Belgique

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Messagede bipbip » 30 Nov 2018, 22:25

Occupation du Parlement fédéral : Appel à la rébellion sociale et climatique !

A quelques jours de la grande manifestation pour la sauvegarde du climat, une centaine de personnes ont investi le Parlement Fédéral pour dénoncer l’inaction du gouvernement face aux enjeux climatiques et sociaux.

Communiqué de presse :
- Une centaine de personnes occupent actuellement le Parlement fédéral pour y dénoncer l’inaction du gouvernement belge quant aux enjeux climatiques. Ils veulent faire passer le message que répondre à l’urgence climatique ne se fera pas sans changer de cadre économique et politique et sans s’attaquer à l’injustice sociale. Ils appellent à un sursaut citoyen et à multiplier les actions et mobilisations.

- Ce mercredi (28 nov 2018) à 11h45, une centaine de personnes du collectif “Time for climate, time for people” répondant à l’appel à actions pour la justice climatique “Act for Climate Justice”, ont occupé le Parlement fédéral.

- Iels y sont entré-e-s de manière non violente, en débordant le dispositif de sécurité, et y ont lu un appel à la rébellion sociale et climatique.

Cette déclaration renvoie vers un site internet qui appelle à l’action et à faire mouvement.

Pour suivre l’ action en live via facebook : https://www.facebook.com/ActForClimateJustice/

#ActForClimateJustice #ClaimTheClimate #JpeuxpasJoccupeleParlement

Le dernier rapport du GIEC est sans appel. Les engagements actuels découlant de l’Accord de Paris mènent, au mieux, à un réchauffement de plus de 3°. En Belgique, les ambitions annoncées ou demandées aux différents niveaux de pouvoir sont largement en deçà des recommandations du rapport.

Pour les activistes qui mènent l’action, le cadre lui-même pose problème. A tous les niveaux politiques, les lobbies et les multinationales sont autour de la table des négociations. Or, il est maintenant avéré que 71% des émissions de gaz à effet de serre depuis 1988 sont émises par 100 entreprises[1]. Pour “Time for climate, time for people”, il faut une large mobilisation de toute la société belge pour changer de cap et appliquer des mesures ambitieuses à la hauteur de l’urgence.

Ce que proposent aujourd’hui les responsables politiques belges est en deçà de toute ambition climatique, mais est aussi aveugle aux inégalités sociales. Des mesures comme l’augmentation des accises sur le diesel par exemple font porter de manière démesurée le poids de la transition écologique sur ceux qui contribuent le moins au changement climatique. Laura, qui participe à l’action, souligne : “il est urgent d’assurer une vraie transition écologique, mais il est tout aussi urgent d’assurer une vie digne à tous. Chacun et chacune doit faire sa part, mais c’est surtout aux grands émetteurs de CO2 d’assumer les conséquences désastreuses de leurs modes de développement et de consommation ”.

Par leur action, les personnes présentes revendiquent la légitimité de poser un acte à cet endroit hautement symbolique censé représenter la voix du peuple, afin d’y bousculer un débat absolument pas à la hauteur de l’urgence. François, participant à l’action, explique : “J’ai peur, pour les prochaines générations, pour tou.te.s celles et ceux qui ont du mal à finir leur fin de mois. Il faut parler d’un tabou : le rôle du capitalisme et des pouvoirs financiers dans tout ça. Si on ne change pas drastiquement de système, on va droit dans le mur. Même des acteurs comme l’ONU ou Jean-Pascal van Ypersele disent aujourd’hui que nous avons besoin d’une révolution »”.

