Re: Marseille et Bouches-du-Rhône (13)
Posté: 19 Sep 2016, 18:52
MARSEILLE
mardi 20 septembre 2016
-20 h Équitable Café, 54 cours julien, 13006
Du 20 septembre au 1er octobre, l’Équitable se pique de féminisme(s)
Balayer devant notre porte (FéminismeS et sexualités)
L’édito et la programmation :
http://equitablecafe.org/programmation/ ... tre-porte/
jeudi 22 septembre 2016
-19 h Théâtre Toursky, Promenade Léo Ferré, 13003
Rencontre-débat avec les auteurs de l’ouvrage :
Le mouvement ouvrier à l’épreuve de la Grande guerre
Coorganisée par les amis de Richard Martin et l’association Promémo
Dans le cadre des Universités populaires
Une partie importante de la CGT prétendait pouvoir empêcher la guerre de 14-18 qui menaçait, en déclenchant une grève générale.
Prétention prise au sérieux par le pouvoir qui dressa des listes de proscription pour empêcher cette éventualité.
Mais la guerre fut déclarée, ouvrant le siècle des catastrophes, et aucune grève générale ne fut déclenchée.
Malgré cette faillite, le mouvement ouvrier n’a pas disparu.
La guerre même, par sa durée, par ses exigences, par son industrialisation, lui redonna de l’influence.
L’ouvrage collectif Le mouvement ouvrier provençal à l’épreuve de la Grande guerre, édité chez Syllepse/Promémo en 2015, sera la porte d’entrée de cette Université populaire.
Avec les auteurs de l’ouvrage : Colette Drogoz, Frédéric Grossetti, Gérard Leidet, et Bernard Régaudiat, ainsi que Richard Martin.
samedi 24 septembre 2016
-19 h Manifesten, 59 rue Thiers, 13006
À deux ans de la disparition des 43 étudiants d’Ayotzinapa.
Projection de « Mirar morir. Regarder mourir, l’armée mexicaine et les 43 disparus d’Iguala »
organisée par le collectif Caracol
A 2 ans de la disparition de 43 étudiants d’Ayotzinapa à Iguala (Guerrero, Mexique), le collectif Caracol-Marseille vous invite à la projection du film « Mirar Morir. L’armée mexicaine et les 43 disparus d’Iguala ». (VO avec sous-titres en français)
« Mirar Morir » enquête sur la participation des unités militaires (et notamment du 27e bataillon d’infanterie) dans les attaques contre les étudiants d’Ayotzinapa et a contribué à faire la lumière sur le déroulement de ce crime d’État, un cas emblématique de la longue liste de disparitions forcées au Mexique.
Ce documentaire d’investigation, produit par des journalistes et cinéastes mexicains, a obtenu le LASA Award for Merit in Film, de la Latin American Studies Association (LASA), et a été sélectionné au Festival de Biarritz Amérique Latine (France), au Festival de la Memoria (Mexique) et au Festival Cinemaissí (Finlande).
***
Synopsis :
Durant la nuit du 26 septembre 2014, un groupe d’étudiants de l’école normale rurale d’Ayotzinapa a été attaqué et poursuivi à plusieurs reprises dans la ville d’Iguala (État de Guerrero, Mexique). Six personnes ont été tuées, un étudiant a plongé dans un coma cérébral et 43 autres demeurent disparus. Les agresseurs sont des membres de la police municipale qui ont agi sous la surveillance directe des agents des corporations régionales et fédérales, ainsi que de l’armée. L’investigation, profondément déficiente, s’est focalisée sur la police municipale et a cherché à occulter la collaboration des autres forces de l’ordre. Plus particulièrement, l’enquête a visé à protéger les militaires, malgré les indices prouvant la participation de diverses unités - et notamment du 27e bataillon d’infanterie - à des actes de répression politique, de disparition forcée et de protection au crime organisé.
mardi 20 septembre 2016
-20 h Équitable Café, 54 cours julien, 13006
Du 20 septembre au 1er octobre, l’Équitable se pique de féminisme(s)
Balayer devant notre porte (FéminismeS et sexualités)
L’édito et la programmation :
http://equitablecafe.org/programmation/ ... tre-porte/
jeudi 22 septembre 2016
-19 h Théâtre Toursky, Promenade Léo Ferré, 13003
Rencontre-débat avec les auteurs de l’ouvrage :
Le mouvement ouvrier à l’épreuve de la Grande guerre
Coorganisée par les amis de Richard Martin et l’association Promémo
Dans le cadre des Universités populaires
Une partie importante de la CGT prétendait pouvoir empêcher la guerre de 14-18 qui menaçait, en déclenchant une grève générale.
Prétention prise au sérieux par le pouvoir qui dressa des listes de proscription pour empêcher cette éventualité.
Mais la guerre fut déclarée, ouvrant le siècle des catastrophes, et aucune grève générale ne fut déclenchée.
Malgré cette faillite, le mouvement ouvrier n’a pas disparu.
La guerre même, par sa durée, par ses exigences, par son industrialisation, lui redonna de l’influence.
L’ouvrage collectif Le mouvement ouvrier provençal à l’épreuve de la Grande guerre, édité chez Syllepse/Promémo en 2015, sera la porte d’entrée de cette Université populaire.
Avec les auteurs de l’ouvrage : Colette Drogoz, Frédéric Grossetti, Gérard Leidet, et Bernard Régaudiat, ainsi que Richard Martin.
samedi 24 septembre 2016
-19 h Manifesten, 59 rue Thiers, 13006
À deux ans de la disparition des 43 étudiants d’Ayotzinapa.
Projection de « Mirar morir. Regarder mourir, l’armée mexicaine et les 43 disparus d’Iguala »
organisée par le collectif Caracol
A 2 ans de la disparition de 43 étudiants d’Ayotzinapa à Iguala (Guerrero, Mexique), le collectif Caracol-Marseille vous invite à la projection du film « Mirar Morir. L’armée mexicaine et les 43 disparus d’Iguala ». (VO avec sous-titres en français)
« Mirar Morir » enquête sur la participation des unités militaires (et notamment du 27e bataillon d’infanterie) dans les attaques contre les étudiants d’Ayotzinapa et a contribué à faire la lumière sur le déroulement de ce crime d’État, un cas emblématique de la longue liste de disparitions forcées au Mexique.
Ce documentaire d’investigation, produit par des journalistes et cinéastes mexicains, a obtenu le LASA Award for Merit in Film, de la Latin American Studies Association (LASA), et a été sélectionné au Festival de Biarritz Amérique Latine (France), au Festival de la Memoria (Mexique) et au Festival Cinemaissí (Finlande).
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Synopsis :
Durant la nuit du 26 septembre 2014, un groupe d’étudiants de l’école normale rurale d’Ayotzinapa a été attaqué et poursuivi à plusieurs reprises dans la ville d’Iguala (État de Guerrero, Mexique). Six personnes ont été tuées, un étudiant a plongé dans un coma cérébral et 43 autres demeurent disparus. Les agresseurs sont des membres de la police municipale qui ont agi sous la surveillance directe des agents des corporations régionales et fédérales, ainsi que de l’armée. L’investigation, profondément déficiente, s’est focalisée sur la police municipale et a cherché à occulter la collaboration des autres forces de l’ordre. Plus particulièrement, l’enquête a visé à protéger les militaires, malgré les indices prouvant la participation de diverses unités - et notamment du 27e bataillon d’infanterie - à des actes de répression politique, de disparition forcée et de protection au crime organisé.