Economie une vision tranchante

Economie une vision tranchante

Messagede Mandrin27 » 06 Mar 2012, 18:34

Très succinctement, comment est collecté et distribué notre argent public, comment s’évalue les prélèvements, comment le gouvernement cible les tranches sociales pour les imposer et où peut aller notre argent public.

Mes propos sont tranchants, comme l'économie actuelle.

Les caisses de l’économie nationale, régionale et locale sont alimentées, comme chacun le sait, par tous les types d’impôts et taxes de toute nature, directs ou indirects qui puissent exister, voir certains presque hors d’une raison cartésienne. Il n’y a aucun euro gagné en France qui ne soit pas sujet à ses impôts ou taxes. C’est l’économie d’un pays.

Comment se calcule un prélèvement auprès du citoyen : Par évaluations statistiques de sa production estimée sur toute sa vie, l’extrapolation de sa vie sociale, compte tenu des familles qui se forment, de leur nombre d’enfants (2,1 par foyer) ses charges générales, son espérance de vie, donnant une estimation économique dans sa vie de travail.

Dans cette évaluation, il est intégré des critères potentiels d’événements tels que, tous les critères d’augmentations potentielles de ses revenus, incidents sociaux, etc, etc, etc, etc … (N'osons pas faire de rapprochements quand il est décidé de supprimer le remboursement de médicaments qui indubitablement pour raccourcir la vie de ceux qui ne peuvent plus payer leurs soins. N'osons pas faire mais, c'est une réalité connue des gouvernants qui le pratiquent mais affirment que c'est l'autre, untel chercheur ou médecin qui le préconise qui a étudié la chose, pas eux ..., les médecins, les chercheurs l'avouent publiquement aussi, ce que le gouvernement décide à ce niveau est catastrophique, quand on est jeune ça va mais, quand vous êtes âgé ... Oui ! C'est exactement vrai) Déficit de la sécurité sociale : Parlons plutôt de détournement des charges sociales.

De toutes ces collections d’informations (statistiques), il est optimisé par de savantes formulations informatiques définissant exactement ce qu’un citoyen peut payer en apportant un résultat de son seuil de vie économique, son quotient familial, d’où il peut être estimé le montant pouvant être prélevé en impôts et taxes par l’État. NON ! Par le gouvernement SEUL.
Adresse : http://www.insee.fr/fr/insee-statistiqu ... efault.asp

Mais la finesse de la politique c’est d’affirmer, quand nous protestons pour trop d’impôts, mais c’est bien nous qui avons élus ce gouvernement en démocratie et c’est bien nous aussi qui voulons disposer de services publics pour nos bons soins.

Il est compréhensible que le gouvernement sait exactement ou frapper pour ponctionner et inventer un impôt ou une taxe, il choisi des tranches sociales et fonde des lois fiscales pour soustraire des revenus.

Ce qui déstabilise le citoyen se sont les écarts entre cette estimation des prélèvements et l’augmentation des coûts de la vie effectués par les industriels.

Quand l’essence augmente de 5 centimes d’euro, pour la majorité d’entre nous, 5 centimes c’est énorme, pour ceux qui sont dans les seuils de vie plus avantagés ce n’est absolument rien.

Alors il se crée un ralentissement dans la consommation. C’est pourquoi, quand il est annoncé des chiffres précis, se sont ces savants calculs qui les donnent. Il est par effet, très facile à comprendre comment nous sommes ciblés économiquement pour nous prélever notre économie. Plus encore, le gouvernement a accès aux comptes lui permettant par exemple de proposer un emprunt d’État, sachant que nous sommes épargnants. Ceci laisse grandement la place à d'autres réflexions.

Il est compréhensible que ces processus engendrent des effets sociaux malfaisants.

MAINTENANT, est-ce que nos impôts et taxes nous rendre les services publics solidaires que nous attendons ? La réponse à cette interrogation, nous ne pouvons que faire des constats servant de repères.
- Pour ce qui est du recouvrement des créances par l’État, le percepteur, ce service, plus un système organique, est admirablement bien rodé et a tout pouvoir absolu pour priver l’homme de vie, son économie. Leurs services fiscaux poursuivent le travail au noir, il possède aussi une caisse noire mais, secret d’État.
- Pour les hôpitaux publics, là encore, nous pouvons juger du personnel abondant à nos services et des qualités apportés à suivre le patient. Sachez que l’IRM, le patient doit attendre à l’hôpital public près de deux mois pour être reçu, quand il s’adresse aux cliniques privées, c’est la semaine qui suit son rendez-vous et le paradoxe, c’est que l’IRM est à l’hôpital public dont le privé se sert et ne paye pas l’investissement sauf dans ses honoraires.

