mercredi 12 mars 2014-19 h à Mille Bâbords, 61 rue Consolat, 13001.
Projection-débat organisée par les féministes du NPA
Autour du droit à l’avortementPour parler du droit à l’avortement et pour dégager ensemble des perspectives de luttes, nous organisons une Projection/Débat :
Mercredi 12 Mars à 19H à MILLE BARBORDS
Le 1er février a été une journée de mobilisation à travers le monde (État espagnol, France, Maroc, Italie, Mexique, Argentine, Équateur, Belgique, Angleterre, Irlande … ) pour affirmer que les femmes doivent pouvoir disposer librement de leurs corps et donc avoir le droit à l’avortement. Ces mobilisations se sont créées en soutien aux femmes en État espagnol, qui se sont mobilisées pour protester contre le projet de loi limitant drastiquement le droit à l’IVG en État Espagnol. Nous faisons le constat qu’en France, où l’avortement est légal son accès libre et gratuit ainsi que celui des contraceptifs sont largement remis en cause par les politiques économiques (ex : fermetures de centres IVG). De plus la loi actuelle en France est encore très insuffisante et nous avons de nombreuses revendications à satisfaire comme par exemple l’allongement du délai légal pour avorter, qui poussait de nombreuses femmes à aller avorter en État Espagnol !
Seule la lutte des femmes prolétaires et de touTEs celles et ceux qui soutiennent les droits des femmes pourra payer !
Des mobilisations locales, comme pour le centre IVG de Tenon (Paris XXe) ont permis des réouvertures avec davantage de moyens. C’est bien par la lutte, que nous avons toujours arraché nos droits et ce sera encore par la lutte que nous les garderons et en gagnerons de nouveaux !
En tant que femmes et en tant que prolétaires nous rencontrons au quotidien des difficultés qui sont le résultat de politiques économiques et sociales qui ne sont pas faites pour nous : difficultés de déplacements avec une poussette, manque de place en crèche, temps partiels imposés, agressions sexistes, lesbophobes et/ou racistes physiques et/ou morales sur nos lieux d’études, de travail, dans la rue et/ou à la maison, exclusion de l’école pour les jeunes filles voilées, difficultés de trouver un contraceptif adapté et remboursé par la Sécu , … Face à cette réalité sexiste, seules nos luttes et notre solidarité pourront nous permettre enfin de choisir nos vies !
Aujourd’hui, avec la crise économique et la politique d’austérité du gouvernement toutes les difficultés que nous connaissons sont en train de s’aggraver. Les attaques contre les services publics en sont un bon exemple. Ce sont principalement des femmes qui travaillent dans le service public de la santé, de l’éducation, de la petite enfance , … et ce sont principalement des femmes qui en sont usagères : maternité, crèche, … Avec la politique d’austérité du gouvernement, ce sont donc beaucoup de femmes qui verront leurs conditions de travail s’aggraver, beaucoup de femmes qui ne verront pas de postes se créer et beaucoup de femmes qui ne pourront plus bénéficier de services pourtant nécessaires : soins, gardes d’enfants, …
Les politiques d’austérité ont des conséquences très concrètes dans la liberté des femmes à disposer de leurs corps, lorsque les centres IVG, les maternités et les urgences médico-légales, qui accueillent les femmes victimes de violences voient leurs ressources drastiquement réduites ou quand ils sont tout simplement fermés.
Pour que nous puissions TOUTES avoir le choix !
