Chers Vous, Anar ou non
Prenez les expressions, les termes et autres implicites réflexions de mon monologue comme étant le primaire d’une raison personnelle et louable non dirigée, aux termes d’une réaction aux lectures générales de notre monde se disant défendant un idéal humain par effet de structures potentielles pouvant le représenter ou agir pour lui. Oui c’est une anarchie plus concrète de la pensée de la révolution à défaut, il ne faut pas employer des mots historiques qui ont fait nos natures intellectuelles face à notre contemporain, anarchie et révolution est-ce bien pesé dans les pensées et doivent-ils être pris comme référence abstraite, dans cette configuration, c’est la raison que personne ne s’y rattache, elle est imaginaire et sert les causeur pour leur cause à des fins autres que ce qu’ils présentent ou veulent représenter ?
Le tri de qui ou quoi doit faire parti ou pas d’un présent ou d’horizons d’idées, est une forme d’impuissance à pouvoir répondre à quiconque qui serait en marge de ce présent ou ces horizons.
Même que nous soyons à défendre ou écrire pour une cause, n’est-il pas plus cohérent, avant de dire blablablabla, de démontrer qui sont ces hommes et femmes derrière un titre que se veut rassembleur et fédérateur pour l’avenir de pensées humaines par l’anarchie et ou la révolution pour l’idéal vision d’un futur. Doit-on suivre une ligne de pensée pour être sympathisant de la liberté, de l’égalité et de la fraternité au sens de l’anarchie comme chacun veut l’entendre. Les cibles tels que nous définissons une cible politique qu’est-ce que cela apporte à l’anarchie ou la révolution potentielles par du blablabla ?… Rien et absolument rien. L’anarchie est cette cause inconsciente dans la conscience des hommes qui dans notre temps moderne n’a de cure de la parole ou l’écrit de l’autre vieux mort qui ne vaut pas un chien vivant actuellement même si ce qu’il évoquait avait un sens qui n’est en rien comparable avec notre contemporain. La VIE n’est pas celle de notre mémoire des écrits ou des paroles d’antan, elle est morte et rien ne pourra y changer quoi que ce soit. Avons-nous aussi peu de cohérence intellectuelle pour se référer au passé qui ne fera jamais notre avenir puisque nous combattons notre présent pour un autre avenir pour nous tous sans exception. FOUTAISE de croire que MARKS disait vrai, il est MORT. Cesser ces pensées nostalgiques d’anarchies ou de révolutions qui sont quoi aujourd’hui, RIEN et voilà nos états sociaux, le combat de luttes finales qui resteront finales jusqu’à notre mort. Notre état social est la résultante de toutes ces pensées historiques qui ne font qu’entretenir cet état. NON !!!! La révolution n’est pas une cause nostalgique sur des concepts dépassés à notre contemporain. NON !!! La révolution anarchique est cette forme de société en marge de pouvoir qui n’en veut pas mais, exprime et fait voir ce qu’est la valeur de la vie humaine et son épanouissement et comment, en brides ou par thèse, elle doit s’appliquer à tous, dans nos contextes et en cohérence de notre avenir commun mais différent pour chacun. MARKS avait raison mais en son temps pas dans nos évolutions contextuelles ou le changement ne passera plus par des dialogues divergents et d’intérêts qui déjà mettent en marge des familles entières aux DROITS, OUI AUX DROITS de la VIE SOCIALE. L’Anarchie DOIT s’appliquer comme nous le ressentons selon une doctrine politique que l’on subit et réelle, pas sur des idéologies déjà mortes au sens culturel. OUI MARKS était mais il n’est plus. Son passé, c’est notre présent quoi que vous puissiez penser, il a écrit notre histoire par ce qu’il pensait à défaut, nous aurions peut-être une autre forme de société civile car en face, l’aristocratie à la lecture de MARKS a compris comment manipuler les masses et les faire suivre leurs idéologies en les entretenant au sens intellectuel de l’inconscience collective qui divise un à un les repères humains pour les faire devenir esclave de l’idéologie sociale qui agit sur l’économie en leur donnant la preuve que leur état actuel c’est eux-mêmes qui le crée du passé. ET vous avez l’état contemporain de la crise et aussi notre avenir pour toutes les luttes finales.