Pour ne pas lister toutes les incohérences ou les cohérences (rares), chacun peut se faire une idée précise entre ses prélèvements et les services publics qui lui sont accordés, devenant payant pour certains. La Santé est extraordinairement prise en charge publique et extraordinairement dépourvu de personnel public sous statut public.

L’enseignement, la santé et autres instances publiques, dans quel état elles sont ? Et pourtant les prélèvements sont de plus en plus nombreux avec des services publics de plus en plus dépourvus et les privés de plus en plus présents. C’est un très mauvais présage social pour nos enfants.

Ceci peut donner une vision générale des raisonnements d’un gouvernement et peut laisser place à l’intervention de la démocratie contemporaine pour détenir les moyens de stopper ces gouvernants, fût-ce qu’ils soient mandatés pour un laps de temps, leur révocation peut être immédiate, la loi peut le prévoir dans sa constitution.

L’exemple est flagrant à notre époque, un gouvernement qui fait payer un peuple des exactions d’un représentant du gouvernant et affirme que c’est de l’ordre du secret d’État, doit pouvoir être sanctionné, dans cette configuration, immédiatement. L’équité dans la loi de notre démocratie article premier des droits de l’homme et du citoyen.

Évaluer un produit financier par habitant, le produit intérieur brut (PIB) est réalisé par des balances entre la production effective, la production nette définissant un rapport de production évalué sur l’ensemble des citoyens. S’il était demandé la proportion réelle de tous les impôts et taxes sur un euro gagné en France, nous pourrions admettre, à l’instar des discours d’économistes gouvernementaux, qu’ils représentent actuellement 70 % (un peu plus demain) soit 70 centimes d’euros est versé directement ou indirectement dans les caisses publiques de l’État, notre caisse, ne l’oublions pas, république et démocratie. ATTENTION : Pas directement, mais par vase communiquant. La taxe est une finalité empirique qui agit sur l'économique comme étant une calculette qui additionne uniquement mais sur notre salaire, elle opère que des soustractions.

Nous admettons que le gouvernement soit le garant de notre caisse publique, par notre vote démocratique à l'élection présidentielle sous réserve pour ce président élu par le « peuple » puisse obtenir une majorité absolue à l’assemblée nationale, la députation. Cette élection lui autorise son accès à la caisse publique sans qu’il ne soit obligé à rendre de compte, uniquement au bilan dressé par la cour de comptes (Bercy). A ce titre, Monsieur TRICHET ancien gouverneur de la banque de France à demandé une " modification " (à titre personnel, je le considère comme une falsification) de présentation de ces comptes d'État à une époque où s’il était apparu la réalité du déficit, la France aurait été en révolution. Aujourd’hui, c’est bien pire et certains parlent du risque de se retrouver au même titre que la Grèce. Ce n’est pas improbable.

Il faut le savoir. Si cette modification n'avait pas été réalisée, nous ne serions pas en crise.

Répartition de notre argent :

Actuellement, quel que soit l’étendue des pouvoirs, nous payons l’impôt au gouvernement, pas à l’État, contrairement aux idées propagées et incrustées dans les raisons de croire fondamentalement que nous sommes en valeur d’une République et en la démocratie par une expression de vote dite populaire dont on nous rappelle que de voter est un devoir citoyen. Le respect du citoyen est aussi un devoir pour le gouvernement.

Les régions réclament au gouvernement des budgets pour leurs projets régionaux et les administrent, c’est la décentralisation. Les régions sont composées de conseils généraux qui eux aussi font valoir leur droit aux services publics locaux de proximité de plus en plus demandeurs (L’un des services, pour moi, les plus importants localement voir nationale, car de proximité et en direct avec les gens et pour tous sans exception. Le gouvernement a décidé de supprimer cette proximité et radier les conseils généraux, en 2014, ils ne devraient plus exister, sauf retournement politique. Cet effet permettra à chacun d'aller non plus au conseil général local mais aller au bureau d'accueil de la région, à 50 ou 70 km de chez soi et entendre : Revenez demain, nous ne pouvons pas vous recevoir).

