, et qu'on a rien à faire contre ça c'est très bien, maintenant le jour où un schizo te sautera dessus faudra pas te plaindre :roll:

Moi aussi ça m'arrive d'avoir des envies de meurtre des fois, mais je sais contrôler mes pulsions et je bute pas le premier venu qui me fait chier ... seulement y a des gens qui vivent sur une autre planète, qui ont d'autres normes comportementales que celles que nous avons dans notre société, et ça peut pas coller ... eh oui c'est un peu du conformisme ça, mais c'est le moindre des mal quand même ..

Après je suis quand même totalement contre le système psychiatrique actuel ... mais je vois pas vraiment où est la solution ...

Ps : j'ai vu plus haut un commentaire sur la ritaline, j'ai pas trop bien compris le truc sur "y laisser des neurones" .. Faut arrêter de parler de trucs quand on connait pas ... La ritaline j'en ai pris et j'en prends encore, et sans ça j'aurai jamais pu passer mon bac ... et j'ai pas l'impression d'y "laisser des neurones" :gratte:
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Re: Psychiatrie : qu'en penser ? Qu'en faire ?

Messagede sebiseb » 18 Fév 2010, 12:27

Effectivement, prétendre construire une société libertaire et prôner (comme je l'ai déjà vu) la liberté de meurtre par nihilisme de la maladie mentale, voir la simple incapacité à maîtriser ses pulsions, c'est foncer droit dans le mur de la dictature !
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Re: Psychiatrie : qu'en penser ? Qu'en faire ?

Messagede Tuxanar » 18 Fév 2010, 12:28

C'est sure qu'il y a des gens qui sont dangereux pour eux-même ou pour les autres. Le problème n'est pas ceux qu'on remarque, en général, ils ne sont pas si dangereux, mais ceux qu'on ne remarque pas. Dutroux avait l'air normal avait qu'on se rende compte qu'il séquestrait des jeunes femmes.

Et puis, j'aurais du mal à faire la différence entre une personne "normale" et une autre qui a de léger problèmes comportementaux mais qui peut être dangereuse. Je ne sais pas vraiment sur quelle échelle on peut détecter ce genre de problème.
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Re: Psychiatrie : qu'en penser ? Qu'en faire ?

Messagede sebiseb » 18 Fév 2010, 12:33

Tuxanar a écrit:Et puis, j'aurais du mal à faire la différence entre une personne "normale" et une autre qui a de léger problèmes comportementaux mais qui peut être dangereuse. Je ne sais pas vraiment sur quelle échelle on peut détecter ce genre de problème.

Ce n'est pas à toi, ni à moi de faire "la différence", mais à ceux qui sont formés pour diagnostiquer la dangerosité de l'individu induite par la maladie ou le problème psychiatrique - avec toutes les précautions que cela nécessite, multiplicité et consensus sur le diagnostic.
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