Je pense que votre réflexion sera loin de mes affaires sociales néanmoins, la pensée ne doit pas écarter de sa bienséante logique, les raisons humaines dans les civilisations aujourd’hui le seront bien moins demain qui n’est pas obligatoirement l’abstrait d’un regard futuriste : L’avenir est une vision de l’homme, quel était celui de l’homme de la préhistoire ? La différence n’est pas dans la nature et est-elle dans les possibilités de réflexions de l’état de chacun ? L’aperçu est extrêmement parlant, déjà la soi-disante crise acceptable ne l’est plus et sans que chacun croit que celle-ci soit un phénomène normal mais, certain qu’elle vient bien de ceux dont le pouvoir est cette bienséante logique et profitent grâce aux pouvoirs qu’ils détiennent et se l’approprie, de cette conjoncture pour encore l’aggraver. Rare sont les peuples qui meurent pour la cause humaine, la culture française a prouvé le contraire. La crise construit cette cause et une réaction irrémédiablement créé par un effet logique. Les grecques sont regardés quand cela arrivera en France, les français seront suivis dans la certitude qu’ils ne reculeront pas et leurs faits anarchiques et révolutionnaires seront abolis par force de leur culture et je suis de ceux qui se rangent à cette abolition révolutionnaire.
OUI l’anarchie est le précurseur des révolutions et c’est parce que l’anarchiste ne se trompe pas de cible que je suis ici mais pas pour suivre une idéologie interprétée par des lignes de pensées qui se servent de la cause pour leur cause.
Je suis anarchiste intellectuellement parlant et je conviens que je n’ai pas la science infuse. L’anarchie et la révolution sont différentes mais contribuent à l’obligation du changement sociétal en réveillant l’inconscience collective comme tout peuple qui meurt socialement et ne peut se résoudre à mourir réellement pour se sortir de cet état alors qu’il est bien plus fort que ses adversaires, c’est la conscience qu’il ne mourra pas, obligatoirement.
Des réactions vous en voulez pour le changement radical social et parfaitement applicable, alors êtes vous prêt à mourir pour l’avenir des autres et de vos enfants ? Dans cet esprit vous êtes et portez vos convictions humaines à défaut, vous êtes des hommes et femmes de salons et espérez que la cause viendra vous servir ou se changer par les convictions d’autres. L’anarchiste est celui qui porte entre ses jambes ce qui fait de lui un homme ou une femme et par convictions profondes va au bout de ce qu’il défend, seul : NON ! Êtes-vous seul ? Alors montrez qui vous êtes sans chant de lutte finale. La lutte c’est être comme moi, prêt à mourir pour mes enfants et ceux des autres mais je n’ai jamais dis que je mourrai obligatoirement pour apparaitre sur un monument aux morts que toute notre vie nous sommes obligés de bénir pour des faits d’honneurs ET C’EST NOTRE VIE SOCIALE D’AUJOURD’HUI. La marseillaise, je ne suis pas aristocrate, je ne la chante pas pour éviter que mes enfants souffre de ce chant de chairs à canons pour des pouvoirs de tyrans demain.
Vivre comment demain, dans quel état social sans capital ? Le capital est-il dangereux ? Est-ce lui la forme qui est l’animal à tuer ou ceux qui la commandent ? Doit-on ruiner par la loi future ceux qui commandent le capital et ceux du gouvernement qui ruine le pays, comme le chef d’entreprise se fait ruiner dans ses déboires d’entreprises ? Peu importe de savoir qui devons-nous combattre, il le faut comme ceux qui commandent le capital et n’hésitent pas à détruire socialement des familles sans utiliser d’arme, leur arme c’est la loi sociale à laquelle obéit les croyants être en marge de cette voie par leur statut actuel et ceux qui en meurent en l’acceptant. Faut-il utiliser ce qui est possible actuellement à notre disposition avant que cela disparaisse et faire à ceux qui créent la misère sociale un enterrement d’honneur comme d’habitude ou les laisser comme ils font aux familles, avec beaucoup d’intelligence en usant du droit comme ils l’utilisent socialement licite. Alors, que proposez-vous pour le changement radical social et obliger les tyrans gouvernementaux qui se servent de la cause pour leur cause et bafouent tous les jours la mise en œuvre des droits de l’homme. Parlerez-vous d’anarchie et de révolution réelles ou vous ferez des compromis et ensuite des compromissions de dialogues par relevés de la misère des autres qui la subissent, dans l’espoir d’un pouvoir quelconque à l’avenir ?
Anarchistes ou révolutionnaires, êtes-vous sur d’en être ?
Tant que votre image voudra être celle de ceux des salons dont votre origine sera toujours celle qui paye, je n’ai aucune conviction avec vous. S’il vous faut vous référencer sur l’histoire de changements, observer la terreur de l’indépendance désirée et obtenue. Les cibles, soyez de convictions vous obtiendrez un changement cohérent humain à l’inverse, vous subirez sans aucun doute, vous moins que votre avenir. Qui se croit encore dans une république ? Alors où sont ses convictions de cette république sur les droits de l’homme, aux bancs de l’immoralité. Soyons comme elle. Frappons indépendamment des uns des autres mais frappons à laisser les réflexions de l’aristocratie dans la terreur, c’est l’amorce de l’anarchie, la révolution c’est la cohérence de la continuité. Alors I’m Seat and Sea et je ferai ce que tu feras. L’anarchie est l’abécédaire des convictions et l’indépendance de l’action est son secret, deux dans une action l’un est de trop si l’action concerne qu’une personne, un objectif c’est différent et aucun n’est trop petit. La révolution c’est le nombre d’anarchistes réunis quand les poltrons de gardes civiles, brûleurs de paillottes, commenceront à ne plus pouvoir mener leurs enquêtes, la révolution sera à deux doigts de s’imposer à un pouvoir.