Avoir le droit de faire nos choix de vie, d’étude, de travail et que ceux-ci soient respectés ! Nous voulons que chacune d’entre nous puissent avoir le choix et le droit de disposer librement de son corps : choisir sa sexualité et choisir sa maternité, choisir sa tenue vestimentaire, choisir son genre, choisir sa religion ! Nous sommes pour l’abrogation de toutes les lois islamophobes : pour que l’éducation et l’espace restent des lieux publics, c’est-à-dire pour touTEs, sans discrimination raciste, sexiste et/ou homophobe. Nous sommes pour que les femmes puissent avoir recours à la PMA (procréation médicalement assistée) qu’elles soient lesbiennes, bisexuelles ou hétéros, qu’elles soient célibataire ou en couple. Ce droit à la PMA figurait dans les promesses du candidat Hollande, qui maintenant revient dessus. Les mouvements d’extrême droite s’en réjouissent, eux qui descendent dans la rue contre les droits des femmes, des LGBTI et des oppriméEs par le racisme. Le droit de vote des immigréEs fait aussi partie des promesses non-tenues. Aujourd’hui, en France le droit de vote n’est pas encore acquis pour touTEs !
http://www.millebabords.org/spip.php?article25633
jeudi 13 mars 2014-19 h à La Marmite, 38 cours Gouffé, 13006
La Marmite
Création d’un collectif autour de l’anti-psychiatriePour discuter, se réunir autour des questions liés à la psychiatrie...
Pour ceu/celles qui ne peuvent pas venir on souhaite se rencontrer tous les jeudi même heure même endroit
Contact :
paspareil@riseup.netEn projet : venue de G. Bucallo auteur de Dizionario anti-psychiatrico, projections, débats, ...
Présentation du collectif :
Pourquoi parler de l’anti-psychiatrie ?
Parce que nous nous sentons tou-tes malades de cette société normalisante et standardisée qui tend à rendre invisibles toutes les personnes qui cassent l’ordre « normal » de nos « schémas » dominants.
Pour discuter collectivement afin de démonter ses propres clichés.
Aussi pour rendre cette question visible et collective, et lutter contre le discours qui
individualise le malaise social en général.
C’est aussi le point de départ de la construction d’un collectif qui puisse faire émerger les contradictions et les liens entre la maladie mentale et le système capitaliste, sans la prétention de proposer une solution « alternative » et définitive face à une question si complexe.
En refusant la position des prétendus expert-es, mais partant du constat que nous sommes touché-es face à un système qui génère toute sorte de maladies, comme par exemple l’amour de l’argent et du travail.
Nous préférons plutôt une approche qui tende à déconstruire la catégorisation personne « malade » et personne « saine ».
Parce que nous ne voulons pas nous adapter au système et nous nous confortons dans notre posture d’inadaptés.
Première réunion ouverte du collectif : Jeudi 13 Mars à 19 heures
La Marmite 38 cours Gouffé 13006 Marseille - métro Castellane
P
.-S.
Contact :
paspareil@riseup.netjeudi 13 mars 2014-19 h 30 à Casa Consolat, 1 rue Consolat, 13001
Librairie Transit
« Mahmoud Darwich. Et la terre comme langue » un film de Simone Bittondans le cadre du ciné-club de la Casa Consolat
La librairie associative Transit présente « Mahmoud Darwich. Et la terre comme langue » un film de Simone Bitton (59 mn) construit autour de divers entretiens avec Mahmoud Darwich, au grès des étapes de son exil. Mahmoud Darwich, mort en 2008, est né en 1942 dans le village d’Al-Birwa en Palestine, dont la population est chassée par les troupes israéliennes en 1948. Village détruit et disparu de la carte.
Réfugié au Liban, il rentre clandestinement en Palestine et découvre une colonie isrélienne à la place de son village. Réfugié dans sa propre patrie, il commence à écrire dès 1965. Arrété plusieurs fois, en 1971, il décide de s’exiler. Il devient, alors, dans le monde entier la voix de son peuple et de tous les peuples arabes.
Paf prix libre
Adhésion obligatoire à prix libre
Repas à prix libre aussi !!