“Time for climate, time for people” appelle à poursuivre les mobilisations, les résistances et les engagements jusqu’à un changement de modèle, pour la justice sociale, environnementale et globale. Et ils appellent chacun et chacune à se joindre la manifestation Claim the Climate du 2 décembre.


https://bxl.indymedia.org/spip.php?article22936
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Re: Belgique

Messagede bipbip » 01 Déc 2018, 02:04

VIDEOS. Belgique : une manifestation de "gilets jaunes" dégénère à Bruxelles, le journaliste Rémy Buisine brièvement arrêté

Deux voitures de police ont été brûlées dans la capitale belge, peu après que la police a fait usage de canons à eau pour disperser des manifestants qui lançaient des projectiles.

Deux véhicules de police ont été incendiés lors de violentes échauffourées, vendredi 30 novembre, à la fin d'une manifestation d'environ 300 "gilets jaunes" à Bruxelles, le premier rassemblement de ce type organisé dans la capitale belge. Le journaliste français Rémy Buisine a été arrêté en plein direct, avant d'être relâché.

Les voitures de la police ont été brûlées en pleine rue, en début d'après-midi, peu après que la police a fait usage de canons à eau pour disperser des manifestants qui lançaient des projectiles. Selon une porte-parole de la police de Bruxelles, les manifestants ont notamment jeté "des boules de billard et des pavés".

... https://www.francetvinfo.fr/economie/tr ... 79199.html



Collectif Alternative Libertaire Bruxelles - Pour des gilets rouges et noirs

Par Léon (AL Liège)

Depuis déjà quelques jours, les gilets jaunes font couler énormément d’encre sur eux/elles et cela pour de plus ou moins bonnes raisons.

Ils/elles sont tantôt décrit·e·s comme des réacs racistes, sexistes et homophobes (et cela à cause de plusieurs évènements révoltants survenus surtout en France), tantôt comme des « casseur·euse·s » violent·e·s qui s’opposent aux forces de l’ordre ou tantôt encore comme des citoyennistes pacifistes à la ligne politique floue.

Alors qui sont vraiment les gilets-jaunes ? Personnellement, plutôt que de me fier aux médias dominants, j’ai préféré me mêler au mouvement (auquel je prends déjà part depuis quelques jours). ----

Cependant, il faut d’abord se poser la question des raisons qui ont poussé à cette mobilisation : c’est-à-dire une augmentation du prix du carburant. Pour beaucoup, cela peut paraître ridicule (surtout dans un contexte de casse continue de nos conquêtes sociales) mais à y regarder de plus près, les choses sont plus complexes. Tout d’abord, énormément de personnes sont dans l’obligation d’utiliser très fréquemment (et pour de longues distances) leur voiture. On peut penser en l’occurrence aux personnes qui vivent à la campagne ou à celles qui travaillent loin de leur domicile (et pour beaucoup, il est clair que les transports en commun offrent de moins en moins une alternative suffisante). En bref, pour énormément de personnes, il s’agit d’un énième coup dur au porte-feuille (et visiblement, il s’agit du coup de trop). ----

Directement, sur les réseaux sociaux, des appels à se mobiliser ont été lancés (comme en France) et force est de constater qu’ils ont été suivis ! A Feluy, à Sclessin, à Wandre, à Erquellines, à Wierde ou encore à Tertre, des groupes s’organisent spontanément sur les réseaux sociaux et se relayent de jour comme de nuit pour bloquer l’accès aux dépôts (en prenant parfois part à d’autres actions comme des barrages filtrants sur les autoroutes).

Très vite (presque directement en fait), la colère ne se cristallise plus uniquement sur la question du prix du carburant mais plutôt sur la baisse du pouvoir d’achat en général (d’ailleurs, c’est quelque chose qui revient souvent dans les discussions que j’ai pendant les blocages, cette fameuse « goutte d’eau qui a fait déborder le vase »).

