unknown a écrit:ce n'est pas renforcer ce système que de l'améliorer ?
J'ai trouvé un truc sur le net j'ai pensé a toi..
"Ce féminisme radical estime, aussi, que tout compromis ou collaboration avec l'oppresseur, ou le système qui le sert.(...) Il faut refuser de se soumettre aux règles du jeu qui maintiennent le système d'oppression et cesser de collaborer à sa propre oppression. Pour certaines, cela se concrétise par le refus de voter, pour d'autres, cela veut dire refuser d'occuper des fonctions dans lesquelles on servira de caution à un système inchangé. Cela peut prendre diverses formes, y compris refuser tout rapport avec des hommes. (...)Contrairement au féminisme dit réformiste, le féminisme radical ne se contente pas de réclamer l'égalité entre les hommes et les femmes.
D'égalité dans la misère et dans la servitude, on n'a rien à faire. Ce féminisme veut une transformation réelle et perceptible des valeurs, en premier lieu l'abandon de l'hégémonie des valeurs mâles et patriarcales."Bon sinan en attendant l'arrivée du messie.. euh de la Révolution..
1804:"Le mari doit protection à sa femme, la femme obéissance à son mari." Napoléon.
"La femme est donnée à l'homme pour qu'elle lui fasse des enfants. Elle est donc sa propriété comme l'arbre fruitier est celle du jardinier ". En 1810, le Code pénal fait de l'adultère un délit - bien plus lourdement condamné pour les femmes.
C'est le règne de la double morale. L'adultère du mari n'est sanctionné que s'il est commis sous le toit familial et de façon répétée. Celui de l'épouse prise en flagrant délit est passible d'une réclusion en maison de correction. Le mari qui venge son honneur par un homicide bénéficie d'une certaine tolérance."
Aurions nous du en rester là? ?
Concernant le pourrissement d'une situation censé declancher, révolte , révolution.. ça ne fonctionne pas avec les femmes ou tres peu. Je pense meme d'une maniere générale qu'on neglige ou évalue tres mal la capacité des gens a la soumission et a la vie misérable.