mercredi 18 juin 2014-18 h au local de Solidaires 29 boulevard Longchamp
Tram National / M°Réformés
SUD éducation 13 organise une réunion publique
Rythmes scolaires à MarseilleAppel du 18 juin
Parents, enseignants, agents municipaux, associations de parents, syndicats, élus...
toutes les personnes intéressées par cette question sont invitées à venir en débattre
http://www.millebabords.org/IMG/docx/ry ... _juin.docx
jeudi 19 juin 2014MARSEILLE
-19 h Polygone Étoilé 1 rue Massabo 13002 ( Tram 2 Dames - M° Joliette )
Projection - débat
La experiencia Cecosesola (Venezuela)Documentaire
Le documentaire"L’expérience Cecosesola" (62 min), de Ronan Keneur et David Ferret, sur une coopérative égalitariste du Venezuela, sera projeté pour la première fois à Marseille au cinéma le Polygone étoilé le jeudi 19 juin à 19 heures, en présence d’un des réalisateurs.
A l’heure où les médias occidentaux donnent de la réalité vénézuélienne une vision déformée, partiale et peu documentée, à l’heure où règne la désinformation sur ce pays, FAL Marseille vous invite à participer à cette soirée qui nous permettra de découvrir la richesse de la participation populaire et d’échanger sur la situation du pays.
Synopsis :
L’expérience Cecosesola tente d’illustrer l’ingéniosité et la pérennité d’une expérience collective qui a choisi une voie indésirable pour les uns, utopique pour les autres. En 1967, quelques habitants de la ville de Barquisimeto au Venezuela s’associent pour enterrer dignement leurs morts : la coopérative Cecosesola est née. Malgré les pressions politiques, leur modèle autogestionnaire progresse et se diversifie. Aujourd’hui, ce sont plus de 1200 travailleurs associés qui gèrent des supermarchés populaires, les ferias, où affluent chaque semaine des milliers de consommateurs. Egalité des revenus, rotation des postes, absence de hiérarchie et relations de confiance sont devenus les piliers de l’organisation.
http://www.polygone-etoile.com/?browse= ... Cecosesolaextrait-vidéo :
http://youtu.be/Oa5MXoqizC0Entrée libre
Comité France Amérique Latine Marseille
Maison des Associations
93,La Canebière 13001 Marseille
falmarseille@yahoo.frhttp://www.franceameriquelatine.org/
vendredi 20 juin 2014-19 h au local de Solidaires, 29 bd Longchamp, 13001
Soirée de soutien à la Librairie TransitLa librairie Transit a besoin de vous !
Depuis sa création en septembre 2011, la librairie Transit a pour ambition de faire connaître les écrits publiés dans le domaine de la pensée critique.
Depuis lors, nous tenons des tables de livres dans de multiples endroits, du centre social de l’Agora à la Busserine au festival de jazz Charlie Free à Vitrolles en passant par l’Équitable café ou la fête de quartier à la Rouguière et en décembre 2012 nous avons ouvert un lieu au 45 bd de la libération où nous organisons régulièrement des rencontres avec des auteurs mais aussi des d’éditeurs (Bouchene, Images plurielles...) ainsi que des soirées thématiques (Palestine, Égypte, Masculinisme, Extrême droite...).
Sans vous, tout cela n’aurait pas été possible.
Mais pour continuer cette belle aventure, envisager d’embaucher une autre personne et pérenniser nos activités, nous avons besoin d’argent !
Et si vraiment vous ne pouvez pas être présent-e-s, une seule solution s’offre à vous : pillez les banques, séquestrez vos patrons - mais surtout n’agressez pas les grands-mères - et faites nous un don dont nous ferons bon usage !
Merci d’avance à tous nos soutiens, petits et grands !
Pour les dons :
soit par chèque à l’ordre de Transit à envoyer à
Librairie Transit 45 bd de la libération 13001 Marseille
soit par carte bleue :
http://www.lepotcommun.fr/pot/10fajjgt
vendredi 20 juin 2014MARSEILLE
-20 h Espace Matoub Lounes, 130 chemin de la Madrague-ville, 13015
L’ACAM et l’association ZARI
Hommage à Matoub
Projections vidéo et chansons engagées
Azul fell- awen-t, bonjour
Lounès Matoub, n’est pas seulement l’idole de la Kabylie. Sa voix et son œuvre ont franchi les frontières de son pays. Il est devenu une icône de la résistance de beaucoup de peuples en difficulté avec leurs gouvernants.