Les communes, elles aussi sont tributaires de ces structures pour les grands travaux et ont formulé (la politique pas les contribuables) le souhait de se mutualiser, les communautés de communes.

Dans toutes ses structures publiques, aux regards de nos impôts et taxes de toutes les natures nationales et locales nous pouvons comprendre entre le montant réclamé que l’on paye et le détail des taxes, où va notre argent et ce qu’ils en font dans notre environnement public (Les immeubles publics princiers parfois nous interrogent au regard des surfaces de notre habitation et de leur apparats d’accessoires, sont encore plus étonnants).

Les réseaux d’influences économiques

Les personnes qui sont élus par le peuple ou nommés par le gouvernement, ont des divergences dans leurs opinions politiques et favoriseront plus leur image d’appartenance. Ceci fait la richesse ou non des localités, parfois les localités sont pauvres et d’autres riches. Parfois nous sommes taxés très fort parfois non.
Tout ceci agit et représente des réseaux d’influences qui se nourrissent en parallèle de ces services publics, les privés qui ont actuellement l’influence d’imposer leur dictat économique au gouvernement et localement, c’est ce que nous subissons, c’est la fomentation entre intérêts privés et publics, l'un dit (gouvernement, taper pas trop fort, l'autre, le privé, tient prend çà pour ta retraite, il faut que tu y penses).

C’est l’économique privée qui est dans les instances publiques, en sous-main qui favorise et amorce des CRISES et climats DÉLÉTÈRES, dont les gouvernements successifs n’ont jamais enraillé ce phénomène car ils profitent de ce système, ce profit c’est, UN, un appétit de privilèges financiers, DEUX, c’est le pouvoir public pour en bénéficier. Veolia très implanté dans les services publics et coûtant extrêmement cher au contribuable, EDF et ses sous marques comme DolceVita et sous-marque, la grande distribution alimentaire …

Je suis sérieusement opposé à la disparition des conseils généraux, et inconditionnellement contre la décentralisation (son esprit actuel pas la méthode) car elle permet aux gouvernants de porter des coups graves aux localités en ne m’étant pas à disposition les budgets nécessaires dont elles sont demanderesses. Le citoyen qui vit au lieu de ces localités dont les budgets n’arrivent jamais ou trop tard, accuse parfois à tort, les élus locaux, d’inefficacité.

Je n'expose pas les dépôts de nos impôts à la corbeille merveilleuse de l'Europe, qu'une grande partie alimentent (aller voir le faste de ces structures et le nombre gens dans les couloirs et poser leur des questions sur leur fonction et où se trouve leur bureau, comme moi, vous serez étonné), ni n'exposerai sur le territoire d'outre mer, là encore, il y aurait des pages économiques à écrire.

Il faut une loi interdisant expressément tout intérêt privé dans les services publics et sans condition de dérogation. L’entreprise est une affaire privée (1905 est une référence et n’est pas respectée). Le maintien des conseils généraux et leur pouvoir plus étendu dans leur implication régionale pour les présidents de ces conseils.

Pour un équilibre budgétaire,la création dans les services publics de proximité une plate-forme d’observations économiques en sessions constituées d'habitants locaux et des représentants élus pour tous projets, tel que entr'autre, les travaux routiers au-delà, actuellement, de tout entendement dans leur coût de travaux (Euro ...). Pourquoi ? L'habitant est celui qui est confronté tous les jours à la difficulté économique. Dites lui qu'un rond-point vaut 1 million d'euros et il aura tous les arguments, même sans en connaître la construction économique, pour dire qu'entre le prix des études de son enfant, les coûts généraux de sa vie et son salaire, il est incompréhensible qu'une surface de 200 m2 aménagées de bitume puisse coûter aussi chère. Le politique devrait normalement s'interroger sur cette réalité affirmée et revoir ses collaborateurs qui ont osé présenter ce type de projet à ce prix à la session. Ceci permettrait d'écarter beaucoup de petits profiteurs qui forment, mis bout à bout, des sommes considérables aux frais du contribuable.

N’oublions pas, tous ces surcoûts publics induits par le privé sont des impôts supplémentaires dont les montants sont parfois pharaoniques et ne vont pas exclusivement et directement dans les caisses publiques.

Affirmer et penser que ces propositions de lois sont comme des ordres impétueux, c’est défendre l’idée que le profit pour les représentants publics avec ces privés est effectif et non caricatural.