Je prône ce qui deviendra nécessaire demain quoi que vous puissiez penser à défaut accepter qu’ils mettent en place une guerre à laquelle je n’irai pas défendre le capital pour lui permettre de vivre mieux. Choisissez et l’action est une théorie de dominos. PEUR ? De quoi ? De ce que vous ne possédez pas ou, de toute évidence, ce que le capital viendra vous faire vendre. Un métier dangereux les administrateurs de haute volée, les ministres aussi, voir d’autres encore dans l’abondance de leur idéologie de notre futur. Pas de quartier, le changement est avant tout une conviction naturelle de subir mais pas à cause de notre voisin ou l’homme qui vient chercher ce qui lui est volé dans son pays par les colombs industriels qui font mourir leur famille parce qu’ils ne peuvent se défendre par des révolutions écrasées par nos armées ou leur propre armée.
Ces individus doivent sérieusement et concrètement en payer le prix.
Et si ces pensées sont à l’inverse de l’idéologie anarchique et révolutionnaire ou tout du moins les textes en sont trop forts, rien n’oblige personne et rien n’ont plus ne forge l’idéal sans l’avoir porté et l’a vécu, quelque soit le camps que l’on représente.
J’assume, si ces textes doivent répondre de leur teneur orientés, je serai heureux de porter cet idéal de liberté contre l’aristocratie qui construit, par cette démonstration, comment elle manipule pour se protéger d’hommes qui ont des convictions des libertés humaines dans tous les sens du terme.
Heureux qui comme moi peuvent ressentir leur liberté humaine dans l’âme de leurs pensées qui n’ont rien à faire en prison sociétale dite civilisée qui n’ont jamais fait preuve d’équité réelle mais virtuelle en proclamant le mot République. FOUTAISE de civilisation dite civilisée, LA PREUVE aujourd’hui !
Que les natures s’unissent comme un seul peuple, sans aucune peur du lendemain, nous irons chercher de quoi vivre ce que les conséquences peuvent produire et elle déplaceront les montagnes. Elles feront une nouvelle fois la preuve encore plus rouge que Danton et Robespierre affirmant que l’histoire s’écrit à notre présent et confirmera aux générations futures, la liberté sociétale n’est pas un capital qu’il faut posséder, ni un privilège de castes intellectuelles qui proclament Républicain, sans exception de microcosmes, dont seulement quelques-uns profitent aux détriments de la VIE des hommes en s’appropriant ce qui lui reste, Sa Dignité humaine. La liberté est cette chose que nos natures ressentent dans l’émotion de nos vies que l’on veut rendre insensible et résignée pour le futur de la Vie de nos enfants. MOI, je ne serai pas de cette histoire présente qui forge l’asservissement de nos enfants… VOS PARENTS, qu’est-ce qu’ils disaient ? Qu’est-ce qu’ils ont fait pour éviter ce marasme d’aristocrates économiques de tous les pays qui grossit de plus en plus, la mondialisation est ce phénomène ? ET VOUS ? Qu’est-ce que vous comptez faire, l’anarchie et la révolution par des phrases avec le soutien des autres qui ne verront jamais leur vie sociale changer et dans l’espoir de demain ? FOUTAISE ! L’action est le premier message à faire passer, quelque soit l’action, multipliée, elle devient un danger certain pour tous ceux qui ne se croient pas concernés, c’est les obliger à vivre comme ils veulent faire vivre les autres sans s’en soucier de la peur qu’ils subissent par leur pensées bienséantes.
Quelle qu’elle soit, l’Anarchie c’est l’action, la Révolution c’est la politique, l’avenir, c’est l'effet de l'action qui fera la politique et apportera l'abolition d'un pantin quelconque de castes nommé Président. Le peuple doit gouverner uniquement, pas de président ni de majorité dans une espèce d'assemblée de députés, le Sénat est aboli, il ne sert strictement à rien sauf en voie de garage politique (salaires mensuel des sénateurs 7 800 000 euros sans compter, les transports, les loyers, les entretiens généraux pour ces vieux seigneurs honorifiques qui n'ont jamais prouvé avant qu'il avait exercé une politique cohérente humaine et osent donner des leçons politiques, ce Bicaméral de gestion inutile à virer de la constitution).
