URGENT : Besoin de soutien, le Caracole expulsable dès demain
Nous avons reçu aujourd’hui la toujours désagréable visite d’un huissier qui est venu nous apporter un avis du tribunal nous ordonnant de déguerpir pour demain.
Nous avons donc besoin de soutien dès ce soir pour l’expulsion plausible de demain.
Venez nombreux au Caracole-neur, 260 Chaussée de Louvain à Bouges !
posté le 20 octobre 2014 par caracole
http://bxl.indymedia.org/spip.php?article5515
Mardi 21 octobre
Les caméras de surveillance à Bruxelles
à 19h à la BibLibre, au 131 avenue Buyl, à Ixelles (1050 Bruxelles).
http://bxl.indymedia.org/spip.php?article5479Ce mardi 21/10, à 19h à la BibLibre, on parlera des caméras que l’Etat installe à tous les coins de rue pour surveiller nos faits et gestes.
Enfin... à tous les coins de rues ? pas vraiment... Il se trouve que les yeux électroniques pullulent plus dans certaines zones que dans d’autres, et en particulier là où il y a plus de pauvres et de migrants... On en viendrait presque à se demander si l’Etat n’est pas fondamentalement raciste et au service des riches... Inattendu, n’est-ce pas ?
Il y sera aussi question des raisons qui poussent "nos" élus à installer ces foutus bidules, de leurs projets d’extension, des caméras "intelligentes" ainsi que du plan de "mutualisation de la vidéosurveillance" : à savoir la charmante idée de mettre en commun les images des communes, des polices locales, de la STIB et d’autres institutions bruxelloises, le tout centralisé à l’échelle de la Région de Bruxelles-Capitale.
En guise d’introduction, on projettera le film "Et après..." (20min) tourné à l’occasion de l’installation (et du sabotage) de caméras de surveillance dans les rues du centre de Marseille.
Mercredi 22 octobre 8h15
PROCES NO BORDER - APPEL A RASSEMBLEMENT
le mercredi 22 octobre 2014 au Palais de Justice de Bruxelles.
A 8h15 Place Poelaert - Bruxelles
Entre le 26 septembre et le 1 octobre 2010 Bruxelles accueillait plusieurs manifestations ainsi qu’un camp No Border sur le thème de la liberté de circulation.
Au cours de cette période près de 450 arrestations dites préventives ont été effectuées par les forces de l’ordre. Pour la seule journée du 29 septembre 2010 à l’occasion d’une manifestation syndicale européenne, environ 300 personnes furent arrêtées. Les cibles de la police étaient les personnes soupçonnées de participer au camp No Border. Un énorme déploiement policier s’est répandu sur la ville et sans raison valable, des personnes ont été contrôlées, fouillées et arrêtées administrativement. Aucun trouble ni délit ne leur était reproché, à part le fait de se trouver là et d’être vêtues d’une manière suspecte. Ces arrestations furent presque systématiquement accompagnées de brimades et d’humiliations, voire de violences physiques et morales.
Vidéo des arrestations du 29 septembre 2010 :
http://www.noborderbxl.eu.org/spip.php?article344
Cinq victimes, arrêtées pour leurs idées, ont décidé d’introduire une action civile devant le tribunal de première instance de Bruxelles contre l’État Belge et la Zone de police Bruxelles Capitale-Ixelles pour les arrestations préventives arbitraires dont elles ont fait l’objet.
Le droit de manifester est garanti par la Constitution et le recours à des intimidations et à des arrestations à l’encontre de manifestants pacifiques constitue des méthodes « dignes » d’un État policier.
Soyons nombreux à marquer notre solidarité avec les cinq victimes qui représentent aussi tous les autres.
Pour participer financièrement à l’action :
compte bancaire IBAN BE51 8804 9555 5162
BIC : HBKA BE 22
Vluchtelingen Aktie Komitee, Ijskelderstraat 158 B-9000 Gent
Textes et témoignages sur https://www.obspol.be/
http://bxl.indymedia.org/spip.php?article5382
Mercredi 22 octobre, 16 h
MOS MAIORUM STOP AUX RAFLES DE L'UNION EUROPEENE
Du 13 au 26 Octobre a lieu une opération policière sous le nom "mos maiorum" dans tous les pays de l’Union Européenne. Pendant ces deux semaines environ 18.000 policiers, en coopération avec FRONTEX, vont à la chasse des gens sans papiers. L’objectif est de récolter des informations sur les routes migratoires et arrêter le maximum de gens possible et ainsi renforcer leur politique criminelle contre l’immigration.
