.
Présentation du Film "La Terre parle Arabe" de Maryse Gargour cinéaste franco-palestinienne
Présentation par Pierre STAMBUL Vice-Président de l'Union Juive Française pour la Paix
à 20 h, Salle Elie Sermet, Bourse du Travail de Narbonne
suivi d'un débat et du témoignage de ceux qui reviennent de Palestine
Le collectif « Palestine » du Narbonnais et le comité de jumelage Bages - Jaboun communiquent.
Si la question palestinienne ne fait plus la une des grands médias radio - télévisés , la réalité tragique de ce peuple n'a malheureusement pas disparu !
Peuple privé de territoire national malgré les résolutions de l'ONU ! Peuple dont les terres ne cessent d' être volées par le développement continu et illégal de la colonisation israélienne ! Peuple honteusement enfermé derrière un mur ! Peuple dont les conditions de vie se dégradent toujours davantage ! Peuple dont l'Etat n'est pas encore reconnu officiellement par l'ONU malgré l'approbation de la quasi communauté internationale !…
Tout cela sera au cœur de notre soirée de solidarité , d'informations , d'échanges , le mercredi 10 octobre à 20h à la salle Elie Sermet de la Bourse du Travail de Narbonne .
Cette soirée sera animée par M Pierre Stambul , vice - président de l'Union juive française pour la paix . Elle sera introduite par un film « La terre parle arabe » de la cinéaste franco- palestinienne Maryse Gargour .
En s'appuyant sur les déclarations des leaders sionistes , sur des archives audiovisuelles inédites , sur la presse de l'époque , sur des témoignages d'expulsés de 1948 et des commentaires de spécialistes , ce film croise les regards de l' histoire et du cinéma pour revenir aux origines du conflit de cette partie du Proche - Orient : à savoir l'expulsion des Palestiniens et la spoliation de leurs terres !
En outre , des bageois et des narbonnais qui viennent de séjourner en Cisjordanie témoigneront des vécus actuels de ce peuple et apporteront des éléments de réflexion pour avancer aujourd'hui vers une paix juste et durable dans cette partie du monde ..
.