L’Association Culturelle Amazighe Marseille (ACAM) et l’association ZARI pour la promotion de la culture amazighe dans les Bouches du Rhône vous convient à un hommage à Matoub qui lui sera rendu par des artistes venant d’autres contrées que la Kabylie :
- Vous aurez le privilège d’assister à un récital de grandes oeuvres de Matoub admirablement interprétée par GADRY, un jeune artiste guinéen qui a découvert Matoub à travers des CD que lui achetaient sa maman.
- Vous découvrirez pour la première fois à Marseille, SAGHRU BAND, un groupe de chants amazigh qui nous vient de MELLAB, une bourgade située dans la région de TINGHIR, contrée berbérophone du sud-est du MAROC.
L’oeuvre de SAGHRU BAND s’inspire beaucoup de la chanson Kabyle engagée.
D’autres surprises vous attendent encore.
Tout cela aura lieu le
VENDREDI 20 JUIN A 20H
A L’espace MATOUB LOUNES
130 chemin de la Madrague - ville 13015 à Marseille (Marché aux puces)
Cela vous coûtera la coquette somme de ... 5€
mardi 24 juin 2014-18 h 30 au Local de Solidaires, 29 boulevard Longchamp, 13001, Marseille.
Soirée de soutien aux luttes en coursUnion syndicale Solidaires
La brutalité des réorganisations, le rythme effréné auquel elles se succèdent, la course aux suppressions d’emplois, ainsi que la précarité ambiante font qu’aujourd’hui un vent de révolte souffle dans de nombreux services de La Poste : d’Ajaccio à Rueil-Malmaison en passant par Villard-Bonnot et Paris XV, les grèves n’ont jamais été si nombreuses, aussi longues et déterminées !
Une riposte à la hauteur des attaques menées par une Direction, qui nous promettait du "SANG et des LARMES", s’avère donc plus que jamais nécessaire pour tous les postiers-ères et nos conditions de vie et de santé au travail.
Deux luttes emblématiques de la politique « sociale »sont actuellement en cours à la Poste :
Dans les Hauts de seine (92) : Cinq centres courriers sont en grève depuis plus de 140 jours. Ce conflit est motivé par le refus par les postiers du 92 d’un recours systématique à la précarité sur des postes permanents, ce qui est aujourd’hui le mode de fonctionnement « normal » de bons nombres d’établissements. Ils réclament donc l’embauche en CDI de quatre précaires qui travaillent pour La Poste depuis des mois. L’enjeu est de taille pour La Poste, car la précarité permet à l’entreprise non seulement d’engranger des aides à l’emploi, mais aussi de disposer à faible coût d’un personnel flexible et fragilisé donc peu revendicatif. Comme le disent nos directeurs d’établissement : « Un CDD ce n’est jamais malade et ça ne prend pas de congés ». Pour ce crime de lèse plus-value, les postiers-ères du 92 subissent les foudres de la Direction nationale (conseil de discipline, demandes de licenciements, mises à pied, convocation policière…), tout l’arsenal répressif patronal y passe. La Direction aurait-elle peur de la contagion ???
Dans l’Essonne (91) : Autre méthode, mais même mépris…. Les postiers-ères d’Epinay sur Orge apprennent la fermeture, dans l’urgence, de leur établissement. La raison avancée par La Poste, le loyer y serait exorbitant… Seul problème, le propriétaire des lieux n’est autre que La Poste !!! Sont-ils tombés sur la tête ? Bien sûr que non ! Au contraire, cette fermeture va leur permettre de tout remettre en cause dans cet établissement. Au nom d’une organisation dite « innovante, voire délirante », cette restructuration s’attaque au coeur même du métier de facteur. Les facteurs seront dessaisis de la préparation de leur tournée, ce qui va détruire les collectifs de travail, et ils devront six jours sur sept durant 6 heures de rang assurer la distribution du courrier en horaire mixte (Méridienne quand tu nous tiens …). Ce changement brutal aura non seulement des conséquences sur la santé des facteurs dont l’activité de distribution est quasiment doublée, mais également sur l’équilibre entre leur vie privée et professionnelle. Les collègues d’Epinay s’opposent donc par la grève depuis un mois et refusent ces nouvelles organisations avec d’autres postiers du 91.