Au début, le mouvement est plutôt pacifiste et citoyenniste. On y retrouve des personnes de toutes les classes sociales : du/de la petit·e patron·ne à l’ouvrier·e en passant par le/la travailleur·euse sans emploi ou encore le/la cadre moyen·ne. Cependant, il est important de noter que la majeure partie des personnes présentes font quand même partie de la classe des travailleur·euse·s et des précaires (qui est évidemment la plus durement toucher par les mesures autoritaires ainsi que par ces nouvelles taxes). D’ailleurs, j’entends assez souvent une grande indignation à l’encontre du gouvernement et du fait que ce dernier est à la solde des plus nanti·e·s (au détriment des travailleur·euse·s). Alors, même si la colère est bien présente, il est encore difficile de savoir où va le mouvement (faute d’homogénéité, de politisation et d’organisation mais cela pourrait très vite changer).

D’ailleurs, lors des blocages, on constate déjà des cassures et des évolutions dans le mouvement. Tout d’abord, il y a régulièrement des désaccords sur les méthodes à employer dans la lutte : certain·e·s veulent respecter les règles et d’autres préfèrent une rupture nette, quitte à employer des méthodes plus dures, voir illégales. Personnellement, j’ai la certitude que si le mouvement décide de rester dans les clous, il est condamné à sa perte (car les huissier·e·s et les flics viennent empêcher, de plus en plus souvent, les blocages dans la journée comme dans la nuit).

Toujours dans la même idée, il y a énormément de discussion autour du rôle de la police. Certain·e·s ont encore beaucoup de sympathie pour ces dernièr·e·s (j’entends assez souvent l’argument qui dit « oui, mais c’est des travailleur·euse·s comme nous et eux/elles aussi subissent l’austérité »). D’autres, par contre, s’ils/elles ne sont pas forcément en rupture totale avec les forces de l’ordre, sont choqué·e·s et en colère de voir la police matraquer (ou arrêter arbitrairement) d’autres gilets-jaunes et continuer à lever leur blocage. Manifestement, beaucoup ne comprennent pas encore exactement que la police rempli justement son rôle et que son rôle est antagoniste aux intérêts de notre classe et que par conséquent, ils/elles sont les ennemis naturel·e·s de tout mouvement social (mais les flics, à coup de matraque et d’auto-pompe, clarifient doucement la chose).

En bref, si on devait définir les gilets-jaunes, on pourrait dire qu’il s’agit d’un mouvement social spontané extrêmement hétérogène dont la ligne politique (et idéologique) ainsi que les revendications sont assez floues. Cependant, j’aimerais bien ne pas arrêter mon compte-rendu à cela et justement plaider pour cette cause.

Tout d’abord, même si pas mal d’éléments réactionnaires sont présents dans le mouvement, ce dernier est à l’image de notre société. C’est certain que dans le contexte présent, il y a du sexisme, du racisme et de l’homophobie dans la classe des travailleur·euse·s et des précaires mais c’est justement d’autant plus important de participer à ce mouvement afin d’y amener des éléments de féminismes, d’anti-racisme, d’anti-fascisme, d’anti-capitalisme, etc.

Ensuite, même si j’ai vu, essentiellement sur les réseaux sociaux, des choses moches (comme ce groupe de gilets-jaune, qui en France, a arrêter un camion qui transportait des migrants pour les livrer à la police), on ne peut pas l’imputer au mouvement en tant que tel (car il n’est ni homogène, ni organisé, ni centralisé). Au-delà de ça, j’ai aussi assister à de très beaux actes de solidarité lors des blocages : des gens qui se relayent pour nous amener de la nourriture et des boissons chaudes ainsi que des palettes et des pneus pour tenir nos barricades, des habitant·e·s du quartier nous apporter du thé ou de la soupe et des mots de soutien, des jeunes du coin, parfois eux aussi racisé·e·s (et justement en colère contre une police qui les stigmatise) venir se mêler au mouvement.

