à la longue à force de rester assit sur tes certitudes t'as la peau du cul un peu dure ?!
Salut scrash !!
vaste débat !question très interressante ! en psychothérapie ce que je peux en comprendre à mon niveau déja c'est: l'importance de l'histoire perso dja. sans donner de conseils
déja le truc c'est de rester soit même , en rester à avoir un regard le plus conscient possible de son inconscient et pouvoir regarder en face le réel quel que ce soit qui arrive;
la prise de conscience quoi je dis rien de nouveau
.
j'ai également constaté aussi personnellement qu'après une rupture dans un groupe beaucoup d'entre nous se sont retrouvé à essayer de se retrouver en psychothérapie .. parceque chacun à sa manière on avait mit ses espoirs dans cette organisation . parcequ'il faut y croire . ou bien c'est dur de donner un réel crédit sur le long terme à un tel projet avec autant d'imperfections, d' achopements avec la réalité qui rendent ce projet alors trop éloigné du préliminairement rêvé
.
Avoir les idées claires bon déja c'est essentiel pour pouvoir s'expliquer ensuite les changements ;
l'évolution des choses ,ensuite.
On est ausi alors dans le domaine de l'évidence , c'est dc pas forcemment simple à vivre pour tous aussi . chacun, encore, a son histoire.
... s'éclaircir les idées pour pouvoir garder aussi qqpart en tête que nos pensées révolutionnaires , en plus de rester dans le long terme dans l'absolu, restent dans leur achèvement idéal de l'ordre de la spéculation ,de l'espérance .
..et alors c'est souvent très dur aussi dans la pèriode au départ très "ambitieuse" d'avoir autant cette conscience du désastre présent que de paire l'acceptation du renoncement de l'aspirationde l'espoir qui vient souvent avec.
encore qqchose à régler ;
parceque déja nos certitudes précédentes sont dangereuses dans le sens où on peut s'abîmer dedans au-delà de la rationalité , de la réalisance/souffrance .. ??
là on se dissipe potentiellement. et ça peut être pas glop .
mais bref ça fait déja bcp de
tu disais:
On peut poser des actes pour affirmer (voire symboliser) des choses profondes de soi, et puis on peut aussi poser des actes pour en mettre plein la vue, pour briller... On peut aussi s'efforcer de faire coincider la partie "sa vie qu'on a pas choisie", avec une vie idéale, comme de faire rentre dans un rond, un carré un triangle un losange peu importe. Les actes posés ne sont pas une garantie d'authenticité. Et puis, au fait, on fait pas un concours d'authenticité. Il se peut qu'à chaque instant, il y ai en nous un mélange d'authenticité et d'hypocrisie. Parceque l'hypocrisie a une fonction sociale...
Ya peut-être à accepter d'avoir des contradictions (c'est pas grâve, c'est "normal" ), que la perfection n'existe pas. Rechercher le changement sans l'exiger.
c'est interressant. c'est un cheminement commun à bcp d'entre nous je pense
alors en dehors de l'acceptation qui doit accompagner les prises de conscience relatives à ces questions qquchose d'importance reste de continuer à vivre comme à son habitude qqpart ...avec autant l'absurdité habituelle de notre monde en désespérance que les joies simples ... ne pas ériger trop notre vie selon des idées non plus, hors proportion de laréalité en effet.
les dogmes ça mène jamais à des trucs très fins.
perso mon "hygiène" c'est de me poser un moment tranquille en fin de journée
ça peut aider pour faire passer les trucs quotidiens .
Mais bref , dans une perspective anarchiste (révolutionnaire) on pourrait penser que "la psychothérapipo" ça pourrait servir , être utile ou quoi mais non, c'est une volonté fantasmée , c'est juste pas possible de l'envisager dans une perspective insurrectionnelle à l'apriori aujourd'hui, je pense :troispetispoints;
SAAUUuuF dans la forme de la libération de la parole (individuelle ... collective ..) et de la SANTE au delà .
les mots là sont (seraient alors)porteurs de Santé ..
et
c'est la Santé qui réunit les gens comme disait un copain .
tirons- en p-ê les conclusions.
Le problème n'est pas gauche-droite. Il est haut-bas.
de MOI » 24 Jan 2009, 02:02