çà a pèté en Angeterre, du coup ce théma d'Arte permet d'éclairer un peu sur la question et engage à discussion. Au delà des mouvement sociaux, comme on a pu en connaitre un gros recemment autour de la question des retraites, ces manifestations violentes de révolte comme il y en a en Grèce, et comme il y a eu en France en 2005, semble inquièter d'avantage les gouvernements. En même temps grèves et bloquage aussi, bref tout ce qui peut se rapporter à des éléments de ce que l'on nomme une expression de la lutte de classes et l'action directe, action directe qui ne se réduit pas à l'action violente mais qui place l'affrontement avec le système dans un champ ou l'encadrement idéologique (l'idéologie dominante et bourgeoise) et syndical (pour les syndicats de collaboration de classes) est moins opérant et où l'auto-organisation place les acteurs et actrices sur un terrain qui permet de reconstruire de l'autonomie, de la réapropriation des luttes et de l'autogestion (gestion directe collective) des luttes.
Dans cette question autour de l'émeute et hors un certain mythe insurectionaliste ce sont des questions de sens qui se posent. Quels sont les objectifs, et les objectifs déclinés en cibles : les vitrines, les supermarchés les banques, la police...? Comment construire à partir de ces évènements, comment construire de la force collective qui puisse continuer à exister et se renforcer au delà de ces pics d'affrontements ? Quel message est porté, et comment se construit le politique, les contenus, et le sens ?