Bref, il s’agit d’un mouvement de colère légitime qu’on doit absolument, je pense, soutenir. Qu’il soit désorganisé, qu’il y ait des éléments réactionnaires ou autre devrait justement nous motiver d’autant plus à le rejoindre afin d’amener à certaines discussions importantes autour des valeurs et des pratiques du mouvement (et cela justement afin de parer certains éléments réactionnaires). Si on continue de le snober comme on le fait, on laisse un boulevard à la droite et à l’extrême droite pour le récupérer (pour l’exemple, Nation a dans un premier temps mépriser le mouvement pour finalement décider d’y apporter son soutien ainsi que ses idées puantes et réactionnaires). De plus, le danger de ce rapprochement des fascistes est d’autant plus important dans une situation de désorganisation et de flou idéologique (car actuellement, lors des blocages, il s’agit encore souvent du règne de la grande-gueule et des chef·fe·s autoproclamé·e·s).

Par contre, il est sur que si ce mouvement veut survivre, il devra s’organiser et se structurer démocratiquement (comme en France où dans plusieurs endroits des assemblées générales ont eu lieu et des groupes ont commencer à se structurer). Il est aussi certain que si on veut voir ce mouvement aller dans le bon sens, il devra éliminer ses éléments les plus réactionnaires en clarifiant sa ligne idéologique et politique (et ça, on peut y aider en entrant dans la lutte et en amenant une solidarité effective entre la gauche et le mouvement).

En réalité, ce mouvement est extrêmement important et il s’agit de voir la force et l’intensité qu’il a pris en quelques jours pour s’en rendre compte. Il s’agit actuellement d’un débordement de colère à l’état brut (avec très peu de politisation derrière) mais il s’agit d’une colère motivée par des choses juste ! C’est pour ça qu’il est important que la gauche révolutionnaire (et syndicale) participe au mouvement afin de soutenir les efforts légitimes d’une classe en lutte qui en a marre de se faire fouler du pied par des dirigeants fantoches au service du grand patronat.

De plus, énormément de personnes durant les blocages (surtout parmi les plus âgé·e·s qui ont connu·e·s énormément de défaites du mouvement syndical) ont manifesté de la déception et de la colère à l’encontre des syndicats par qui elles estiment avoir été trahies et abandonnées ces-derniers (je pense notamment à un ex-métallo avec qui j’ai discuté et qui garde une grande amertume quant à ce qu’il a vécu comme une défaite et une trahison à Arcelor Mittal).

Bref, prouvons leur par l’exemple que les syndicalistes combatif·ve·s se soucient de leurs luttes et sont prêt·e·s à se battre au sein de ce mouvement ! Désormais, si on ne veut pas voir ce mouvement de grogne spontané mourir dans l’oeuf et générer pour une énième fois de la rancoeur et du pessimisme, nous, syndicalistes combatif·ve·s et militant·e·s de la gauche révolutionnaire, devons absolument bâtir une solidarité effective dans cette lutte sans plus attendre de mot d’ordre de nos directions.

On vous attend.


https://albruxelles.wordpress.com/2018/ ... -et-noirs/
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Re: Belgique

Messagede Pïérô » 08 Déc 2018, 21:31

En Belgique, une manifestation des gilets jaunes réunit un millier de personnes

La police belge a procédé à 400 arrestations

GILETS JAUNES - La France n'est pas la seule à être sous tensions ce samedi 8 décembre. En Belgique, où le mouvement des gilets jaunes s'est exporté, une manifestation de ce samedi a réuni environ un millier de manifestants à Bruxelles.

... https://www.huffingtonpost.fr/2018/12/0 ... _23612592/
Image------------ Demain Le Grand Soir --------- --------- C’est dans la rue qu'çà s'passe --------
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Re: Belgique

Messagede bipbip » 03 Jan 2019, 01:26

Extension de l’usage policier de la vidéosurveillance

La police va pouvoir recourir à des caméras temporaires dans certains lieux fermés accessibles au public, explique un nouvel arrêté royal datant du 6 décembre et publié au Moniteur le 18. Il s’agit des lieux où sont organisés des événements de nature culturelle, sociale, festive, folklorique, commerciale ou sportive, qui sont considérés comme des grands rassemblements. Seuls les rassemblements représentant un risque particulier pour la sécurité publique seront visés par cette surveillance spécifique.