Ne pas faire cette proposition de loi c’est accepter cette possibilité ou cette compromission qui est révélée souvent par toutes les presses.

Je confirme, un rond point de 3,00 mètres de centre à 500 000 euros est de l’extorsion financière publique.

C’est aussi un regard sur la compétence réelle d’un homme politique qui se titre de, politique de métier et ou de carrière, mais certainement pas en qualités pour apprécier les coûts de la vie économique.
C’est la notion explicative entre savoir approcher un problème qui induit des phénomènes sociaux d’avenir (l’emprunt public) et d’en mesurer les conséquences. L’homme de carrière politique n’a qu’un point de vue, celui de son amis qui lui affirme que c’est bien le coût réel de ce rond point que son amis va réaliser en travaux (Entreprise de voirie commençant par Euro... par exemple, ou Vin..).

Et le contribuable vient de prendre un emprunt pour dix ans grâce à cette politique au lieu de le contracter sur trois ans voir, rien contracter du tout car bon nombre de ronds points sont comme je le dis, à l’exubérance et autorité seules de certains.

Les conséquences induites pour le contribuable, c’est son coût de la vie, cet emprunt grève son budget familial pour, par exemple, lui donner la possibilité d’aider son enfant à payer son loyer d’appartement qu’il est obligé de posséder pour faire ses études, à défaut, l’enfant doit prendre des petits boulots pour payer ces études comme il est dit souvent. Pire encore dans ce phénomène, l’employeur de cet étudiant le sait et profite largement pour le sous payer et il se place comme sauveur par l’emploi saisonnier qu’il propose et offre à cet étudiant mais aussi, oubli de dire, qu'il prive un père ou une mère de famille d'un emploi par ce type de raisonnement qu'il ose avoir. Nous pourrions aller bien plus loin dans la réflexion de ces conséquences du rond point et aboutir à des emplois qui sont soustraits à cause de cela. Et nous savons, qu’un homme privé d’emploi est bien moins consommateur et coûte un certain montant aux caisses publiques alors que s’il travaillait il participerait à la solidarité nationale, la Fraternité sociale, l'étudiant irait réviser et l'homme travaillerait.

Ces phénomènes ne doivent plus exister dans la politique.
Je préfère et de loin, mettre 500 000 euros dans un parc public pour enfants ou adolescents que laisser 250 000 euros à une caisse dont je ne serai qualifier si elle est d’État ou de Parti.

Se sont des réalités économiques quotidiennes et pas uniquement sur les ronds points.

Rappelons-nous de l’émission combien çà, coûte ! CCC, et le chiffre extraordinaire d’euros que le contribuable paye encore aujourd’hui des erreurs, erreurs… partisanes ... des politiques.

Je ne suis ni meilleur, ni moins bon en économie nationale, régionale ou locale qu’un homme politique, l'avantage d'une réflexion humaine, elle aborde différemment les contextes et elle est capable d'en connaître l'exact résultat, très pragmatique et clairvoyant dans les conséquences que cela induit pour nous et la privation engendrée pour chaque famille, l'analogie intellectuelle immédiate est une réponse à mes sensibilités pour la vie humaine.

Comme tout le monde, je sais qu’une baguette de pain coûte entre 55 centimes et 1,10 euro et comment le blé qui constitue cette baguette suit les cours de différents intermédiaires qui font que le prix de cette baguette peut aussi valoir 10 centimes comme 2,00 euros.

Défendre l’intérêt économique d’une famille, d’une femme, d’un homme ou des jeunes gens, est l’assurance de l'équilibre social pour tous.

Utopique ! Notre vie ne l’est pas et notre budget familial non plus. La réalité dans l’économie sociale est ce que nous pouvons faire avec l’économie que nous disposons en fin de mois et nous n'irons jamais placer cet argent en Suisse et le peu qu’il nous reste, nous faisons comme tout le monde, nous profitons pour acheter autre chose que du Winn. ou E. ou encore Discount Car...., pour nos enfants, nous consommons différemment et bien mieux biologiquement parlant.

Est-ce Utopique de défendre notre argent public avec des mesures claires nettes et précises à la morale que les hommes devraient avoir par solidarité et fraternité ?

Si les valeurs de la République étaient déjà respectées par nos gouvernants, le peuple serait à son image. C'est la raison de la nécessité de créer des lois, elle accentue à faire respecter les rapports humains et donner la limite à ne pas dépasser, la politique de métier, franchit continuellement cette limite.