Luttes d’intérêt général : Les postiers-ères en grève se battent aujourd’hui pour nous tous, leurs revendications sont aussi les nôtres !
Comment ne pas être solidaires de luttes qui combattent la précarité, les suppressions d’emplois, et cherchent à préserver nos conditions de travail et à défendre notre métier attaqué de toute part par des patrons affamés par « la saignée de l’emploi », tel un requin par sa proie.
Leurs combats sont aussi les nôtres !
Il y a donc une nécessité absolue à organiser la solidarité et débattre des possibilités d’extensions des conflits et de convergence des luttes, dans le contexte bouillonnant actuel…
Avec les intermittents du spectacle et les cheminots, ce sont les mêmes revendications que nous portons : Lutter contre la précarité pour assurer un service public de qualité !!!
La Poste nous promet du "SANG et des LARMES",
promettons-leur des "LUTTES et de la SOLIDARITÉ" !
Soirée de soutien aux luttes en cours :
Le mardi 24 juin 2014 à 18 heures 30
Au local de l’Union syndicale Solidaires
29 Boulevard Longchamp 13001 Marseille
(métro Réformé, tram National)
mardi 24 juin 2014-19 h à Mille Bâbords, 61 rue Consolat, 13001
Discussion
Face aux offensives du Capital en crise
comment s’organiser et sur quelle base ?groupe marseillais du Réseau Communiste Antigestionnnaire
À Marseille, les CAFs ferment et d’autres mesures d’austérité attendent les Chômeurs, RSAistes et précaires. Comment s’organise t’on face aux attaques du capitalisme en crise ? Comment articuler cette résistance avec nos positions révolutionnaires ?
Comment organiser la solidarité de classe en évitant les écueils de la charité, de l’assistanat et/ou de l’entre-soi ? Comment articuler l’auto-défense collective avec une perspective révolutionnaire ?
Tentons de tirer un bilan des diverses luttes, des groupes et organisations qui se sont constitués ainsi que des initiatives qui ont pu avoir lieu envers et par les précaires. Des camarades de groupe de chômeurs précaires de Montpellier, Lyon et Alès seront présents pour nous faire partager leurs expériences et leurs pratiques.
Face aux offensives du Capital en crise qui attaque toujours plus fort les catégories précaires dont nous faisons partie, comment s’organiser et sur quelle base ?
Venez en discuter avec nous le Mardi 24 Juin à Mille Bâbord à partir de 19 h.
(métro Réformés - tram National)
Le groupe marseillais du Réseau Communiste Antigestionnnaire
mardi 24 juin 2014MARSEILLE
-19 h 45 boulevard de la libération - 13001 -
M° Réformés
La librairie Transit présente le n°8 de la revue "Z"
« VÉNISSIEUX, LA ROUGE ET LA REVOLTE »en présence de l’équipe de la revue
« À l’hiver 2013, en choisissant comme lieu d’itinérance une ville de la banlieue lyonnaise, nous sommes allés à la rencontre de l’histoire des luttes de l’immigration et des quartiers populaires. »
Ces luttes se confrontent de mille manières – hier comme aujourd’hui – à la République française.
Avec le mythe d’un « État de droit » garantissant l’ « intérêt général » par l’encadrement du conflit social dans des procédures bien huilées, c’est le mot d’ordre de l’ « intégration » qui tente de s’imposer à toute une partie de la population. A l’école, dans les tribunaux, ou depuis le quartier, nous avons recueilli des paroles de refus, des expériences d’organisation, autant de pistes qui pourront inspirer ici et là.