CASA CONSOLAT 1 rue Consolat 13001 Métro/Tramway Réformés-Canebière
vendredi 14 mars 2014-18 h 30 à la Librairie de l’Arbre, 38 rue des Trois Mages, 13006
Rencontre avec Nicole Roelens
Le nouveau mouvement de libération international des femmesLibrairie de l’Arbre
Nicole Roelens est psychologue clinicienne du travail et de la formation. Sa thèse en 1996 portait sur l’habilitation intersubjective à l’existence sociale. En 2000, son analyse des processus de disqualification en chaîne et de violence au travail rencontre un écho exceptionnel. En 2003, elle publie Interactions humaines et rapports de force entre les subjectivités sur les conflits inhérents à l’interprétation du monde et à la construction de la réalité. Depuis elle s’est attachée à observer la violence fondamentale de la colonisation de l’humanité femelle. Elle est aussi militante antinucléaire, artiste, mère et grand-mère, libertaire et amoureuse de la vie.
Elle nous invite ce vendredi à débattre du nouveau mouvement de libération international des femmes.
L’inégalité flagrante entre les sexes aussi bien dans la place qui leur est donnée, dans la répartition des richesses, que dans l’autorisation à exister, n’est pas un simple archaïsme c’est l’armature même de nos sociétés fondées sur les rapports de force.Si nous voulons que l’humanité se dégage enfin des rapports d’exploitation et de violence qui, chaque jour, produisent tant de souffrance et misère, il nous faut déconstruire les fondements de ce système de colonisation sexiste afin de promouvoir une société de coexistence pacifiée.
C’est cette conviction qui a motivé l’écriture, pendant 10 ans, de l’ouvrage en trois tomes qu’elle viendra nous présenter :
Manifeste pour la décolonisation de l’humanité femelle.
Le premier, La Femellité parle de la vie dans un corps sexué femelle, avec ses puissances, mais aussi ses amputations dues au colonialisme des mâles. Il affirme la dignité femelle et situe le mépris phallocratique de la femellité comme une volonté d’ignorance.
Le deuxième tome L’enfantement des humains, décrit le travail existentiel gigantesque réalisé par les femmes pour mettre au monde des humains capables de vivre par eux-mêmes. Il est interdit de parole par l’oppression coloniale sexiste. Cette censure entrave les grands apprentissages humanisants de la maternité et la formulation d’une sapience femelle fondamentalement utile à l’humanité.
Le troisième tome Le système de recolonisation perpétuelle répond à la question : « Comment la colonisation de l’humanité femelle est-elle reconduite d’une génération à l’autre ? » L’engrenage se met en place, au moment de chaque naissance, par le retournement contre les femmes de leur puissance d’enfantement. Cette escroquerie coloniale fonctionne également dans les interactions érotiques, procréatives, existentielles, socio-économiques, cognitives et spirituelles. L’analyse du mode opératoire croise les quatre opérations coloniales de base que sont l’annexion, le pillage, l’humiliation et l’assujettissement avec sept registres différents d’interaction entre les sexes. Cette combinatoire révèle l’ampleur et la violence de l’emprise sexiste exercée sur les femmes.
Ce vendredi 14 mars 2014 à 18h30 à la librairie de l’Arbre
P.-S.
09 50 14 68 18 / 06 58 18 43 88
librairiedelarbre.blogspot.com/
dimanche 16 mars 2014-15 h à Équitable Café, 54 cours julien, 13006
Rencontre avec Ryoko Sekiguchi
Quelle mémoire de Fukushima ?Une proposition de La Cité en partenariat avec L’Equitable Café
« Après la triple catastrophe qui a frappé le Japon le 11 mars 2011, la zone sinistrée s’est trouvée confrontée au problème de la mémoire, des mémoires de toutes espèces : de la catastrophe, des quartiers qui n’existent plus, des personnes qui ne sont plus.
Que conserve-t-on, que ne conserve-t-on pas ? Un immeuble en guise de mémorial ? Des photos ? Les objets archéologiques trouvés dans la zone contaminée peuvent-ils être conservés ? Voici les questions que je souhaite aborder avec vous, ici, à Marseille. J’apporterai pour cela les images que j’ai prises lors de mon dernier voyage à Fukushima à l’automne 2012, les histoires que j’y ai recueillies...