Si la loi est fondée pour se faire respecter, c'est le fascisme et si c'est le cas, il faut se poser les bonnes questions des capacités d'un gouvernement et de ce qu'il a fait mais surtout, qu'il ne revienne jamais au pouvoir comme il l'a préparé ou le prépare aujourd'hui.

La politique actuelle voudrait-elle qu'il soit au pouvoir demain, alors ! Hommes politiques n'agissez pas comme vous le faites, pensez aux familles, aux hommes et à leur vie quotidienne !

Ceci n'est qu'un partiel et superficiel de mes points de vue et sans rage puissante pourtant les sujets ne manque pas.
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Re: Economie une vision tranchante

Messagede digger » 06 Mar 2012, 20:20

Salut Mandrin27

Je pense que tu devrais lire quelques sujets sur le FAR qui décrivent et développent quelques idées maitresses, même si elle sont diverses et souvent sujettes à débat.
Ce que tu décris est souvent juste. C’est pourquoi beaucoup d’entre nous ici pensons qu’il faut une transformation radicale de la société, mais si nous ne sommes pas touTEs d’accord sur la façon d’opérer.

Si les valeurs de la République étaient déjà respectées par nos gouvernants, le peuple serait à son image. C'est la raison de la nécessité de créer des lois, elle accentue à faire respecter les rapports humains et donner la limite à ne pas dépasser, la politique de métier, franchit continuellement cette limite.


Pour moi, la République n’a pas de valeur. Il existe deux classes : les dominantEs et les dominéEs. L’objectif est que les dominéEs empêchent les dominantEs de nuire. En instituant une société libertaire, ‘d(autres l"appelleront autre ment, comme communiste) sans classe, et donc sans hommes ou femmes "politiques", où les moyens de décision et de production appartiennent à toutEs celles et ceux qui produisent. Et ce qu’ils/elles produisent leur appartient naturellement.

Pour construire un hopital ou une école, nul besoin d’impôt , mais il faut des parpaings, du ciment, etc... Le ministre ou le conseiller général n’apporte rien.
Et pour faire fonctionner cet hôpital ou cette école, ils ne sont pas plus nécessaires.

Comme apparemment l’utopie" n’a pas l’air de te faire peur, tu pourras aussi trouver sur ce forum des pistes de lecture qui développent ces théories de société égalitaire, où le pouvoir appartient réellement au peuple.
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Re: Economie une vision tranchante

Messagede Mandrin27 » 07 Mar 2012, 16:23

Bonjour,
Nous avons des convergences indéniables de la pensée sur la liberté de l'homme ou des humains. En ce qui concerne le conseil général je l'intègre actuellement dans nos contextes politiques pour l'aide à ceux qui sont très loin de pouvoir disposer de moyens de toutes natures pour vivre dans leur environnement (économiques, intellectuels, transports, assistances cohérentes pour leur redonner un statut social dont certains sont en marge depuis qu'ils sont laissés à leur misérable survie ...). C'est une proximité pour moi, toujours dans notre société civile actuelle. J'entends, un état structurel dont nous sommes obligé, avant le changement et pendant, d'intégrer dans les composantes politique (politique au sens d'actions communes pas un caractère de pouvoirs mais sociétal populaire) et structure pour construire la liberté, légalité et la fraternité.

Dans la projection du changement, il ne s'agit pas de détruire les structures qui permettent la continuité sociale des plus démunis mais de les utiliser aux mieux de notre avenir de liberté. Proximité pourquoi ? C'est le seul conseil que chaque personne locale peut solliciter directement sans passer par une hiérarchie structurelle de pouvoirs politiques d'Etat même si sa constitution est d'étiquettes politiques. En revanche et il est vrai, ses budgets sont tributaires du pouvoir proprement dit et c'est cette tête qu'il faut couper et mettre en place la liberté populaire dans la forme la plus adaptée à la charge commune de vie entre tous et dans l'équité sociale.
Par effet laisser cette proximité de conseil en place est un bien, uniquement dans cette orientation d'aides provisoires, pour éviter de tomber demain dans des structures encore plus pernicieuses pour ces personnes car ces conseils sont prévus d'être rattachés aux régions.