Le « hors-dossier » n’est pas en reste, d’un retour à Fukushima dans le quotidien des sinistrés jusqu’au récit de la lutte contre les contrôles de police à New York, en passant par une BD à travers les champs cubains, un portfolio sur les luttes de migrants à Tel Aviv ou encore une traduction inédite de l’activiste centenaire Grace Lee Boggs. »
mercredi 25 juin 2014-20 h à Équitable Café, 54 cours julien, 13006
Rencontre avec l’auteur, Jean-Jacques Delfour
La condition nucléaire (Éditions l’échappée)
Une proposition du Collectif Antinucléaire 13
En France, malgré l’apparence, le nucléaire est tabou. Si quelques ONG, Greenpeace, Sortir du Nucléaire ou les Amis de la Terre, en disent tout le mal qu’elles peuvent, la critique reste une affaire pratique. Quelles actions ? Quelle efficacité médiatique ? Quelles alternatives ? Quelles contre-argumentations ad hoc ? La catastrophe de Fukushima, toujours en cours et hors de maîtrise, n’a guère changé la donne.
En face, l’union parlementaire sacrée entre droite et gauche et la minoration permanente des risques, le refus de divulguer les données, l’opacité quand ce n’est pas le mensonge, l’absence de débat public réel, l’invisibilité des nucléocrates, leur place dominante au sommet de l’ONU et au-dessus des États. Dans les deux cas, le symptôme est le même : pas de pensée du nucléaire mais seulement des positions. Sorti de ces guerres d’arguments voire de slogans, le paysage intellectuel français est quasi désertique : aucune théorie de fond, quelques études locales (de sociologie le plus souvent), un peu de prospective qui évite le sujet.
Solidement appuyé sur des connaissances sérieuses, ce livre vient combler cette lacune en proposant un système d’hypothèses philosophiques qui permet de penser ensemble l’histoire, la technologie atomique, la société et le capitalisme nucléaires, en prenant pour concept clef la notion de « jouissance technologique » (utilisée dans un précédent livre Télé, bagnole et autres prothèses du sujet moderne, 2011).
Loin d’être seulement une technologie, bien au-delà de la catastrophe de Fukushima, le nucléaire est une structure de notre civilisation. D’où la notion de « condition nucléaire ». Le lecteur pourra en suivre la construction en examinant la compétence subtile des ingénieurs, la jouissance technoscientifique liée à l’invention d’éléments chimiques qui n’existaient pas dans la nature (les transuraniens), la mythologie de l’abondance énergétique, l’implication multiforme dans les réseaux nucléaires, le sourd désir d’explosion atomique, la banalisation du désastre, le démenti du jusnaturalisme par la thèse de la destructibilité de l’homme moderne, la constitution d’une domination oligarchique appuyée sur la puissance d’anéantissement et la terreur, l’érotisation de la nihilité atomique, l’invention de la catastrophe interminable, la conviction que là où ça explose le savoir doit advenir, la dévalorisation radicale de l’être humain, la sécurité comme impératif hypothétique, la contamination généralisée comme politique mondiale, la sidération publique et l’absence de pensée et d’art, l’exploitation des générations à venir, etc. Bref, notre « condition nucléaire ».
Contaminé-e-s de tous les pays, unissez-vous !
Le blog de Jean-Jacques Delfour
Jean-Jacques Delfour, La condition nucléaire, Éditions l’échappée
P.-S.
http://equitablecafe.org/ /
envisages@marsnet.orgjeudi 26 juin 2014-18 h Local Solidaires 29 bd Longchamp - 13001 -
M° Réformés - Tram National
le Réseau Education Sans Frontières a 10 ans (RESF)Un anniversaire dont on se serait bien passé…
Un anniversaire dont on se serait bien passé…
mais parce que ce qui était inacceptable sous Sarkozy (ministre puis président) le reste sous celui de son successeur, la solidarité active avec les jeunes scolarisés sans papiers et leurs familles est toujours d’actualité.
Ce message s’adresse aux organisations « membres » du Réseau Education Sans Frontières des Bouches-du-Rhône, le plus souvent depuis son origine, et qui à ce titre soutiennent et relaient ses actions.
Nous vous en remercions et comptons sur votre présence lors de la soirée festive et de témoignages du 26 juin 2014 à partir de 18h et jusque 22h au local de Solidaires (29 bd Longchamp 13001).