Nous, côte à côte, avec et sans papiers, amis-e-s et camarades de lutte de toutes nationalités, nous opposons à cette chasse à l’homme ! Nous dénonçons la politique migratoire européenne inhumaine et insensée qui provoque la mort de milliers de personnes en Méditerranée chaque année.
Tous les jours, les personnes sans-papiers sont traquées dans les transports en commun, sur leurs lieux de travail, dans leurs écoles ou à leurs domiciles. Les rafles organisées dans le cadre de "Mos Maiorum" rappellent les épisodes les plus honteux de l’Histoire européenne.
Faisons entendre notre voix : NON à l’exclusion, NON au racisme d’État !
Refusons la chasse aux étranger-e-s, refusons les contrôles de police sur critères raciaux, refusons l’enfermement des étranger-es.
RASSEMBLEMENT LE MERCREDI 22 OCTOBRE 2014
GARE CENTRALE (entrée principale), BRUXELLES 16H
Les politiques sécuritaires ne mettront jamais fin à nos solidarités !
+ Tract à diffuser largement ! http://bxl.indymedia.org/IMG/pdf/tract_ ... aiorum.pdf
http://bxl.indymedia.org/spip.php?article5491
Jeudi 23 octobre
Soirée de solidarité avec Nikos Maziotis
Ce 23 octobre, nous organiserons une soirée de solidarité avec Nikos Maziotis, prisonnier anarchiste en Grèce, membre de l’organisation "Lutte Révolutionnaire".
Au programme :
- discussion avec un invité venu de Grèce autour des nouvelles prisons de ’type-C’ et des prisonniers politiques grecs,
- intervention téléphonique de Marco Camenisch (prisonnier anarchiste en Suisse),
- diffusion du documentaire "Entretien avec Lutte Révolutionnaire",
- infothèque ouverte.
La soirée aura lieu au Pianofabriek (35 rue du Fort, Saint-Gilles) dans la salle Arenberg et commencera à 19h. Venez nombreux !
Jeudi 23 octobre
La révolution sans attendre - Maria Nikiforova
La révolution sans attendre
Discussion autour d’un livre sur la compagnonne Maria Nikiforova (1885-1919)
Après le coup d’Etat bolchévik de 1917 en Russie, des anarchistes ont tenté en ville comme à la campagne de défendre une vision anti-autoritaire de la révolution. A la tête d’un détachement autonome de gardes noirs en Ukraine, Maria Nikivorova a été confrontée comme Makhno un peu plus loin à de nombreuses forces contre-révolutionnaires en même temps qu’au nouveau pouvoir.
A l’occasion de la présentation du livre « Maria Nikiforova, l’épopée d’une anarchiste à travers l’Ukraine (1885-1919) » (Mutines Séditions, septembre 2014) et de cette expérience historique, on pourrait aborder quelques questions : Quel prix ont payé ces compagnons en se coordonnant dans un « front commun » avec des groupes autoritaires ? Comment éviter de tomber dans le piège de « faire la guerre » au détriment d’ « approfondir la révolution » ?
19h30, Bibliothèque Acrata, Rue de la Grande Ile 32 , Bruxelles
Bien entendu, le livre sur Maria Nikiforova est disponible au local.
Vendredi 24 octobre
Rassemblement pour Georges Ibrahim Abdallah
17h30, Résidence de l'Ambassadeur de France, Boulevard du Régent 42, Bruxelles
Georges Ibrahim Abdallah, militant communiste libanais âgé de 63 ans, arrêté à Lyon en 1984 a été condamné à la réclusion à perpétuité pour des actions revendiquées par les Fractions Armées Révolutionnaires Libanaises (FARL). Il entrera le 24 octobre 2014 dans sa 31ème année de détention.
En 1978, il résista à l’invasion du Liban par Israël, il combatti aux cotés du Front Populaire de Libération de la Palestine (FPLP). Il est libérable depuis 1999, son maintien en captivité est un choix politique de l’Etat français, appuyé par Israël et les Etats-Unis.
En avril 2013, sa huitième demande de libération conditionnelle est rejetée arès de nombreuses manoeuvres politico-judiciaires démontrant une fois de plus cette volonté de ne pas le libérer. Militant anti-impérialiste et pro-palestinien implacable, cet acharnement réprime son refus de renier ses opinions.
En mai 2014, Georges Ibrahim Abdallah dépose une nouvelle demande de libération conditionelle. Après des mois de mobilisation en soutien au peuple palestinien, la lutte doit continuer et s’amplifier pour la libération de Georges, haut symbole de ce combat.
Rassemblement pour la libération de Georges Ibrahim Abdallah le 24 octobre à 17.30 devant la résidence de l’ambassadeur de France à Bruxelles (Boulard du Régent 42, à Bruxelles)
Liberté pour Georges Abdallah !