Bien évident que ce conseil ne devrait pas exister mais les circonstances pragmatiques l'obligent, demain il faut qu'il disparaisse (bien évidemment les appartenances politiques ne seront plus celles qui le préside et y siégera).
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Re: Economie une vision tranchante

Messagede Mandrin27 » 07 Mar 2012, 17:48

J'ajoute,
Oui dans les formes de tes réflexions des constructions d'immeubles, les hôpitaux, les écoles et autres, tout à fait d'accord, outre ces circonstances d'évidence de raisons, il reste un phénomène de coordination qui sera aussi vu dans les réflexions comme, pas indispensable. Il est juste comme l'inverse, de penser que l'un ou l'autre soit et ne soit pas indispensable. Dans toute circonstance être tributaire de l'un pour que l'autre puisse faire est une réflexion qui se mord la queue. Il y a néanmoins une résolution cohérente à l'auto-gestion comme à l'ordre qui engendre des processus de faire ou pas, tout le monde ne peut pas à la fois être maçon charpentier, couvreur et pianiste. Les réponses à ces sujets paraissent utopiques et pourtant elles convergent vers la même réponse probable : L'entendement de faire ce que chacun désire selon la nécessité collective qui n'est pas obligatoirement figé pour la vie de chacun. En clair, un panel de nécessité collective et une organisation sociétale devant répondre à ces possibilités. Aimer travailler, quelque soit le métier, il s’intègre dans le respect intellectuel de chacun et doit pourvoir à leur vie sociale. Dans cette réflexion, il y a des notions de désirs particuliers que l'imaginaire traduit par la possession de vouloir ce matériel ou ce type de matériel. Dans ces espaces, il y a un état d'esprit qui est une culture que les grandes personnes doivent avant tout transmettre en plus de l'enseignement scolaire qui l'enseignera, la vie humaine qu'est-ce que signifie la vie et ses valeurs, sont les fondamentaux de la vie enrichissante collective qui permettra à l'un d'être un jour maçon et un autre pianiste et le pianiste un jour gestionnaire ou skipper. Oui mais ! Il existera toujours le Oui mais ! Si l'homme est cultivé dans l'intérêt de la vie collective le, oui mais ! est une parenthèse négligeable dans l'espace de la vie, à raisons de ne pas orienter les désires à la possession de propriété. Je suis actuellement comptable et je resterai toute ma vie comptable dans le même environnement avec les mêmes personnes pendant 20, 30 ou 40 ans. Qu'elle est ma culture hors de cet environnement (ce que les médias me font bouffer) ? Qu'elles seront mes discussions au travail. Ceci tant à démontrer la limite évidente de notre culture et notre état d'esprit. Une des réalités d'un avenir humain devra indubitablement être sur la culture de plusieurs métiers et d'échanges qui créeront cette culture humaine. Utopique ? Pourtant, je suis charpentier de métier et j'utilise aujourd'hui des logiciel de dessin, de comptabilité, de concept, je développe des projets de toute nature, je suis capable de construire une habitation de l'architecture, aux études que de la mise en oeuvre de mes mains, je n'en ai pas réalisée qu'une pour les autres et je n'en suis pas possédant, est-ce un paradoxe ? Non, c'est un état d'esprit de vie et je conçois que d'autres personnes veulent une habitation individuelle. En revanche, j'ai été travailler à l'étranger pour un projet, constitué les charges techniques et les consortiums financiers par participation de cet Etat, je m'y suis installé quelque temps et j'en suis revenu pour faire autre chose. Mon expérience, un enrichissement hors du commun. Mes finances, je vis en famille avec nos deux derniers 1 et 2 ans, j'ai 51 ans et ma vie est loin d'être stoppée. Nous ne sommes pas fortunés d'argent mais de dimensions humaines et nous n'avons pas encore fait tout ce que nous désirons mais grâce à cette vision de vie, nous le ferons sans que ce soit une obsession de réaliser ce que nous désirons encore. Voilà ce que donne une vie, pas originale, mais sachant vivre dans une raison ou demain la vie de nos enfants aura le regard de ce que nous avons fait et certainement leur apportera un état d'esprit humain et non possessif car la possession à l'avantage, de rendre esclave l'homme et lui restreint ses raisonnements plus encore, ses réflexions et encore plus, il construit la peine qu'il subit à désirer être propriétaire, en haine envers le monde et trouve normal que les autres meurent de leur difficulté sociale qu'il ne veut surtout pas aider. C'est son erreur, il peut posséder sans haine, c'est un état culturel qui forgera son esprit.
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