Stress, précipitation, rentabilité contre sécurisation, matériaux bon marchés, ....
Les accidents du travail ne sont pas des accidents mais découlent de la nécessité du capital pour être concurrentiel à sacrifier -à travers des conditions de sur-exploitation insupportables- des vies ouvrières (et au-delà dans les conséquences environnementales) pour accroître leur plus-value.
Le capitalisme exploite, licencie, divise, aliène .... le capitalisme tue.
Pyrénées-Orientales : Deux ouvriers tués en intervenant sur une ligne haute tension
Nièvre: deux ouvriers tués lors d'une opération de maintenance
Cancer du bitume: la "faute inexcusable" d'Eurovia confirmée en appel à Lyon
Le Capitalisme n'est pas une fatalité.
(il ne s'agit pas ici de dire qu'il y a de mauvais patrons salauds mais en quoi la nécessité de profit du capitalisme au détriment de la sécurité -qui est un coût du travail- sacrifie des vies ouvrières).