RIP-OFF ALERT : la Face Cachée a participé à la coproduction de deux disques qui ne sont pour l'instant toujours pas sortis. Le premier est le pressage LP + 7' du mythique groupe français WC3, le second est le pressage LP des bandes originales des films Martyrs et Red Nights. Nous avons envoyé 1750 euros à Seventeen Records pour ces deux sorties en mai 2012. Depuis, nous attendons. Ces disques sont partis au pressage environ 48 fois, les mails échangés pour suivre ces deux LPs ont été pourtant nombreux... Malheureusement, nous soupçonnons fortement son créateur (David Fakrikian) d'avoir utilisé cet argent pour financer d'autres projets n'ayant absolument rien à voir, et surtout de nous avoir menti et mené en bateau à ce sujet. Il en va de même pour les nombreuses personnes ayant souscrites aux deux projets Ulule pour financer ces disques... Nous avons de ce fait récemment demandé à être intégralement remboursé de la somme confiée. Depuis, plus aucune nouvelle. Ce message ne changera probablement rien, il nous nous aidera pas à récupérer notre argent ou à faire en sorte que les disques sortent. Nous avions cependant besoin de partager notre colère et notre désarroi avec vous.
(Médéric et Florian, La Face Cachée)
http://utoplib.blogspot.fr/2015/03/hk-e ... cs-le.html« Sans haine, sans armes et sans violence », extrait du nouvel album
"Rallumeurs d'étoiles" de HK et les Saltimbanks. Sortie prévue : 20 avril 2015.
Disponible en pré-commande (13,99 euros).
Présentation par l'éditeur : « Voici le troisième opus de HK ET LES SALTIMBANKS, Rallumeurs d'étoiles, dont le titre est inspiré d'un vers d’Apollinaire : « Il est grand temps de rallumer les étoiles », une référence à une époque sombre, propices aux obscurantismes de toute forme entre fanatismes et xénophobies. Cet album se conçoit à la fois comme un hommage et une utopie. Une ode à tous les « rallumeurs d'étoiles » anonymes qui, chaque jour, à leur petite échelle, par un geste, un engagement, une parole, une création, entretiennent une lueur. Des chansons pour aujourd'hui et pour demain, comme Rallumeurs d'étoiles, dont le refrain est chanté par les enfants du groupe, Dounia, en duo avec le chanteur malien Aboubacar Kouyaté ou encore Para cuando la vida ? Un véritable tube dans lequel HK se joint au chanteur chilien Leon Pena Casanova pour interroger nos sociétés « déshumanisantes ».
Des chansons d'amour aussi comme Si un jour je tombe et Je te dis non. Amour, musique, voyage... alors, adieu HK le chanteur engagé ? Certainement pas, mais peut-être que cet engagement se fait aujourd'hui plus subtil, plus mûr. Un engagement résolument artistique et créatif : « sans haine, sans armes et sans violence ». Tout ça, tout ce qu'il est, tout ce qu'il combat, tout ce qu'il défend, HK l'explique dans la chanson A nous d'jouer, revenant sur son parcours : 20 ans d'écriture et de musique, du bas des tours HLM de son quartier jusqu'aux plus grands festivals ; 20 ans de combats contre toutes formes de préjugés, d'étiquettes et d'à priori. 20 années qui, espère-t-il, en appelle 20 autres. »
bibip a écrit:HK et les Saltimbanks, dans les bacs le 20 avril
LE GROUPE
Issu de la banlieue du Mans, le groupe Nuclear Device a, entre 1982 et 1989, participé à la naissance et l’essor de ce que les médias appelleront « le rock alternatif ». Aux côtés des Bérurier Noir et Ludwig Von 88, il a parcouru une France en ébullition, enchaînant les concerts survoltés de squats en MJC. Pionnier français d’une fusion rock, latino et reggae, Nuclear Device laisse derrière lui plusieurs albums et de singuliers parcours de vie.
http://rennes-info.org/Sortie-du-nouvel ... Beat-BouetTrois garciers pour un son à la frontière entre la musique bretonne à danser et le hip-hop.
Imaginez... un bal breton, métissé de rap US avec des textes engagés, ça fait rêver non ?
Pour comprendre la démarche du Beat Bouet Trio il faut remonter aux les années 90, dans la campagne de Ploërmel. Dans le bus scolaire, vous vous souvenez que les sièges du fond étaient toujours occupés par les trois mêmes. Ils faisaient du bruit, écoutaient NTM et Eminem et racontaient des histoires incroyables. On parlait de mobylette, de filles, de graff et de hip-hop, en français ou en patois. Ben oui, parce que ces trois là, venaient de la campagne et parlaient un langage à eux, entre gallo, français et « US englich ».
Dans les années 2000, ils ont grandi (mais pas trop quand même) et tout naturellement, les trois sont devenus musiciens. Ils chantent des chansons apprises avec leurs papys, mais sur un fond hip-hop ou raggamufin. Vanao est à l’accordéon, T Burt au human beat box et Faya Gur à la voix, pour mener un bal hip-hopulaire décalé et intergénérationnel.
Dans le car scolaire, on faisait pas les choses à moitié.
Trois garciers pour un son à la frontière entre la musique bretonne à danser et le hip-hop.
Imaginez... un bal breton, métissé de rap US avec des textes engagés, ça fait rêver non ?
Pour comprendre la démarche du Beat Bouet Trio il faut remonter aux les années 90, dans la campagne de Ploërmel. Dans le bus scolaire, vous vous souvenez que les sièges du fond étaient toujours occupés par les trois mêmes. Ils faisaient du bruit, écoutaient NTM et Eminem et racontaient des histoires incroyables. On parlait de mobylette, de filles, de graff et de hip-hop, en français ou en patois. Ben oui, parce que ces trois là, venaient de la campagne et parlaient un langage à eux, entre gallo, français et « US englich ».
Dans les années 2000, ils ont grandi (mais pas trop quand même) et tout naturellement, les trois sont devenus musiciens. Ils chantent des chansons apprises avec leurs papys, mais sur un fond hip-hop ou raggamufin. Vanao est à l’accordéon, T Burt au human beat box et Faya Gur à la voix, pour mener un bal hip-hopulaire décalé et intergénérationnel.
Dans le car scolaire, on faisait pas les choses à moitié.
Contact : beatbouettrio@gmail.com
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