Vendredi 5 octobre 2018
PALESTINE-GAZA : Pierre Stambul et Sarah Katz (*), conférence et témoignage
à 19h, Auditorium Pablo Neruda, 1 place Hubert Rouger, Nîmes
PIERRE STAMBUL présentera son dernier livre " La Nakba ne sera jamais légitime" (*) dans lequel il tente de répondre à plusieurs questions clés :
•sur la gigantesque illusion d'Oslo
• Sur la question du sionisme, idéologie dont le maintien rend impossible une paix juste
• Sur la nécessité de combattre le racisme et l'antisémitisme
• Sur le mouvement de solidarité pour la Palestine en France
• Sur la création illégitime de l'État d'Israël, indissociable du nettoyage ethnique de 1948
• et Sur la nécessité de créer un rapport de force pour imposer des sanctions à ce régime criminel en s'appuyant sur le BDS (Boycott, Désinvestissement, Sanctions contre Israël).
(*) La Nakba ne sera jamais légitime - Pierre Stambul éditions Acratie - 185 pages, 14 euro
SARAH KATZ passagère française d'un des bateaux de la Flottille de la Liberté pour briser le blocus de Gaza arraisonné illégalement dans les eaux internationales par la marine israélienne le 29 juillet 2018, a passé 3 jours dans les geôles de l'occupant. Elle témoignera de la violence des soldats lorsqu'elle et l'ensemble des passagers ont été capturés et des conditions arbitraires de sa détention avant d'être "déportée" en France.
(**)Sarah Katz et Pierre Stambul sont tous deux membres de l'Union Juive Française pour la Paix
Source : message reçu le 27 septembre 20h
La soirée est organisée par l'AFPS Nîmes, l'UJFP, les Femmes en Noir, le Comité BDSF30 et la LDH du Gard
https://gard.demosphere.eu/rv/4784Samedi 6 octobre 2018
Discussion autour du livre "Voyage en outre-gauche"
avec Lola Miesseroff
19h30, La Rétive, 42 rue du faubourg d’Auvergne, Alès
De 1968 en France, on ne retient en général que des clichés chocs ou chics : les barricades au Quartier latin, les voitures qui brûlent, des slogans, la pénurie d’essence, les soixante-huitards baba cools et ceux qui, passés « du col Mao au Rotary », ont fait depuis de « belles » carrières.
On oublie que Mai 68 n’a été que le point culminant d’un mouvement de révolte des ouvriers et des jeunes qui avait débuté bien avant et s’est prolongé largement au-delà, que ce mouvement a été très actif loin de la capitale et que les étudiants ou les groupuscules maoïstes et trotskistes n’en constituaient que les composantes les plus visibles.
C’est une autre vision de cette période que l’auteure donne à connaître à travers les témoignages de trente individus de diverses villes issus de ce qu’elle nomme « l’archipel outre- gauche », qui va des anarchistes indépendants à l’ultragauche en passant par les situationnistes.
Lola Miesseroff avait 20 ans en mai 1968. Depuis, elle n’a jamais cessé de viser à la destruction du vieux monde.
Nous partagerons un repas avec ce que chacun aura apporté.
http://www.millebabords.org/spip.php?article32100