Et je voudrais parler avec vous de votre mémoire, de ce que vous conservez d’histoires vécues, tragiques ou heureuses, et de ce que vous voudriez conserver au cours de votre vie, mais aussi de ce que vous voudriez que ceux qui vous aiment conservent un jour, peut-être, bien plus tard, en mémoire de vous. »
Ryoko Sekiguchi
À 15h, Ryoko présentera des extraits de son livre, projettera des photos de Kazutomo Tashiro réalisé à Fukushima entre 2011 et 2013, nous parlera de son voyage à Fukushima en 2013.
Puis vers 16h30, Ryoko propose un workshop sur la mémoire d’un drame.
« Je voudrais, pour ce workshop, que chacun de participants apporte un objet en rapport avec leur mémoire personnelle, et nous le raconte. L’histoire peut être très personnelle (exil, déménagement, décès d’un proche, le lieu de vacances d’été qui n’existe plus…). Cela peut être un objet, une photo, un plat (souvenir gustatif), une phrase, ou un geste de quelqu’un, pour aider au fait que tous les participants puissent partager cette histoire. »
[ dimanche 16 mars de 15h à 18h à l’Équitable Café]
Des photographies de Kazumoto Tashiro artiste choisi par Ryoko, seront montrées à la Maison de la Région à partir du 11 mars, 3 ans jour pour jour après la catastrophe de Fukushima (et jusqu’au 16 mars).
P.-S.
http://equitablecafe.org/envisages@marsnet.orgmercredi 19 mars 2014-16 h au Local de Solidaires 13, 29 boulevard Longchamp, 13001 (tram national)
Marseille solidaire contre l’extrême-droite
Assemblé Générale de MSEDLe collectif Marseille solidaire contre l’extrême droite (MSED) s’est constitué au printemps 2013 à l’initiative d’une quarantaine d’organisations syndicales, politiques, associatives et culturelles ainsi que de nombreux Marseillais-e-s.
Autour de l’appel « contre le fascisme, pour le progrès social et l’égalité des droits » nous, individus et organisations progressistes et antifascistes, voulons participer à construire une large mobilisation unitaire et populaire contre la montée des organisations fascistes et leurs idées. Du meurtre de Clément Méric à celui du rappeur grec Pavlos Fyssas, en passant par la montée du FN, la mobilisation des « manifs pour tous » et les politiques racistes et antisociales, notre combat pour la solidarité n’est plus seulement une nécessité mais une urgence vitale. A Marseille comme ailleurs, S. Ravier, M. Le Pen et leurs amis postulent à devenir un parti comme les autres, « fréquentable ». Nous réaffirmons que le FN et les groupuscules fascistes sont un véritable poison pour nos acquis sociaux et démocratiques et qu’ils doivent être combattus partout. Nous appelons tou-te-s les Marseillais-e-s à nous rejoindre pour faire reculer et anéantir ces idées brunes, héritières des plus sombres heures de l’histoire.
NOUVELLE ASSEMBLÉE MILITANTE ANTIFASCISTE MERCREDI 19 MARS 2014 À 16H AU LOCAL DE SOLIDAIRES 13, 29 BOULEVARD LONGCHAMP 13001 MARSEILLE.
P.-S.
Contactez nous : Par mail : marseillesolidaire chez gmail.com
Sur Facebook :
https://www.facebook.com/collectif.msedSur Twitter : @MrsSolidaire
samedi 22 mars 2014-11 h 30 cours Julien - 13 h 30 El Hache de Cuba - 21 h Molotov
ANTIFAFESTFestival "Marseille solidaire"
Suite aux entraves mises par la Mairie contre notre festival, qui devait initialement se tenir le 15 Mars, le collectif MSED ne démord pas et s’associe aux collectifs Action Antifasciste Marseille, Nosotros et aux bars "El Ache de Cuba" et "le Molotov" pour une journée contre l’extrême droite.
Cette journée s’inscrit dans le cadre de la journée internationale antifasciste et antiraciste, à l’appel de nos camarades grecs.