Ces caméras temporaires s’ajouteront ainsi, le temps d’un événement, aux 300 000 caméras permanentes déjà installées dans les rues, les bâtiments publics et privés ou les galeries commerciales. Elles s’ajouteront également aux bodycams déjà utilisées par les policiers en intervention. Le bourgmestre, en accord avec le gestionnaire du lieu de rassemblement, et le chef de corps sera ainsi habilité à demander le déploiement d’une telle surveillance policière lors d’un rassemblement “à risque”. Chaque événement sera en tout cas examiné au cas par cas.

Outre ces manifestations, l’arrêté royal annonce également que des caméras temporaires pourront désormais être installées dans les palais de justice, dans les cours et tribunaux, pour des procès sensibles.

Le .pdf de l’arrêté royal : https://www.besafe.be/sites/default/fil ... 018-mb.pdf

https://secoursrouge.org/Belgique-Exten ... rveillance
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Re: Belgique

Messagede bipbip » 15 Jan 2019, 20:44

16.000 personnes exclues du chômage dès jeudi: "Des drames sociaux seront inévitables"

Selon le CPAS de Wallonie et Bruxelles, "nous ne pourrons pas éviter des drames sociaux" après jeudi. Le 1er janvier 2015, trois ans se seront écoulés depuis l'entrée en vigueur d'une mesure décidée par le gouvernement Di Rupo qui prévoit de limiter à ce nombre d'années le droit au chômage des personnes qui n'ont pas trouvé d'emploi à l'issue de leurs études.

La limitation à trois ans des allocations d'insertion va surcharger des CPAS déjà structurellement sous-financés, rappellent mercredi Claude Emonts et Michel Colson, présidents respectivement de la Fédération des CPAS de Wallonie et de la Section CPAS bruxelloise. Parmi les chômeurs exclus, tous n'auront pas droit au revenu d'intégration sociale, soulignent également les deux représentants, qui craignent des "bombes sociales".

... https://www.rtl.be/info/belgique/societ ... rRJ9GP0F8Y
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Re: Belgique

Messagede Lila » 03 Mar 2019, 21:42

La grève des femmes du 8 mars prend de l’ampleur : voici les revendications de la gent féminine
Elle sera couverte par la CSC et certaines centrales de la FGTB. Explications.
La première grève féministe en Belgique se tiendra le 8 mars, à l’occasion de la journée internationale des droits des femmes. Inspirées par des expériences similaires menées en Espagne ou en Pologne, des associations de femmes belges organisent cette action baptisée “Toutes en grève le 8 mars”. Une manière forte de montrer que, “si les femmes s’arrêtent, le monde s’arrête” et de mettre en avant leurs revendications.
à lire : https://www.dhnet.be/actu/belgique/la-g ... rjzxYc8UQk

Participer à la grève du 8 mars, pourquoi et comment ?
« Quand les femmes s’arrêtent, le monde s’arrête ! » Le défi lancé par le collecti.e.f 8 maars fait de plus en plus de bruit dans les médias et pour cause : une grève des femmes en Belgique, c’est du jamais vu ! Mais est-ce que toutes les femmes peuvent participer ? Même celles qui ne pourront pas quitter leur activité ? Spoiler alert : la réponse est oui !
à lire : https://www.axellemag.be/greve-8-mars-p ... fvO7sL2bA8

Grève des femmes, grève féministe le 8 mars 2019 en Belgique
Partout dans le monde, les femmes se lèvent, dénoncent, réagissent au sexisme, à toutes les formes de violence et aux discriminations qu’elles subissent. Cette année, nous aussi, les femmes en Belgique, passons à l’action.
à lire : https://entreleslignesentrelesmots.blog ... -belgique/
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