Les députés homosexuels devraient être assis à l'extérieur du parlement
Lech Walesa, ancien président polonais et prix Nobel de la Paix
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http://www.huffingtonpost.fr/2013/03/02 ... ref=france
Les députés homosexuels devraient être assis à l'extérieur du parlement
l’idée d’illégitimité s’appuie sur trois arguments dont chacun suffirait à justifier l’usage de ce terme dans son acception courante : « Qui n’est pas conforme au bon droit, à l’équité, sur le plan moral, intellectuel ou matériel. »
Le premier argument est celui de l’injustice des décisions qui ont creusé la dette : fiscalité de classe, niches pour riches, hausse des inégalités… Le deuxième renvoie à des choix non conformes à l’intérêt général : confier les dettes publiques aux marchés, c’est-à-dire aux spéculateurs. Le troisième met en avant des décisions prises à la fois « sur le dos » et « dans le dos » des peuples : sur leur dos, en faisant payer la crise à ceux qui ne sont pour rien dans son déclenchement ; dans leur dos, en raison du déficit de démocratie et de la mainmise de l’oligarchie néolibérale sur l’information.
Malgré tous les espoirs qu'elle avait soulevé en 2004, la « révolution orange » finit donc soit en prison, soit dans les musées.
La guerre au Mali vire aux exécutions ciblées
On découvre, au gré des annonces de l'armée tchadienne, que l'opération Serval vise au nettoyage punitif aux frontières de l'Algérie, avec son lot de têtes mises à prix. Un jeu de massacre est en cours, qui porte la marque d'une opacité propre à l'Algérie et dont la France s'avère, paradoxalement, l'héritière...
L'implication tcha dienne tend à montrer aux yeux de l'opinion publique internationale qu'il s'agit aussi d'une affaire africaine, puisqu'au Mali des musulmans combattent d'autres musulmans qui brandissent le drapeau du prophète.
Les politiques sont les majordomes de l'économie. Ils exécutent les désirs des patrons, et sont couverts par les médias, qui appartiennent aux même patrons, et qui les font élire
Les politiciens pensent que nous plaisantons. Mais quand ils comprendront que nous sommes terriblement sérieux, ce sera trop tard
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Grillo est d'ores et déjà victime de la rhétorique qu'il prétend combattre. Et l'on est alors en droit de se demander si dans ce mouvement populiste apparemment progressiste il n'y a pas déjà les germes d'un populisme de type paternaliste et fascisant à qui Grillo pourrait involontairement préparer le terrain. En tout cas il est difficile de nier que ce risque existe.
“Les mouvements populistes ont besoin de trois facteurs pour se développer : un vide politique, une crise économique et une crise morale. Aujourd’hui, ces trois éléments sont réunis. Beppe Grillo a réussi à incarner le mécontentement“.
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C’est l’échec de la sociale-démocratie, gangrénée par le libéralisme ! Rien ne sert désormais de verser des larmes de crocodile.
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Beppe Grillo parle aux ventres, il joue sur l’émotion. Et le peuple vote en fonction de ça.
Nous vivons un moment de révolte pacifique qui s’inscrit encore dans le système politique, tel que nous le connaissons aujourd’hui. Mais il est entré dans sa phase décadente. Si le monde politique persiste à ne pas répondre au pays, des choses imprévisibles auront lieu. Je pense (ou du moins j’espère) qu’elles auront lieu dans l’espace de la démocratie et sans la mettre en cause. Mais, après deux ans d’austérité et de misère, tout peut changer. Dans la contestation sociale, le changement est déjà très important. Elle n’est plus seulement sous la tutelle des corporations – elle n’est même plus homogénéisée – des structures syndicales et partisanes. Je ne sais pas si c’est bon ou mauvais. C’est ainsi.
Si l’opposition ne parvient pas à donner corps à une alternative crédible et si le principal parti de la droite portugaise entre en désagrégation, les premiers qui en profiteront, qu’ils soient sérieux ou populistes, comédiens ou hommes d’état, pourront provoquer un séisme politique. Parce que le séisme social, lui, est en train d’avoir lieu. Sans que, apparemment, les institutions et les partis réagissent.
Pour l’actionnariat, cela n’a aucune importance si les managers empochent quelques dizaine de millions, ce sont des « peanuts » en comparaison avec les milliards que les gros actionnaires encaissent. Ils étaient déjà la cause principale des salaires abusifs, et voilà qu’ils sont encore plus puissants.
Voulez-vous dire que le peuple n’y a vu que du feu et qu’il s’est tiré une balle dans le pied ?
Si cela continue, il faudra bientôt mettre le feu au Code du travail.
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