Festival "Marseille solidaire" (11h30 / 18h)
Organisé par le collectif Marseille solidaire contre l’extrême droite
COURS JULIEN
11h30 / 14h : PIC NIC ANTIFASCISTE ET FESTIF
Espace cantine et scène musicale "Un artiste, une chanson contre le FN"
Le collectif MSED propose à tous les artistes de la scène locale de prouver une fois de plus que le monde de la culture est prêt à s’engager face à la montée de l’extrême droite, pour la solidarité, le progrès social, l’égalité des droits. Leurs idées et leurs pratiques sont un poison pour l’émancipation.
11h30 / 18h : Village associatif, librairie, animations diverses ...
17h30 : seconde scène musical "Boeuf anti FN"
EL ACHE DE CUBA (108 Cours Julien)
13h30 : Projection de courts métrages antifascistes (à confirmer)
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4h : Table ronde "L’extrême droite vue par la presse régionale" en compagnie de journalistes spécialistes de l’extrême droite en PACA.
A travers l’oeil engagé de journalistes locaux, nous proposons de faire un état des lieux de l’évolution du FN et de l’ensemble de l’extrême droite dans notre région. Connue pour être l’un de leurs fiefs et à la veille des élections municipales, comment les groupes d’extrême droite continuent à s’implanter, à quels résistances font ils face ?
15h20 : Table ronde "S’unir face à l’extrême droite" en compagnie de collectifs et associations Marseillaises luttant contre l’extrême droite.
Dispersé, le mouvement antifasciste et antiraciste ne saurait combattre efficacement. Le collectif MSED s’est lui même constitué dans une volonté d’unir les différentes sensibilités présentes dans ces combats. A l’occasion de cette première journée internationale d’action antifasciste et antiraciste, nous nous proposons de faire le point sur nos convergences, nos différences, nos complémentarités, afin d’avancer ensemble.
16h30 : témoignage d’un militant russe sur la situation dans son pays
Il n’était pas possible de ne pas terminer cette journée internationale sans aller voir ce qu’il se passe de l’autre côté de l’Europe. Complexe, cette situation demande à être comprise du point de vue d’un militant antifasciste russe.
Soirée "Massilia Antifa" (21h/minuit, prix libre)
Organisée par l’Action Antifasciste Marseille et le collectif Nosotros
LE MOLOTOV (6, place Paul Cézanne)
Moscow Death Brigade (Hip hop, Russie)
The Detonators (Punk Rock, Serbie)
Enraged Minority (Bruder-Oi, Freiburg)
P.-S.
Pour participer (bénévolats/artistes/village associatif), contactez nous à marseillesolidaire chez gmail.com
mercredi 26 mars 2014-18 h au local de l’union syndicale Solidaires, 29 boulevard Longchamp, 13001
Rencontre-débat avec Fabrice Dhume
Vers une politique de l’égalitéSyndicat Sud Éducation13 & ACT-Approches Cultures et Territoires
En décembre 2013 le sociologue Fabrice Dhume rendait, à la suite d’une commande du premier ministre, un rapport intitulé Vers une politique française de l’égalité qu’il a co-écrit avec Khalid Hamdani.
La présence de ce rapport sur le site du premier ministre a littéralement déchainé notre classe politique de droite mais aussi de gauche.
Pourquoi est-il si difficile d’aborder dans notre pays la question des
discriminations ?
Pourquoi toute pensée novatrice et alternative déclenche t-elle un tollé ?
Autant de questions qui se posent aussi à l’école et que le syndicat Sud Éducation13 a décidé d’aborder en invitant Fabrice Dhume à parler de son rapport et de sa conception de ce que pourrait être une vraie « politique française de l’égalité ».
Faire de cette conférence un événement c’est surtout promouvoir une façon de penser les discriminations qui se dégage des contingences politiciennes et aborde avec franchise et courage une question qui nous engage tous, même ceux qui préféreraient y échapper.
voir aussi
http://www.approches.fr/Vers-une-politique-de-l-egaliteP.-S.
sudeduc13@sudeducation.orgTél : 04 91 91 99 78
vendredi 28 mars 2014-19 h au local de Mille-Bâbords, 61 Rue Consolat, 13001
Rencontre et discussion avec Philippe Pelletier, auteur de
L’Anarchisme, vent debout !