Nous vous incitons à venir renouveler à cette occasion votre soutien, par une prise de parole. Merci de nous confirmer votre participation.
En cas d’indisponibilité de votre organisation, vous pouvez transmettre un message en amont (qui sera rendu public le 26 juin) et/ou faire un don (le RESF n’étant pas une association mais un réseau, il ne perçoit aucune cotisation).
En 2014 comme en 2004, continuons à exiger qu’on laisse ces jeunes grandir ici et prenons les sous notre protection.
Pour tous, la loi doit changer et régulariser.
Réseau Education Sans Frontières 13
resf13@no-log.org 06 31 32 48 65
61 rue Consolat 13001 Marseille
http://www.educationsansfrontieres.org/
jeudi 26 juin 2014-19 h 30 7 rue Mazagran, 13001
Acratos
Discussion sur le MaquisLa vie à la montagne, fin de la guerre civile en Espagne et l’exil, les camps de réfugiés dans le Sud de la France, début de la guerre, résistance, groupes d’anarchistes dans
la résistance française, la propagande, les attentats contre Franco...
Plus d’info :
https://www.diagonalperiodico.net/blogs/imanol
vendredi 27 juin 2014-18 h 30
Mille Bâbords, 61 rue Consolat, 13001
Rencontre-Débat Commission médiathèque de MB et Tant qu’il.net
La crise économique en Chine, prochain choc ébranlant le capitalisme mondial ?avec Mylène Gaulard, maitre de conférence en économie
Suite de la rencontre du 12 Juin pour laquelle Mylène Gaulard n’avait pu venir. On remet ça ce vendredi en présence de l’auteure.
Le vendredi 27 Juin à 18h30, Tantquil Marseille et la médiathèque Mille Bâbords organisent une rencontre/débat avec Mylène Gaulard qui vient de publier son nouveau livre : Karl Marx à Pékin, les racines de la crise en Chine capitaliste.
La Chine qui bénéficie de taux de croissance record depuis plus d’une décennie est loin d’avoir été épargnée par la crise de 2008. Les conflits sociaux s’y multiplient et depuis que son industrie est montée en gamme favorisant la fabrication de téléphones high-tech plutôt que de T-shirts, le chômage important des travailleurs non-qualifiés côtoie la pénurie de main-d’oeuvre en ouvriers qualifiés. Mylène Gaulard à la lumière d’une analyse marxiste du capitalisme chinois, revient sur la situation économique actuelle de l’Empire du Milieu et les contradictions inhérentes au développement du mode de production capitaliste en Chine. Les limites de l’accumulation capitaliste semblent atteintes et ce n’est plus qu’une question de temps avant qu’une crise chinoise, aux conséquences mondiales, se déclenche.
La discussion aura lieu à Mille Bâbords, 61 rue Consolat 13001 Marseille
La crise économique se profile en Chine. Les difficultés s’y accumulent, de manière toujours plus apparente. L’espoir d’un renouveau venu d’Asie, pour un capitalisme mondial affaibli, prend fin. Au-delà de la rigidité du régime politique, ou des désastres écologiques facilement relevés par les observateurs les moins attentifs, la formidable croissance de la Chine la mène à cette crise inévitable. Et cela parce que depuis 1949, sous l’étendard d’un socialisme usurpé, le capitalisme et son cortège de contradictions s’y renforcent toujours plus. S’appuyant sur les outils théoriques élaborés par Karl Marx, ce livre est consacré à une analyse rigoureuse et critique de ce processus.
MYLÈNE GAULARD est maître de conférences en sciences économiques à l’université Grenoble Alpes. Se réclamant d’un marxisme non dogmatique, elle est spécialisée en économie du développement, et ses recherches portent plus spécifiquement sur le Brésil et la Chine. Elle est l’auteur de L’économie du Brésil aux Editions Bréal. Elle a également soutenu en 2008 une thèse d’économie intitulée : Accumulation du Capital et inégalités : une approche comparée Chine/Brésil.
« Simple, forte, aimant l'art et l'idéal, brave et libre aussi, la femme de demain ne voudra ni dominer, ni être dominée. »
Louise Michel