Idées reçues sur le mouvement libertaireLe groupe Germinal et la liaison La Ciotat (Fédération Anarchiste)
L’anarchie, c’est le chaos.
L’anarchisme prône la violence.
L’anarchisme est contre la démocratie.
L’anarchisme aime détruire.
L’anarchie, c’est utopique.
(...)
Le groupe Germinal et la liaison La Ciotat (Fédération Anarchiste) vous invitent à défaire vos idées reçues et à échanger avec nous autour d’un verre à partir de 19h à Mille-Bâbords !
« L’anarchisme est propice aux idées reçues. » C’est en substance le point de départ du livre de Philippe Pelletier : L’Anarchisme, vent debout ! Idées reçues sur le mouvement libertaire.
Absent de tout enseignement, déconsidéré et/ou diabolisé, l’Anarchisme est circonscrit par une série de fantasmes tenaces.
Le but de cet ouvrage est donc de mettre à mal cet ensemble de représentations présentant l’Anarchisme comme un gouvernement déréglé, terroriste et violent.
Ainsi, par la contextualisation historique, économique, sociale Philippe Pelletier entreprend de déconstruire une série d’idées reçues : afin de mettre en relief la dimension plurielle du mouvement libertaire. Et de ce fait permettre aux personnes connaissant peu l’Anarchisme (comme aux anarchistes eux-mêmes !) de questionner leurs représentations quant au mouvement libertaire.
Philippe Pelletier est géographe, spécialiste du Japon, il enseigne à l’Université Lyon II, ainsi qu’à l’IEP de Lyon.
Outre ses publications concernant le paysage, la ville et l’environnement, il s’intéresse à la géographie politique, Il est ainsi l’auteur de : Elisée Reclus, géographie et anarchie (2009), Géographie et anarchie : Reclus, Kropotkine, Metchnikoff (2013) et l’Anarchisme (2010) dans la collection "idées reçues", dont l’ouvrage qui nous intéresse est en quelque sorte une "extension".
Groupe Germinal
P.-S.
groupe-germinal@riseup.net
samedi 29 mars 2014-11 h au local, 61 rue Consolat, 13001 (métro Réformés-tram National)
Assemblée Générale de Mille BâbordsOrdre du jour :
- Renouvellement du CA
- Bilan financier
- Bilan moral et d’orientation
Lors de la dernière AG (Apéro Général du 22/11/2013), nous nous sommes proposé.e.s d’amorcer une discussion de fond sur nos principes et notre fonctionnement.
En conséquence nous avons entrepris une relecture critique de la charte en vue d’être modifiée en rapport avec l’évolution de Mille Bâbords. Nous continuerons à réfléchir ensemble durant cette AG et à poursuivre le débat avec les adhérentEs sur l’orientation que nous voulons donner à notre activité.
Le projet de Mille Bâbords qui a aujourd’hui une riche histoire de 14 ans, n’est pas de seulement d’exister et de se maintenir mais de trouver une dynamique collective qui puisse favoriser la participation de touTEs à un débat sur la question sociale.
Dans ce cadre, nous serons amené.e.s à discuter, entre autres questions, sur les conditions d’adhésion des associations qu’il s’agit de préciser en fonction de l’orientation que nous voulons donner à notre projet.
Nous rappelons que cette AG est décisionnelle. Les points de l’ordre du jour nécessitant un vote, ce sont les adhérentEs à jour de leur cotisation qui participeront au vote(*).
Un apéritif amical prolongera le débat.
Vous êtes toutes et tous les bienvenu.e.s !
Le Conseil d’Administration de Mille Bâbords
« Simple, forte, aimant l'art et l'idéal, brave et libre aussi, la femme de demain ne voudra ni dominer, ni être dominée. »
Louise Michel